Eléments pour une étude

sur la diffusion du culte de saint Léger

 par Roger Gazeau 1971

 

 

 

l'abbaye de Murbach (Haut Rhin)

 

En travaillant à l'établissement d'une carte des églises de France dédiées à saint Hilaire (1), j'ai été surpris de rencontrer sur ma route bon nombre de paroisses ayant pour titulaire un autre saint poitevin, lui aussi étroitement lié à l'histoire de notre province, saint Léger.
Il m'a paru intéressant d'en tenter un relevé.

(1) Cf notre Contribution à l'étude de l'histoire et de la diffusion du culte de saint Hilaire de Poitiers, parue dans le volume collectif "Hilaire et son temps" (Paris, Etudes Augustiniennes, 1969, p.113-126)

La vie de saint Léger est assez bien connue (2).

(2) On possède deux vies du saint (Passiones), écrites avant 690, l'une à la demande de l'évêque d'Autun Hermenarius (vers 678 - mort vers 690) par un moine de l'abbaye Saint-Symphorien d'Autun, l'autre à la demande de l'évêque de Poitiers Ansoald (vers 675 - mort vers 700) par l'Abbé de Ligugé Ursinus.
Cf MGH, Script. rer. merov., t.V (Hanovre, 1910), éd. B. Krusch, p.249-356.
Comme bibliographies récentes : RP Camerlinck, OP, Saint Léger, évêque d'Autun (616-678), collection "Les saints" (Paris, Gabalda, 1910), et la notice des Vies des saints et bienheureux..., t.X (Paris, Letouzey, 1952), p.39-43, assortie d'une bibliographie détaillée.

 

saint Léger
église abbatiale Saint-Léger de Murbach (Haut-Rhin)

 

Neveu, par sa mère Sigrade, de l'évêque de Poitiers Didon (v. 628 - mort v. 675), Léger reçut auprès de son oncle "une éducation littéraire et scientifique soignée" pour l'époque.
Elevé au diaconat vers sa vingtième année (636), il fut nommé peu après Archidacre de Poitiers, puis vers 653, à trente-sept ans, Abbé de Saint-Maixent.
Six ans plus tard, la reine Bathilde l'appelait à la Cour pour y faire partie du Conseil de régence, jusqu'à ce qu'elle lui confiât I'évêché d'Autun (663).

Impliqué dans les rivalités politiques et les intrigues de cour de ces "temps barbares", il se vit relégué pendant quelques mois à l'abbaye de Luxeuil (675), puis violemment pris à partie, peu après sa Iibération, par un ennemi implacable, le terrible maire du palais Ebroïn.

Pour sauver du massacre général sa cité menacée, il se livra de lui-même à son ennemi (676).
A peu de distance d'Autun, sur le chemin de Couhard (3), on lui creva les yeux, puis on le traîna jusqu'en Neustrie, où il fut finalement abandonné chez les moniales de l'abbaye de Fécamp.

(3) Dès la fin du VIIe siècle (vers 696), fut édifiée une chapelle, dite de "l'excécation", pour commémorer ce douloureux épisode de sa "passion", au lieu même où le crime fut perpétré.

Deux ans plus tard, Ebroïn le fit amener dans sa villa de Sarcing (4), aux confins de l'Artois et de la Picardie, où il fut massacré (2 oct. 679).

(4) Une chapelle prétend matérialiser l'emplacement du "martyre" : elle est située en pleine forêt, sur la commune de Lucheux (Somme), à mi-chemin de Sus Saint Léger (Pas de Calais).
Les églises de ces deux villages sont dédiés à saint Léger ; elles relevaient jadis l'une et l'autre du diocèse d'Arras.
L'actuelle chapelle fut édifiée par les carmes vers 1600.

 

Lucheux (Somme) - Chapelle St-Léger
Ruines d'un hospice et d'une chapelle, bâtis vers 1600 par les Carmes
sur l'emplacement où St-Léger subit le martyre, le 2 octobre 678

 

Dès Pâques 681, un synode des évêques convoqué par le roi examina les "miracles" attribués par la rumeur populaire à l'intercession de Léger.
Son culte fut autorisé, avec les honneurs rendus aux martyrs, et l'évêque de Poitiers obtint de pouvoir transférer ses restes mortels au monastère poitevin de Saint-Maixent, dont il avait été l'Abbé.
La translation eut lieu en 684, dans la nouvelle basilique édifiée précisément pour les accueillir.

