Tous
les historiens qui ont écrit les vies de nos rois,
principalement de ceux de la première race, ont parlé
avec honneur du très illustre pontife et très glorieux
martyr Saint LEGER et, bien qu'ils n'aient rien dit en particulier du
lieu de sa naissance ni de la qualité de ses parents, ils nous
ont toujours fait assez connaître qu'étant encore jeune,
il fut mis entre les mains de l'évêque de Poitiers son
oncle appelé Didon, afin d'être instruit aux lettres
humaines et dans les autres sciences.
Ce prélat jeta les yeux sur lui comme
sur un sujet qu'il destinait à l'église, lorsqu'il se
fut aperçu de ses vertus et des présages qu'il donnait
d'une grande perfection. Aussi notre Léger employa-t-il si
heureusement son travail et ses journées qu'il se rendit le
plus habile et le mieux entendu personnage qui fût alors en
cette ville de Poitiers où, à l'âge de 20 ans, il
fut appelé au diaconat par son même oncle, qui peu
après lui donna la charge de grand archidiacre, afin que,
comme c'est l'office de ceux qui sont établis dans cette
dignité, il fût ensemble l'il et la main de
l'évêque.
statue de saint
Léger dans l'église de Cheylade
(Cantal)
Cependant, l'abbé de Saint Maixent
laissant cette vie avec son abbaye, l'évêque Didon
substitua son neveu LEGER à sa place sous le même titre
d'abbé, dont il ne se montra pas indigne, parce qu'il gouverna
ce monastère l'espace de 10 ans avec tant de preuves de vertu
que sa réputation vola jusqu'à la cour du Roy Clotaire
III, qui tenait alors le sceptre français sous la
régence de la Reine Sainte Batilde sa mère. Cette
princesse, voulant avoir de bons conseillers auprès du jeune
Roy, manda à l'évêque de Poitiers qu'il lui
envoyât l'abbé de Saint Maixent comme un homme
nécessaire à l'administration de
l'état.
Ainsi LEGER partit de son abbaye pour s'en
venir à la cour, où il parut bientôt comme un
soleil au milieu des étoiles qu'il éblouit toutes de sa
brillante clarté ; en telle sorte que chacun, même chez
le roi et la reine, jetant les yeux sur ce nouveau conseiller
d'état, le jugea digne de diriger un
évêché. Comme par effet, celui d'Autun venant
à vaquer par le décès de Saint Ferréol,
LEGER y fut nommé au très grand bien de cette
église.
Trois ans après cette
élection, le jeune roi Clotaire III quitta la vie et le
sceptre en la cinquième année de son règne, ce
qui obligea LEGER, qui parmi le maniement de son
évêché ne laissait pas d'avoir toujours les yeux
sur les biens de l'état, de partir d'Autun pour s'en venir
à la cour et traiter avec les principaux du royaume de celui
à qui le droit appartenait de succéder à la
couronne, laquelle fut adjugée à Chilpéric,
deuxième du nom, quoiqu'Ebroïn, qui s'était fait
redouter sous le règne du feu roi, fît tous les efforts
pour y substituer Thierry le troisième fils de Clovis. Mais
l'aîné voulant maintenir et recouvrer son juste droit
que la prérogative de sa naissance lui donnait, assisté
des sages conseils de LEGER et de Volfoad, le père de Saint
Austreberte, il prit les armes et gagna une bataille contre les
partisans d'Ebroïn, lequel étant pris fut tondu et
réduit en l'abbaye de Luxueil en Bourgogne.
tableau
représentant le saint Léger, dans l'église de
Tulette (Drôme)
Chilpéric se voyant au-dessus de ses
affaires et dans la paisible jouissance de ses états, choisit
le très prudent LEGER pour le chef de ses conseils et comme
l'intendant de toute sa maison royale, ce que l'on appelait alors "
Maire du Palais " où il gouverna avec tant de candeur et
d'intégrité et mit un si bon ordre dans tout le royaume
que chacun se consolait, surtout les plus fidèles serviteurs
du roi, d'avoir Chilpéric pour souverain et LEGER pour le
ministre d'état.
