Il
s'agit d'un roman policier sorti en 1934 et écrit par
Roger-Francis Didelot (1902-1985), dans la collection "A ne pas lire
la nuit", chez "Les Editions de France".
Francis Didelot est né en 1902
à Madagascar, d'une mère descendante d'Edgar Poe et
d'un gouverneur des colonies. Après quelques années de
magistrature, il commence à écrire dans les
années 30. Son premier roman, un policier, Le drame
de Saint-Léger, est publié en 1934 aux Editions
de France, suivi de quelques autres dans des genres plus divers, dont
certains sont adaptés par lui-même au cinéma :
"Prince de mon coeur"- 1934, "La fille de la Madelon" -
1937, et "Le monde tremblera" - 1939, film de SF,
adapté du roman "La machine à produire la mort",
co-écrit avec Charles-Robert Dumas, scénarisé
par Henri-Georges Clouzot. Il commence ainsi une carrière dans
le cinéma dès les années 30-40, en tant que
scénariste mais aussi en tant qu'assistant
réalisateur.
En 1955, paraît Six heures
d'angoisse aux Editions Fayard, dans lequel, il crée le
personnage du commissaire Oreste Bignon. De cette série, qui
compte une quinzaine d'opus, le roman le plus célèbre
est sans nul doute Le septième juré,
adapté au cinéma en 1962 par Georges Lautner, et plus
récemment pour la TV. Deuxième héros
récurrent de Francis Didelot, le commissaire Renard,
apparaît fin des années 70 dans la collection Le
Masque, la série compte environ une dizaine d'opus. On
trouve aussi dans sa bibliographie quelques romans policiers
écrits pour la jeunesse. Francis Didelot s'est vu
attribué le Prix du Quai des Orfèvres pour son
roman "L'Assassin au clair de lune" paru en 1949.
Lu sur :
http://www.paperblog.fr
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la fête du Biou
à Pupillin (Jura)
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Pupillin
est un village de 220 habitants, vivant et fier de ses
vins.
Depuis 1936, Pupillin fait partie de la zone d'appellation
d'origine contrôlée Arbois, la 1re
instituée en France. L'originalité et la
renommée des vins du village leur ont valu par un
décret de 1970 l'autorisation d'associer les 2 noms
Arbois-Pupillin sur leurs étiquettes. La remarquable
adaptation de ses sols au ploussard a fait de Pupillin la
capitale de ce cépage. En tout, une centaine
d'hectares de vignes sont cultivés.
Viendrez-vous en août
pour la fête du ploussard, ou en septembre, lors du
Biou, quand les vignerons vont en cortège offrir
à saint Léger une énorme grappe,
prémices de leurs vendanges ? Vous repartirez, en
chansons peut-être, enchantés
sûrement.
la
Fête du Biou
C'est
en septembre que le Biou bat son plein. Cela se
passe en Franche-Comté, en septembre, un
dimanche.
Le Biou - avec majuscule - est une
cérémonie ancestrale d'offrande
à Dieu qui se déroule le jour du
saint patron de la paroisse, saint Léger
donc pour Pupillin.
Le biou - avec minuscule - est une grappe
géante reconstituée avec de vraies
grappes, prémices des vendanges, et pouvant
atteindre 100 kg.
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Source :
http://www.jura-en-decouverte.com/villes/index01.html
l'église
Saint-Léger de Pupillin en 2009 - photo Bernard
Girard
La 1re église date du XIIe, elle a été
reconstruite au XVe.
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Saint
Léger est revenu !
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Amenucourt et Villers-en-Arthies (Val
d'Oise)
Située
à l'ouest du Parc dans la vallée de l'Epte, la commune
d'Amenucourt (173 habitants en 1999), canton de Magny-en-Vexin, est
bâtie à flanc de coteau et arrosée par l'Epte et
l'un de ses bras.
La mairie d'Amenucourt (01 34 79 70 02) est située au
n°1, route Saint Léger.
On accède à l'église Saint Léger
(XIIe-XVe) par un escalier de 35 marches.
Le bâtiment, dénaturé au cours du XVIe
siècle et aujourd'hui dénué de transept, a
été inscrit aux monuments historiques le 12 janvier
1940.
l'église Saint
Léger d'Amenucourt - http://clochers.org
la mairie
d'Amenucourt
le château de St
Léger, à Arthies
Ont été
retrouvées des cartes postales anciennes de la commune de
Villers-en-Arthies (426 habitants), située elle aussi dans le
Parc naturel régional du Vexin français, à 8 km
seulement d'Amenucourt, mentionnant un "Petit Saint Léger" et
un "Grand Saint Léger".
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Pour
découvrir ces cartes postales
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Sources
:
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l'église St
Léger
de Feytiat
(Haute Vienne)
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Feytiat
est l'une des villes de la 1re couronne de
l'agglomération de Limoges.
Elle connaît
depuis quelques années un
développement rapide mais bien
maîtrisé :
- 1 315 habitants
en 1901
- idem en 1962
!
- 4 430 habitants
en 1990
- 5 300 en
1999
- 6 000
aujourd'hui
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L'église
de Feytiat a deux patrons : Saint Léger
d'Autun (patron des meuniers) et Saint Clair qui
donna à Feytiat sa fête patronale le
premier dimanche de juin.
l'église
St Léger et St Clair de
Feytiat
Romane, à
nef unique d'une seule travée droite, elle
date des XIe et XIIe siècles. Cette nef est
voûtée en berceau brisé. Le
choeur est surélevé.
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Le
portail extérieur, en plein cintre,
comprend deux voussures garnies d'un
boudin qui retombe sur des colonnettes
à toucher le sol.
Ce portail est abrité par un auvent
reposant sur des consoles en parfait
état, ce qui est rare de nos
jours.
Le clocher-mur à deux arcades avec
contrefort a remplacé après
la Révolution, en 1821, le clocher
en ruines, dont la réparation n'a
pu être supportée par la
commune.
Vierge
à l'Enfant,
dans l'église St Léger et St
Clair
La
Vierge tient l'Enfant Jésus sur le
bras gauche. Il effleure d'un geste
gracieux la grappe suspendue au poignet de
la Vierge.
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La sacristie fut
construite en 1713 et le presbytère,
attenant à l'église, en 1776. En
1901, deux chapelles latérales furent
construites.
le
buste-reliquaire de saint Léger, barbu, dans
l'église
la
mairie : le château du Mas
Cerise
site de la
commune : http://www.mairie-feytiat.fr
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la "Saint Léger" à Vy les Lure
(Haute-Saône)
Vy
les Lure est une commune de Haute-Saône située au
sud-est de Vesoul et à 7 km de Lure. Le village possède
un hameau, La Grange du Vau, à 4 km au nord-ouest du
bourg.
La superficie est de 1 600 ha dont 529 de forêts, l'altitude de
295 m.
La population s'élevait à 565 habitants en
1999.
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l'église,
reprise et reconstruite au 18e et 19e,
avec son clocher typique franc-comtois
Le patron de la paroisse est saint Léger.
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Au détour des rues, on peut
admirer trois lavoirs, l'un totalement rénové, rue
Corne d'Amont, un autre en cours de restauration rue St
Léger.
Le 3e, rue de Mollans, doit être restauré dans sa
totalité.
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Au
hameau de la Grange du Vau a été
implanté un magnifique clocheton abritant la cloche
de l'ancienne maison commune, aujourd'hui
propriété privée.
Source :
http://mairie.wanadoo.fr/mairievyleslure/index.htm
Pour
retrouver l'ambiance
de la fête de "la Saint Léger"
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Une
curiosité... touchante
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https://www.stleger.info