Aux trois centres de diffusion de son culte, que constituaient les diocèses de Poitiers (sa patrie d'origine et le Iieu de sa sépulture), d'Autun (son siège épiscopal) et d'Arras (où il subit le martyre), vinrent bientôt s'en ajouter plusieurs autres.
La renommée du saint aveugle de Fécamp se répandit dans la Haute-Normandie (diocèses de Rouen, Evreux et Lisieux), la Picardie et le Beauvaisis.
Au IXe siècle, fuyant devant la menace des invasions normandes, les moines de Saint-Maixent se transportèrent, avec les reliques de leurs saints, à Ebreuil (Allier), alors au diocèse de Clermont.
Lors du retour de la communauté en Poitou, une partie des reIiques de saint Léger fut laissée aux moines qui demeuraient à Ebreuil.
Ainsi fut créé un nouveau centre de propagation du culte de leur saint Abbé, qui rayonna surtout vers le Limousin et jusqu'en Saintonge.

Plus importante encore devait être la rédaction au Xe siècle de la Vie de sainte Odile.
D'après son auteur, Odile était fille d'Athalric, duc d'Alsace, et de Béreswinthe, propre soeur de Sigrade et de Didon.
Elle était donc cousine germaine de saint Léger.
Cette "tradition" explique la popularité du saint en Alsace et en Franche-Comté.
L'abbaye de Murbach (VIIIe siècle), due aux largesses des ducs et placée sous son patronage, ne contribua pas peu à la diffusion de son culte dans toute la région.

 

l'abbaye de Murbach au XVIIIe siècle
aquarelle anonyme
(Colmar, musée Unterlinden)

 

Sept abbayes françaises (5) et plus de trente prieurés (6) l'ont eu pour saint patron.

(5) Une abbaye de chanoines réguliers (OSA) aux portes de Soissons (Aisne) et quatre abbayes de moines bénédictins : Ebreuil (Allier) au diocèse de Clermont, Meymac (Corrèze) au diocèse de Saintes, Murbach (Haut Rhin) au diocèse de Bâle, et Saint Liguaire (Deux Sèvres) au diocèse de Saintes ; enfin deux abbayes de moniales bénédictines : les Préaux (Eure) au diocèse de Lisieux, et Massevaux (Haut Rhin) au diocèse de Bâle.

(6) La plupart sont des prieurés simples de l'Ordre bénédictin ; quatre pourtant appartiennent à l'ordre canonial (OSA), un à l'ordre cistercien.
Signalons encore deux anciennes abbayes redevenues prieurés conventuels : Saint Léger, à Saint Léger Triey (Côte d'Or), diocèse de Dijon, et Saint Léger aux Bois (Oise) au diocèse de Soissons, et en outre deux prieurés de moniales, dont un de fontevristes à Estein (Puy de Dôme), diocèse de Clermont.

Des Abbés, Abbesses, prieurs ou prieures, présentaient les desservants de quelque 175 paroisses (7) mises sous son vocable, dont une bonne vingtaine étaient des prieurés-cures (8).

(7) Ces paroisses appartenaient en grande majorité à l'OSB : 125 sur 175, dont huit à des monastères de moniales.
Une trentaine appartenaient à l'OSA, cinq aux cisterciens, cinq à un Ordre militaire, quatre aux prémontrés, six à divers monastères.

(8) Cinq d'entre eux appartenaient à l'OSA, un aux prémontrés, les autres à l'OSB.

De son côté, le clergé diocésain le choisit pour titulaire d'au moins quatre collégiales (9) et de plus de 220 paroisses (10).

(9) Saint-Léger de Marsal (Moselle, diocèse de Metz), de Péronne (Somme, diocèse de Noyon), de Loudun (Vienne) et de Saint-Maixent, au diocèse de Poitiers.

(10) Chacune de ces églises a fait l'objet d'une fiche.
Le fichier a été déposé aux Archives de l'Evêché de Poitiers (44, rue Jean-Jaurès).
Y figurent aussi les chapelles, les lieux-dits, les images, les reliques, les manuscrits liturgiques, avec les références.
Les paroisses Saint-Léger sont nombreuses surtout dans le Pas de Calais (55), ensuite dans la Somme (24), le Haut Rhin (19), la Côte d'Or (18), l'Oise (16), la Haute Saône (14), le Doubs et la Seine Maritime (12)...

 

 

 

 

 

 

 

statue de saint Léger
église de St Lager (69)

 


St Léger, privé de ses yeux...

...les porte toujours avec lui.