Toutefois, ce bel ordre ne dura pas
longtemps parce que Chilpéric, qui était d'un naturel
volage et sujet à ses plaisirs, se laissant emporter à
la pente de ses vices, s'oublia sensiblement des bons avis et des
prudents conseils de son fidèle ministre LEGER, lequel
soupirant d'ailleurs après sa chère épouse
l'église d'Autun, qui ne se voyait aucunement veuve tandis
qu'il vaquait aux affaires générales de l'état,
minuta secrètement sa sortie pour se retirer à petit
bruit de la cour. Mais le roi, fâché de cette retraite,
envoya des gens après lui pour le suivre et le ramener de
gré ou de force dans son palais, où s'étant
présenté il supplia le roi de lui permettre au moins de
se retirer en l'abbaye de Luxueil en Bourgogne, puisque sa
majesté n'agréait pas qu'il allât en son
évêché. De quoi ayant enfin obtenu le
congé, il se retira en ce monastère où il
retrouva Ebroïn qui faisait bonne mine, ayant déjà
pris la tonsure de clerc afin de mieux couvrir le venin qui couvait
en son cur pour se venger un jour des injures passées.
Cela n'empêcha pas que l'un et
l'autre, LEGER et Ebroïn, ne se réconciliassent ensemble
et ne "véquissent" en bonne intelligence dans cette maison
religieuse, jusqu'à la mort de Chilpéric, laquelle
arriva non pas onze ans, comme écrivent quelques-uns, mais
trois ans après cette retraite de LEGER hors de la cour.
Après quoi Ebroïn fit bien paraître que toute sa
sainteté apparente n'était qu'hypocrisie et sa
réconciliation une pure trahison : car, voyant que Thierry III
était en possession des états et des royaumes de ses
frères et de son père, il sortit de son
monastère et, renonçant à la cléricature,
il se jeta dans les armées et fit en sorte qu'il se vît
rétabli en la même dignité de Maire du Palais
qu'il avait exercée sous Clotaire.
LEGER pour sa part fut aussitôt
rétabli, à la poursuite de ses amis, en son
église et évêché d'Autun où il fut
accueilli somme un ange par le clergé et par tout le peuple,
qui ne se pouvaient contenir de la joie de revoir encore une fois
leur saint père et pasteur au milieu de ses ouailles et de
tous ses enfants.
A
lintérieur de la chapelle Saint-Léger de Quimerch
(Finistère)
plusieurs statues en bois, dont deux du saint Léger
Quelques années
s'écoulèrent durant lesquelles, tandis que le perfide
Ebroïn s'efforçait d'établir sa fortune en
l'administration de l'état, LEGER s'employait à la
réforme de son clergé et à la parfaite
réconciliation des âmes pénitentes, de qui il se
faisait le père, comme aussi des pauvres qu'il ne
chérissait pas moins que ses propres enfants. Ce fut
assurément durant cette paisible jouissance que LEGER dicta
son testament par lequel il donna à son église de Saint
Nazaire à Autun, entre autres pièces, la terre de
Marigné-sur-Yonne, dont la reine Batilde lui avait fait
présent.
Mais enfin Ebroïn, de qui l'histoire de
France écrit qu'il était un homme ambitieux, cruel et
déloyal, qui traitait la noblesse avec arrogance et
surchargeait le peuple de subsides, craignant que LEGER ne
s'opposât encore une fois à ses violences et à
ses pernicieux desseins, s'avisa d'en défaire le monde pour se
venger une bonne fois de tous les prétendus déplaisirs
qu'il croyait avoir reçus par son moyen. A cet effet, il
consulta avec ses confédérés : deux desquels
appelés Didon et Gaimer s'offrirent d'en être les
exécuteurs et de tirer l'évêque hors de la ville
d'Autun et le livrer en son pouvoir. Le tyran, bien joyeux de cette
résolution, leur donna une escouade de soldats pour leur
prêter main forte en cas de résistance. Ils
marchèrent donc, ainsi armés de rage et de fureur, dans
le pays d'Autun, comme en une terre ennemie, menaçant les
Autunois de faire encore pis dans leur ville si le saint
prélat ne leur était livré. Ce qu'étant
venu à la connaissance du serviteur de dieu, il se remit en la
pensée ce bon pasteur, qui a voulu mourir et donner son sang
pour le salut de ses ouailles ; et désirant de l'imiter en une
action si relevée, il conjura ses diocésains de ne le
point empêcher de se livrer soi-même à la fureur
de ses ennemis, afin de soulager et sauver le reste de son
peuple.
