l'église St Léger de
Seillans (Var)
Seillans
(2 115 habitants et 8 866 ha) est accroché aux
contreforts des Préalpes, à la limite du camp
de Canjuers, surplombant la plaine de Fayence du haut de ses
366 mètres.
A voir :
- les vieilles
enceintes
- la porte Sarrasine,
classée monument historique
- l'église Saint
Léger (XIe) de style roman (abside en cul de
four), reconstruite en 1477 et restaurée en
2000
- les ruelles au pavage
classé
- la chapelle de Notre
Dame de l'Ormeau
Seillans est l'un des 4
villages varois appartenant à la caste fermée
et jalousée des "plus beaux villages de
France". Loin des frivolités de la côte, le
touriste aime ces lieux où l'ombrage des ruelles
pavées est surplombé de bâtisses du
XIIIe siècle.
Chaque pierre raconte l'histoire. Elle mène vers des
édifices religieux, de vieilles enceintes ou des
placettes pleines de charme, que des artistes comme le
compositeur Charles Gounod, le sculpteur Max Ernst ou, plus
récemment, le photographe Robert Doisneau ont
aimé fouler.
Un pied dans le passé et la tête dans l'avenir,
Seillans mérite une halte au cur de
l'été.
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Pour une petite
visite, suivez
le guide !
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l'église St Léger de
Cauroir (Nord)
Cauroir,
village calme de 515 habitants situé à 5 km de Cambrai,
fait partie des 17 communes constituant la Communauté
d'Agglomérations de Cambrai.
Le faubourg du petit Cauroir abritait autrefois la principale
industrie du village, liée au sucre de betteraves. Comme
ailleurs, le patron et les ouvriers habitaient à
proximité de l'usine. Le château encadrait les
corons.
Par mariage, l'entreprise passe aux Pagniez-Risbourg. Leur fille,
Yvonne Pagniez (1896-1981), née au château, a
été une grande résistante, ayant vécu la
déportation. Elle a laissé de nombreux romans qui ont
fait sa notoriété. En sa mémoire, une rue du
village a été inaugurée à son nom le 17
septembre 1978.
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La
première église, construite en 1666 avec
l'ancienne chapelle du cimetière, fut
remplacée en 1888 (architecte Lallemand qui a
également conçu les plans de la mairie).
L'église est placée sous le vocable de Saint
Léger, comme plusieurs autres églises du
Cambrésis, sans doute en souvenir du temps où
il faisait partie des Pays Francs Saliens.
C'est dans cette église que le 8 Mai 1704,
Fénelon, archevêque de Cambrai, donna le
sacrement de confirmation aux enfants de la commune.
Sa cloche, baptisée Augustine, Yvonne, Victoire, eut
pour marraine Yvonne Pagniez, grande résistante.
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Source et lien :
http://colau.chez.tiscali.fr/htmairie.html
l'église St Léger de
Steinbrunn le Bas (Haut-Rhin)
Au
sud de l'Alsace, entre Mulhouse, Bâle et Altkirch se
niche un sympathique petit pays : le Pays de Sierentz.
Essentiellement rural, il s'étend de la plaine du
Rhin aux collines du Sundgau.
De beaux villages fleuris permettent de profiter de la
nature, de l'air pur et de la tranquillité :
randonnées, cyclisme, équitation... Base
idéale pour découvrir la Suisse, l'Allemagne,
le Sundgau, le Jura, les Vosges... et l'Alsace. En voiture,
Bâle, Mulhouse et Altkirch sont à 20
minutes.
Parmi ces 21 villages, voilà Steinbrunn le Bas
:
Steinbrunn
le Bas comprenait autrefois 2 paroisses,
délimitées par un ruisseau. L'une
était dédiée à saint
Léger, l'autre à saint Laurent. C'est
dans cette deuxième que le curé Jean
Hofer prêcha, sans succès, la
Réforme en 1524.
A partir de 1545, les paroisses sont réunies
mais les deux sanctuaires subsistent. Le
presbytère actuel est alors construit.
En 1756, l'église Saint Laurent est
interdite au culte, étant donné son
état de délabrement. Celle de Saint
Léger est reconstruite en 1773.
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l'écusson
de Steinbrunn le Bas
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On y verra surtout, dans une
niche, une pietà des années 1520 avec un
Christ un peu plus tardif, ainsi que, à
l'entrée du choeur, les statues de saint Blaise
portant deux cierges et de saint Nicolas, provenant de la
chapelle Sainte Apolline. La chaire, les autels et les fonts
baptismaux forment un bel ensemble de style baroque.
