le prieuré
Saint-Léger d'Arronnes (Allier)
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Le
village d'Arronnes (03) est situé à 15 km au
sud-est de Vichy, dans la montagne bourbonnaise, et compte
364 Arronnais (ou Arribaus, ou Naisas en patois).
L'altitude varie de 330 m à 597 m.
http://www.viamichelin.f
d'or au pairle
ondé d'azur accompagné en chef d'un bonnet
phrygien de gueules,
à dextre d'une crosse d'évêque, et
à senestre d'une clef, le tout de sable
Arronnes
et le clocher
de l'église Saint-Léger
l'ancienne
prieurale,
vue de l'ouest
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Le
prieuré Saint-Léger, mentionné
dans une bulle dUrbain II en 1095, est
fondé au XIe s. par labbaye de Cluny.
Un bourg se
développe autour, qui accueille les
voyageurs se rendant dans le Forez.
En 1279, les
visiteurs de lordre de Cluny constatent que
le prieuré, en bon état, abrite un
moine et un prieur.
Mais la situation
se dégrade rapidement : dès 1294, il
semble que létablissement soit
lourdement endetté, et en 1341 certaines
parties des bâtiments "tombent en ruines".
Les voyageurs ne sont plus accueillis, les toits
seffondrent, et les moines nhabitent
plus les lieux.
Le monastère disparaît totalement
à la fin du XVe. Le prieuré
Saint-Léger sera resté clunisien
durant 6 siècles.
Aujourdhui
subsiste de cet ensemble monastique
léglise priorale Saint-Léger
(XIe-XIIe), d'un grand intérêt
architectural.
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Saint Pierre est le patron
de la paroisse et saint Léger celui de
léglise. Deux statues du XVIIe, en bois
polychrome, ont été sculptées à
leur effigie. Elles sont inscrites à
lInventaire Supplémentaires des Monuments
Historiques.
saint
Pierre
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saint
Léger
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Ce
modillon est lun des trois figurés de
léglise. Le visage
représenté montre un homme barbu, les
yeux ouverts, les cheveux soigneusement
coupés.
Il pourrait évoquer lun des moines
venus de la grande abbaye bourguignonne de
Cluny.
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Ce
chapiteau du portail occidentall représente
sur un côté une bête qui mord sa
queue.
Une autre bête se trouve sur lautre
face.
Sculpté dans du calcaire, le dessin est
assez bien conservé.
Il est lunique chapiteau figuré.
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La commune dArronnes
voit le jour en 1790. Etendue sur 2 600 ha avec 12 km de
voirie départementale et 70 km de voirie communale,
elle accueille une population toujours plus nombreuse au
sein de ses 38 villages et hameaux dispersés.
Le bourg, organisé autour de léglise
Saint-Léger, conserve de vieilles maisons de la fin
du Moyen-Âge au XIXe s. A découvrir avec le
circuit du patrimoine.
Tous les 14 juillet a lieu une Fête du Pain. A noter
à Arronnes une Maison de la Paysannerie.
Sources et liens :
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le verre de Charles
de Saint-Léger
le
blason de Rully
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On
conserve précieusement au château de
Rully (Saône et Loire) le verre de Charles de
Saint-Léger. Ce personnage flamboyant vivait
ici au XVIe siècle. Son verre contient trois
litres de vin et il le vidait, dit-on, d'un trait
!
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Rully est
tout proche de St Léger sur
Dheune.
Bâti
à flanc de coteau, le château de Rully domine
toute la région face à la plaine de la
Saône et au lointain Jura.
Dès le milieu du IXe, ce lieu fortifié fait
partie des domaines de la puissante Maison de Vergy
(Hautes-Côtes de Nuits) qui donnera à la
Bourgogne une de ses plus célèbres duchesses.
Il appartient ensuite à la famille de Ruilly (ou
Rully), qui le conserve jusqu'au XIIIe. Il passe alors dans
la famille de Saint-Léger par le mariage d'Isabelle
de Ruilly avec Robert de Saint-Léger.
Il appartient à la famille de Saint-Léger
jusqu'en 1619 avant d'entrer par héritage dans la
famille de Montessus, puis dans la famille d'Aviau de Ternay
en 1936 par donation-partage.
Le
château de Rully, forteresse médiévale
avec son donjon carré du XIIe, ses tours d'angles
rondes du XIVe et le corps de logis construit par la famille
de Saint-Léger au XVe, se trouve ainsi dans la
même famille depuis plus de 700 ans !
La
chapelle droite du transept de l'église de
Rully est la chapelle seigneuriale et porte le
blason des de Saint-Léger sur la clé
de voûte.
La
Saint Vincent Tournante a été
accueillie à Rully pour la première
fois en 1971, et pour la seconde fois en 1998 (54e
édition). A cette occasion a
été créée pour la
première fois une cuvée
spéciale de Crémant de Bourgogne.