A cet effet, il fit assembler son
clergé en ordonnance de procession, avec la croix et les
reliques sacrées qui reposaient en l'église d'Autun.
Puis, se mettant à la tête, il alla au devant des
ennemis, chantant des hymnes et des louanges à dieu et se
présenta de la sorte, courageusement, pour souffrir le
martyre.
Alors ces cruels satellites, sans respect ni
des sacrées reliques ni de la qualité de
l'évêque, l'empoignèrent et le serrèrent
étroitement et, le tirant hors de la ville, ils
l'enfermèrent dans un monastère où il demeura
deux ans prisonnier.
St Léger,
patron de la paroisse de Lucheux (Somme)
Après quoi Ebroïn, voulant
donner quelque couleur de justice à sa tyrannie, fit assembler
quelques évêques à Villeroy, en présence
desquels il fit comparaître LEGER et son frère GUERIN
qu'il avait aussi fait arrêter prisonnier, comme atteints et
convaincus d'avoir été complices de l'assassinat du feu
roi Chilpéric. Après quoi les martyrs, sans
répondre aux paroles d'Ebroïn ni aux crimes qu'on leur
imputait, répondirent constamment à l'assemblée
que vraiment ils méritaient les peines que déjà
ils avaient endurées, non pas pour avoir offensé le
roi, mais bien pour avoir péché contre le monarque du
ciel. De quoi Ebroïn, transporté de fureur jusqu'à
la rage, commanda à ses ministres de séparer GUERIN de
son frère et que sur le champ on l'assomma à coup de
pierres, ce qui fut exécuté. Et pour LEGER qu'il
réservait à de plus longs supplices, il lui fit
premièrement déchirer le tunique depuis le haut
jusqu'en bas, en plein consistoire, pour marquer que désormais
il serait indigne d'offrir le divin sacrifice.
Puis il commanda qu'on lui crevât les
yeux, après quoi il le fit marcher pieds nus sur des
têtes de pots cassés afin de lui donner d'autant plus
d'appréhension de mal et de douleur que moins il savait
où il mettait le pied. Enfin, voyant qu'il rendait encore
gloire à dieu et qu'il n'ouvrait la bouche que pour louer sa
bonté au milieu de ses peines, il fut si vivement
offensé qu'il lui fit arracher la langue et couper les
lèvres afin qu'il fît horreur à ceux qui le
verraient et qu'il n'eût pas le moyen de parler de son
exécrable injustice.
Toutefois, ni la perte de la langue ni
l'incommodité de ses lèvres ne lui ôtant point
l'usage de la parole, il ne laissa pas d'exposer ses pensées,
de prêcher les peuples et de les exhorter à la vertu,
quoiqu'après avoir perdu tout ce qui lui était
nécessaire pour articuler la voix et prononcer les mots.
Toutes les paroles qu'il disait étaient autant de
flèches dans le cur d'Ebroïn, qui
considérait ce personnage en vie comme un tableau vivant de
son impiété et un témoin irréprochable de
ses perfidies devant dieu et devant les hommes. De sorte qu'en
voulant ôter ce spectacle de la cour, il le fit conduire
à l'abbaye de Fécamp, où pour lors
présidait une sainte religieuse appelée Childomer et
donna la commission de la conduite à un certain Vuaminge, afin
qu'il le fît tenir dans cette maison si à
l'étroit qu'il ne put être vu de
personne.