Dans une fresque du plafond, Limido a
représenté la Résurrection et, sur le
tableau du choeur, le Christ avec saint Laurent et saint
Léger. Les habitants de Steinbrunn ont servi de
modèles au peintre qui les a figurés devant
l'église du village. Le Christ en croix, de belle
facture, au-dessus de la porte de la sacristie, date de
1630.
la
pietà qui date de 5 siècles
Pour
en savoir plus sur Steinbrunn le Bas et le Pays de
Sierentz... http://www.pays-de-sierentz.com/steinbrunn_le_bas.html
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l'église St Léger de St
Andelain (Nièvre)
Rares
sont les usagers de la nationale 7 qui n'ont eu le regard
attiré par ce village juché à 272 m,
avec pour étendard son fier clocher de pierre.
Outre son bourg, dominant la rive droite de la Loire, face
à Sancerre, St Andelain compte 11 hameaux
répartis sur plus de 2000 hectares.
C'est la principale commune viticole de l'aire d'Appellation
d'Origine Contrôlée Pouilly-Fumé et
Pouilly sur Loire.
St Andelain compte également une activité
agricole céréalière et d'élevage
bovin.
Son église romane St Léger est un site
à ne pas manquer sur la Route des Vins.
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La Très
Vineusement Dévote Confrérie des Baillis de Pouilly sur
Loire compte aujourd'hui environ 2500 membres.
Les Baillis aux longues robes jaunes et noires ont pour devise :
"Eau nous divise, Vin nous unit."
Chaque année,
la confrérie des Baillis tient son chapitre nivernais à
Pouilly sur Loire. Au cours des manifestations, les impétrants
sont intronisés selon les règles précises d'un
cérémonial longuement médité par les plus
sages et scrupuleusement suivi par tous.
Au cours du chapitre solennel de Pouilly sur Loire est
décerné le Prix de la Pipette qui récompense le
meilleur quatrain glorifiant les vins de Pouilly, tel celui-ci
:
"Adorable
joyau de notre Val-de-Loire
Suave Blanc Fumé, nectar chéri des Dieux
Avec le Chasselas, ton compagnon de gloire
Tu mets la joie au coeur et l'amour dans les yeux."
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Lorsque,
au cours des intronisations, le futur bailli reçoit
la plaquette en faïence de Nevers, il doit s'engager
à combattre pour la gloire du vignoble, à
avoir la fierté de ses convictions vineuses, et
être toujours prêt à défendre les
vins de France en général, et de Pouilly sur
Loire en particulier.
Enfin, il
prête serment sur la pipette sacrée que lui
présente le Grand Bailli.
"Qui
Pouilly boit, femme ne déçoit."
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Source et lien :
http://www.ot-pouillysurloire.fr/index.htm
l'église St Léger de
Rixheim (Haut Rhin)
Rixheim
(13 000 habitants environ) se situe à 5 km de
Mulhouse, sur la route de Strasbourg et Mulhouse à
Bâle.
Avec lOrdre des Chevaliers, la vie
ecclésiastique s'y développa avec, dès
1343, la présence dun couvent Saint
Léger.
L'église paroissiale
Saint Léger, qui date du temps de labbaye de
Murbach, est déjà mentionnée en 1272.
Elle possède un clocher doté de
meurtrières remontant au XIIe siècle. Cette
tour de défense était entourée à
l'époque d'un cimetière fortifié qui
devenait un lieu de refuge pour les habitants et leur
bétail, en cas d'attaque ennemie.
Du 9 au 10 août 1914,
une grande bataille de rues nocturne se déroula sur
la place de la mairie et sur l'emplacement de l'actuel
collège, opposant des éléments
d'infanterie allemande à des troupes
françaises. Au cours de cet engagement sanglant, les
troupes allemandes s'entretuèrent par méprise.
Lors de la guerre de
1939-1945, et suite à l'annexion de l'Alsace, de
nombreux habitants durent se réfugier quelques mois
dans le Gers notamment dans les communes d'Ayguetinte,
Beaucaire, Bonas, Larroque-Saint-Sernin, Roques,
Rozès, Saint-Paul-de-Baïse, Saint-Puy,
Valence-sur-Baïse
300 habitants connurent l'incorporation de force dans
l'armée allemande et 60 d'entre eux ne revinrent pas
des combats. Quant à la ville elle-même, elle
dut subir de sérieux bombardements qui
détruisirent 13 maisons, en endommagèrent
quelques centaines et provoquèrent le
décès de 22 civils. C'est le 20 novembre 1944
qu'elle fut libérée.
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Was
denn wünschen... für das neue Jahr ?
La Une de l'Echo Paroissial de janvier
2005
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Pour en savoir
plus...