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Source et
lien, pour tout savoir sur la Saint Vincent Tournante :
http://www.bcmn.fr/federation/cmcee/saint-vincent/village.html
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Evangéline Saint-Léger,
mondaine futile
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"Jean-Pierre
Ferrière a publié depuis 1957 plus de 65
romans, tous de grande qualité.
Quatre ont pour héroïne Evangéline
Saint-Léger, grande bourgeoise snob ainsi
présentée au début de sa
première aventure : " A 38 ans, Evangéline
paraissait avoir à peine dépassé le cap
de la trentaine. Elle était très mince. De
grands yeux au regard étonné lui donnaient un
air de fragilité qui retenait et séduisait.
Les cheveux d'un blond très doux retombaient en
vagues souples sur ses épaules (
) Tout en elle
était grâce et féminité."
Au 4e roman, elle aura 44 ans.
Evangéline est
mariée à Alexandre, souvent absent. Ils ont
deux enfants, largement impliqués dans les aventures
d'Evangéline : Philippe a, au fil des histoires, de
17 à 24 ans. Sa sur Sophie a un an de moins.
"Tous deux étaient aussi pâles et aussi
blonds l'un que l'autre".
Non, cette
héroïne n'est certainement pas
démodée. Bien sûr, elle
représente la bourgeoisie 16e-Neuilly de son
époque. Mais cette catégorie de femmes
a-t-elle vraiment disparu ? Au besoin, on peut
aisément transposer son image, l'actualiser.
Précisons que l'auteur ne la ridiculise jamais, mais
nous offre une excellent caricature.
Voici les 4 aventures la
mettant en scène :
- "Evangéline ne
reçoit plus"
(Ditis 1960, La Chouette N°185)
- "Evangéline
donne le ton"
(Ditis 1961, La Chouette N°208)
- "La mort en
sautoir"
(Fleuve Noir 1970, Spécial police
n°770)
- "Folles de
haine"
(Fleuve Noir 1975, Spécial Police
n°1160)
Sauf erreur,
Evangéline Saint-Léger n'a pas vécu
d'autres aventures. On a pu constater combien la vie de
cette mondaine futile pouvait être agitée.
Précisons que, dans l'action, elle fait preuve d'un
courage et d'une lucidité bien éloignés
de son image initiale. Un hommage méritait
d'être rendu à cette superbe
héroïne."
Claude
Le Nocher
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"
La
mort en sautoir" est devenu en 1980 un téléfilm de
Pierre Goutas diffusé sur TF1, avec Danielle Darrieux, Bruno
Pradal et Patrick Bruel qui y joue le rôle d'un "loulou" et
interprète une chanson : "Chère Madame".
Evangéline Saint-Léger
(Danielle Darrieux) coule une vie paisible entre son mari, rarement
présent, et ses deux enfants. Un jour, préparant sa
tenue de soirée, elle rend visite à son amie
Valérie dans l'espoir de lui emprunter un étincelant
bijou. Quelques heures plus tard, Evangéline est chez elle en
train de s'apprêter, quand arrive une jeune fille qui lui
annonce être enceinte du fils des
Saint-Léger...
Lire la
totalité de l'article de Claude Le Nocher paru dans la revue
813 en 2003 :
http://www.bibliopoche.com/billet_polar_evan.php
Accéder au site
consacré à Patrick Bruel : http://users.skynet.be/sky35350/pbtelef.html
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l'église St
Léger de Delle
(Territoire de Belfort)
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Située
dans le Nord-Est de la France, entre lAlsace et le
Jura, Delle se trouve en Franche-Comté. C'est la
deuxième ville du Territoire de Belfort.
Delle est frontalière avec la Suisse,
précisément avec la ville de Boncourt, dans le
canton du Jura suisse.
Barthélémy-Louis
Schérer
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Né
à Delle en 1747, décédé
en 1804, Barthélémy-Louis
Schérer fut Commandant en chef de
lArmée dItalie en 1794, puis de
1795 à 1797. Il fut également
Ministre de la Guerre de 1797 à
1799.
Hommage lui fut
rendu à loccasion de la refonte de son
buste en bronze, dont l'histoire est
mouvementée : inauguré en grand
apparat en 1914, il fut enlevé par les
Allemands en 1940 pour être fondu. Seuls
subsistaient son socle et son moulage en
plâtre.
En 1999, le moule,
rangé dans la Maison des Remparts depuis
plus de 57 ans, fut nettoyé et envoyé
dans une fonderie en Haute-Saône qui
reconstitua le buste en bronze.
Le nouveau buste, installé sur la place des
Remparts, a été inauguré le 24
novembre 2001.
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Delle,
berceau du drapeau tricolore
Le
Général Schérer est à
lorigine de linstauration du drapeau tricolore
en France. Cest au cours de son passage au
ministère de la Guerre quil participa à
la création du drapeau national.
En
1797, le Général a approuvé
les dessins de David correspondant à notre
actuel drapeau composé de 3 bandes
verticales : une bleue à la hampe, une
blanche au centre et une rouge flottant dans les
airs.