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statue de
Saint Léger,
dans l'église de Lucheux (Somme)
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Néanmoins, la nouveauté de
l'action étonnait le monde, lorsque le bruit courait partout
qu'un homme sans langue ne laissait pas de parler, si bien que ce
lieu, où il avait été relégué,
était visité par un grand nombre de peuples, qui
étaient autant de bouches qui publiaient
l'impiété d'un homme ennemi de dieu et de ses
élus, ce qui obligea Ebroïn de combler la mesure de ses
forfaits et de ne pas laisser plus longtemps dans le monde qui ne
servait qu'à donner de l'exercice à sa cruauté
et de la matière à ses malveillants pour en
médire. De sorte qu'il commanda à quatre impies
exécuteurs de ses mandements qu'ils eussent à le tirer
de Fécamp et l'aller faire mourir en quelque lieu
éloigné de la connaissance du monde et qui pût
cacher la honte d'un infâme commandement.
Ceux-ci le retirèrent de cette maison
et lui firent faire quelques journées de chemin, tirant du
côté des Flandres, jusqu'à ce qu'étant
arrivés sur les confins du diocèse de Cambrai, le saint
prélat leur dit : " Mes amis, que prétendez-vous faire
de moi ? Ce n'est pas pour me rendre la lumière, qui m'a
été ravie, que vous me faites aller si loin. Si ce
n'est peut-être en me tirant de cette vallée de
misères, en me donnant la mort que je recevrai de bon
cur, je vous saurai bon gré de la liberté que
vous aurez donnée à ma vie ". Ils étaient quatre
à le conduire, mais trois d'entre eux, vaincus par la douceur
de ce discours, ne voulurent jamais contribuer de leurs mains ni de
leur action à un infâme sacrilège. Au contraire,
ils se jetèrent à ses pieds pour lui demander pardon de
la pensée qu'ils en avaient eue.
Mais le quatrième, moins
considéré que ses compagnons, tira son
épée et, tandis que le saint avait les genoux à
terre, attendant le dernier coup de sa vie qui lui devait donner la
mort, il lui coupa la tête. De ce coup le précieux chef
tomba vraiment à terre, mais le corps se releva et demeura
droit en cet état l'espace d'une heure, jusqu'à ce que
celui qui avait donné le coup le poussât du pied et
l'abattît à terre. Mais son crime ne fut pas sans
châtiment exemplaire, parce que peu de temps après, il
fut saisi d'une rage si extrême qu'il se jeta dans le milieu
d'un feu qui commença à lui faire sentir dès ce
monde la peine due à son forfait.
Le corps du prélat fut porté
au village prochain appelé SERCIN, auprès le bois dit
maintenant de Saint Léger où il fut mis en terre avec
peu de cérémonies, jusqu'à ce que ses miracles
fréquents rendissent le lieu considérable, et que
plusieurs prélats prétendissent à la possession
de ces précieuses dépouilles.
Ansoald, évêque de Poitiers,
qui avait succédé à Didon, semblait le demander
par droit de parenté, s'il faut ainsi dire.
L'évêque d'Arras, appelé Vindicien, se le
revendiquait par raison du fonds sur lequel il avait droit puisqu'il
était dans son diocèse, et l'évêque
d'Autun son successeur appelé Herminaire croyait être
fondé en la prétention qu'il avait sur son
prédécesseur. Toutefois l'évêque de
Poitiers l'emporta et le fit déposer à Saint Maixent,
dans l'abbaye où il avait fait le noviciat de ses vertus et le
chef fut mis entre les mains de l'évêque d'Arras. Le
chemin fut rempli de merveilles et plusieurs malades, lépreux,
fiévreux, énergumènes et autres affligés
de diverses infirmités, reçurent guérison en
touchant la bière qui était chargée de ses
précieuses reliques ou faisant oraison à ses pieds. Et
il n'y eut personne qui n'eut sujet de louer les merveilles de dieu
et la gloire de son serviteur, ce que l'on peut voir plus amplement
en la vie qu'en a écrite Surius en son 5e tome, qu'il dit
avoir tirée d'un appelé Ursin, qui l'avait
écrite par le commandement d'Ansoald, évêque de
Poitiers, et que j'ai suivie en ce recueil, autant qu'elle s'est pu
accorder avec nos annales de France et de l'église, qui
marquent le martyre de St LEGER l'an 685.