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le fromage "le petit Saint Léger"
(Alpes Maritimes)
C'est
dans le petit village de St
Léger (06) que se
fabriquent, à la laiterie communale, les fromages de brebis
que sont :
- le Petit Saint Léger
- la tomme de la Roudoule
- le chapeau de la
Letta
Bon
appétit !
l'église St Léger de
Vicq sur Gartempe (Vienne)
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frise
magdalénienne
La clé des
champs
Le Pays des Vals de Gartempe est situé au
nord-est de la Vienne, non loin du Futuroscope. Il est
marqué par une vallée où serpentent 2
rivières tour à tour : la Creuse et la
Gartempe. Truites, anguilles et brochets peuplent ces
parcours de pêche.
Partout l'histoire est présente : cavernes
magdaléniennes le long de l'Anglin,
témoignages de l'art roman... Au détour des
chemins : châteaux, églises vous livrent leurs
secrets intimes.
Promenades à bicyclettes, randonnées
pédestres ou équestres vous permettent de
découvrir ce pays discret mais pourtant si
fertile.
le retable en
bois doré de l'église Saint
Léger
Vicq sur Gartempe
Ce petit village se trouve à proximité du
confluent de 2 rivières poissonneuses : la Gartempe
et l'Anglin.
L'église romane Saint Léger date du XIIe mais
il existait sans doute bien avant un culte à cet
emplacement en bordure de la Gartempe. Elle offre la
particularité d'être à nef unique.
L'intérieur est décoré de chapiteaux
feuillagés et de modillons ornés de
figurines.
Toute notre attention se portera vers le magnifique retable
baroque de la fin du XVIIe, en bois doré, qui occupe
le fond du chur et provient de l'ancienne abbaye de la
Merci Dieu (La Roche Posay).
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Pour
une petite visite guidée,
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Le Pays des Vals de Gartempe
vous entraîne sur les traces de mille et un contes
plus surprenants les uns que les autres :
"Ceci se passait dans des
temps très anciens. Néomaye, jolie et
innocente bergère, fut un jour poursuivie par un
seigneur épris de sa beauté. La jeune fille,
dans sa fuite, chemina dans la forêt lorsque, tout
à coup, apparut un ruisseau qui jaillissait de
quelques pierres. Elle se déchaussa alors pour le
franchir mais aussitôt, à son pied droit,
surgit une patte d'oie. Par ce pouvoir magique,
Néomaye épouvanta le seigneur et cacha ainsi
son secret."
Pour en savoir
plus...
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l'église St Léger de
Leulinghen-Bernes (Pas de Calais)
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A
mi-distance entre Boulogne sur Mer et Calais se situe
Leulinghen-Bernes, commune de 400 habitants
répertoriée parmi les plus jeunes du canton de
Marquise.
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Avec l'un des plus anciens noms de
village que l'histoire locale puisse connaître, Leulinghen tint
une place importante lors des conférences de paix qu'elle
accueillit au sein de sa petite église romane pendant la
guerre de Cent Ans.
Aujourd'hui, Leulinghen-Bernes perpétue cet esprit pacifique,
notamment par la pose d'une plaque commémorative de son
histoire en tant que Centre de Conférences International, et
par la mise en place de manifestations moyenâgeuses.
L'église St
Léger
Au beau milieu de la guerre de Cent
Ans, après 43 ans de combats fratricides aggravés par
des épidémies de peste et par
l'insécurité générale, Anglais et
Français, faute d'argent, engagent des pourparlers de
paix.
Ceux-ci commencent très mal. Plus habituées à
parader qu'à négocier, les deux parties ne s'entendent
sur rien... sauf sur le futur lieu de négociations : aux
limites des deux royaumes, dans cette petite église de chaume
et de terre battue où Dieu, pense-t-on, inspira bonté
et humilité aux humains.
Chaque délégation entre
par sa propre porte et a ainsi le sentiment d'être chez soi :
les Anglais disposent du choeur et les Français de la
nef.
Par
le jeu du hasard et des nécessités, ces
négociations d'abord menées en catimini sous
l'égide des hommes d'Eglise donnent naissance
à un lieu de vie et d'échange où se
rencontrent tous les puissants de l'Occident :
évêques, gouverneurs, têtes
couronnées...
On y discute de tout, y compris de la prochaine croisade, on
y conclut un mariage princier, on y organise des tournois
pour mesurer sa force...
Ces trêves, organisées semble-t-il dans le but
de tromper l'ennemi, donneront aux belligérants 30
ans d'accalmie avant la reprise des combats et
Azincourt...
St
Léger, Patron de l'église de
Leulinghen-Bernes
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Pour une
découverte de Leulinghen-Bernes
et une visite interactive de son
église...
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https://www.stleger.info