Cette
décision du ministre Schérer fait
suite au décret du 27 pluviôse an II
(15 février 1794) qui a institué le
pavillon national.
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l'église
St Léger
photo
Marylène Léostic
Les dates inscrites
au-dessus de la porte latérale nous indiquent deux
étapes importantes dans l'évolution de
l'édifice :
- 1573 : première
date gravée sur une pierre en forme de cartouche
rectangulaire (souvenir de l'emplacement de
l'église médiévale)
- 1709 : deuxième
date à laquelle l'église fut
modifiée
La grande inondation de 1714
a provoqué des dégâts importants.
D'énormes travaux de reconstruction ont
été entrepris et ont duré jusqu'en
1732. L'église a été recouverte d'un
clocher à bulbe comtois typique de la
région.
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En
1857, elle fut presque entièrement
détruite par un incendie qui ne laissa que
le clocher. Une nouvelle reconstruction de
l'église, telle qu'on peut la voir
aujourd'hui, a été entreprise.
Elle possède
aujourd'hui des orgues remarquables.
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pour
poursuivre la visite
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Francis
Saint-Léger, député de la
Lozère
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Francis
Saint-Léger
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Né
en 1957 à Mende (Lozère), Francis
Saint-Léger est maire de Rieutort-de-Randon
(646 habitants) depuis 1989, et
député de la 1re circonscription de
la Lozère (groupe UMP) depuis 2002.
Rappelons qu'il existe en Lozère deux
communes "St Léger" : St Léger du
Malzieu et St Léger de Peyre.
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"Je
n'ai pas manqué de visiter votre site alliant les
aspects ludique et informatif. J'ai appris avec plaisir
qu'il existait 73 hagiotoponymes Saint-Léger. Les
deux villages lozériens ne font malheureusement pas
partie de ma circonscription. Cela aurait été
plutôt cocasse.
Bien amicalement."
Francis
Saint-Léger,
député
de la Lozère, le 4 novembre 2002
Le
numéro de la place qu'il occupe dans
l'hémicycle de l'Assemblée Nationale est le
156. La zone en rouge situe le banc :
Source :
http://www.assemblee-nat.fr/12/tribun/fiches_id/267003.asp
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l'église
Saint-Léger à Domèvre-en-Haye
(Meurthe et Moselle)
le plus petit chef-lieu de canton de
France
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Le
village de Domèvre, à 18 km au nord de Toul,
accroché à une côte, avec ses toits rouges
massés sous le clocher et son environnement de mirabelliers,
offre, côté Manonville, un joli tableau, typiquement
lorrain.
http://www.viamichelin.fr
A la Révolution,
Domèvre devint chef-lieu de canton, choisi malgré son
peu d'importance en raison de sa position centrale par rapport aux 21
communes formant le canton.
A l'angle de la rue de la Côte
et de la place, un bâtiment montre une certaine magnificence et
on devine qu'il s'agit de la mairie-école. La façade
rappelle un peu un temple grec. Devant l'entrée, quatre
colonnes doriques soutiennent un balcon. La porte fenêtre
donnant sur ce balcon est coiffée d'une corniche
moulurée triangulaire et la corniche du toit est de même
facture.
C'était la mode lorsque ce bâtiment fut construit en
1822 pour servir de prétoire à la justice de paix du
canton. La mairie y fut installée en 1873, après
restauration, ce qui permit de libérer le local servant de
mairie dans une maison où il y avait alors une école et
de créer une école de filles.
En face sur le tertre, le monument aux Morts incite au recueillement.
Il fut édifié en 1923 pour la somme de 2000
francs.
l'église
Saint-Léger de Domèvre
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Le bureau de poste, voisin
de la mairie, fut installé en 1881. En 1858, on
construisit un aigayoir, sorte de retenue d'eau où
l'on baignait les chevaux.
Il faut mentionner
l'ancienne gare du chemin de fer de Toul à
Thiaucourt, bien peinte aux couleurs vives. Hélas, il
n'y a plus de rails ni de locomotives pour siffler. On y
accède, en bas du village, par la rue du Vin, ce qui
prouve que dans les temps pas très anciens, jusque
vers 1900, on cultivait la vigne à
Domèvre.
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La population, avec l'exode rural,
était descendue à 176 habitants en 1975, après
avoir été de 391 en 1843. Elle est actuellement* de 307
habitants donc en rapide expansion.
C'est aujourd'hui une commune
exceptionnellement jeune puisque 30% de la population est mineure.
Une Maison des Jeunes et de la Culture s'est créée pour
donner de l'animation et organiser la venue de Saint-Nicolas. Elle
mijote aussi de nombreux projets.
Source :
Domèvre-en-Haye en 1984, par Théo Saintot (journal "Le
Brûlot")
sur le site http://membres.lycos.fr/gerard/index.html
Depuis lors, Domèvre-en-Haye a
frappé fort, avec sa Foire aux Roubignoles !
Deux pages
vous attendent ici, sur deux sujets... très variés
!
la Foire aux
Roubignoles
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l'église St
Léger
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https://www.stleger.info