Mais enfin, ce précieux trésor
des reliques de Saint LEGER, du moins pour la plus grande partie, a
été apporté à Paris et se voit en
l'église de Saint Médéric, dans une belle
châsse.
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cathédrale
Saint Vaast, à Arras (Pas-de-Calais)
le
reliquaire où se trouvent le corps (corpus) de St
Vindicien
et le crâne (caput) de saint Léger
|
Quant au tyran Ebroïn, il ne porta pas
bien loin la peine due à son action sacrilège parce que
qu'un certain gentilhomme appelé Hermanfroi, parent de St
LEGER, lui ravit la vie avec violence. Et quant au Roy Thierry, il
conçut un tel ressentiment pour le meurtre d'un si grand saint
que pour pénitence de ce qu'il y pouvait être complice,
il fit bâtir et fonda la célèbre abbaye de Saint
Jean au Mont-les-Thérouenne(*), outre qu'il dota richement
celle de Saint Vaast d'Arras où il voulut être
inhumé. La très célèbre abbaye Saint
Victor de Paris retient comme une précieuse relique l'anneau
de ce très digne prélat, lequel trempé dans de
l'eau a fait souvent des cures admirables.
(*) Thérouanne, au sud de St Omer
(Pas de Calais)
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statue
de saint Léger
chapelle de Trémalo
à Pont-Aven (Finistère)
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"Vie de Saint Léger,
Evêque d'Autin"
par un moine de St Symphorien d'Autun qui vécut
auprès du saint
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La Vie de Saint Léger,
évêque d'Autun
vers 980 - manuscrit de la bibliothèque de
Clermont-Ferrand
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|
"Saint Léger - La
Légende Dorée"
de Jacques de
Voragine, nouvellement traduite en français -
1261-1266
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|
"De
St Léger, évêque et
martyr", par le R.P. Simon
Martin
Les Nouvelles Fleurs des Vies des Saints - 1654
|
|
"Saint Léger - 2
octobre"
Les Vies des Saints - 1724
|
|
"Histoire de saint
Léger, évêque d'Autun et martyr"
par le R.P. Dom Pitra - 1846
|
|
"Saint Léger - son
martyre - sa première sépulture à
Lucheux"
par l'abbé Théodose Lefèvre -
1884
|
|
"saint Léger,
évêque d'Autun, martyr"
Imprimeur E. Petithenry, Paris - vers
1900
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|
"Vie de Saint
Léger"
par le R.P. Camerlinck, de l'Ordre des Frères
Prêcheurs - 1906
|
|
"Léger, d'Autun"
par Dom H.
Leclercq - 1929
|
|
"Eléments pour une
étude sur la diffusion du culte de Saint
Léger"
parue dans "la revue du Bas Poitou" tome IV -
1971
|
|
"Saint Léger -
fête le 2 octobre - 3 octobre"
La Légende Dorée d'Autun, par Denis Grivot -
1974
|
|
"Saint Léger", par Denis
Grivot,
Maître de Chapelle Honoraire de la Cathédrale
d'Autun
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La prédication sur
Saint Léger faite à l'église
protestante
de St Légier la Chiésaz (Suisse) -
1997
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"Saint Léger,
évêque d'Autun et martyr"
2 homélies du Père Alexandre, St Léger
sous Beuvray - 1998 et 2003
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"Saint Léger,
porte-parole des élites bourguignonnes"
tiré du
Journal de la Bourgogne - 2002
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"le bon et la brute" ou
"Léger contre Ebroïn"
sur le très joli site "Auxonne, capitale du Val de
Saône" - 2009
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https://www.stleger.info