 

 

A ces églises viennent s'ajouter les chapelles, images et autels qui lui ont été consacrés et qui témoignent de la dévotion des fidèles : on en peut compter au moins une soixantaine et, en outre, bon nombre de lieux-dits qui attestent eux aussi la popularité du culte qui lui fut jadis rendu dans notre pays (11).

(11) Des reliques plus ou moins considérables, d'une authenticité parfois douteuse, étaient vénérées dans une bonne vingtaine d'églises.
Au début de ce siècle encore, elles attiraient les pélerins à Socx (Nord).
Sous l'Ancien Régime, plusieurs ermitages lorrains étaient sous le vocable de Saint-Léger.

Ainsi, 64 communes, dans 41 départements différents, portent son nom, en quelques cas Iégèrement modifié par l'usage local (12).

(12) Par exemple : La Chapelle-Iger, en Brie (Seine et Marne), Saint-Lager (Rhône) ; nous étudierons plus bas le cas de Saint-Liguaire (Deux Sèvres).

Il convient de mentionner aussi une centaine de hameaux ou écarts, si bien qu'au total, le nom de saint Léger figure au répertoire des noms de lieux d'une soixantaine de départements (13), soit les deux tiers du territoire national.

(13) Après dépouillement des Dictionnaires topographiques des Départements et des publications de l'INSEE (Nomenclature des hameaux et écarts), dix-sept départements seulement (moins de un sur cinq) apparaissent dépourvus de tout lieu habité portant le nom de Saint-Léger.
Il revient plus fréquemment en Saône et Loire (5 communes et 5 hameaux), dans la Somme (4 communes et 7 hameaux), dans l'Eure (3 communes et 7 hameaux), dans l'Aube (3 communes et 3 hameaux), en Côte d'Or (1 commune et 6 hameaux)...

La proportion des départements qui n'offrent aucune trace de son culte, soit dans les manuscrits liturgiques, soit dans les vocables d'églises ou de lieux, est finalement très faible (1/1Oe environ) (14).

(14) Ces neuf départements sont : Aveyron, Corse, Gers, Landes, Loir et Cher, Pyrénées Orientales, Haute Savoie, Tarn, Hauts de Seine.
Six autres n'ont aucun lieu-dit Saint-Léger : Basses Alpes (actuellement Alpes de Haute Provence), Hautes Pyrénées, Aude, Hérault, Basses Pyrénées (actuellement, Pyrénées Atlantiques), Tarn et Garonne.

 

le martyre de Saint Léger - manuscrit du XIV°s
http://clionide.free.fr/Thierry_III.htm

 

Ces constatations font apparaître saint Léger comme le plus connu et le plus vénéré, après saint Hilaire, des saints originaires du Poitou (15).

(15) Saint Martin, né en Pannonie, et sainte Radegonde, née en Thuringe, ne sont pas des saints poitevins d'origine, mais d'adoption.

Cette gloire posthume rejaillit plus particuIièrement sur les Deux Sèvres, sur la ville de Saint-Maixent et sur les paroisses rurales du département placées sous son patronage.
On en compte au moins cinq : Saint-Léger Iès Melle (actuellement St Léger de la Martinière), Saint-Léger de Montbrun, Chanteloup, Lamairé et Vautebis.
Le Haut-Poitou ne se montra pas moins empressé à honorer son ancien archidiacre : il lui dédia huit églises paroissiales, dont une dans la ville épiscopale, un prieuré et deux chapelles (16).

(16) Voir plus loin, p.233, Poitiers-86 in "Revue du Bas Poitou, t.IV, 1971"

Le diocèse de Poitiers eut en outre deux Chapitres Saint-Léger : l'un à Saint-Maixent, l'autre à Loudun.
Par contre, le Bas-Poitou vendéen n'a aucune égIise sous son vocable : seuls les moines du prieuré de Mortagne sur Sèvre lui édifièrent une chapelle pour abriter les reliques obtenues de leurs frères de Saint-Maixent.
Aux Iimites nord du diocèse de Maillezais, sur l'ancienne paroisse du May-sur-Evre, son culte est attesté au lieu qui est devenu aujourd'hui la commune de Saint-Léger sous Cholet (Maine et Loire).
Enfin, aux confins des diocèses d'Angers et Tours, avec celui de Poitiers, on relève trois paroisses sous son patronage : à Doué la Fontaine ( Maine et-Loire), à Cravant les Coteaux et Nouâtre ( Indre et Loire).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

statue de saint Léger en l'église St Jean Baptiste
St Léger en Yvelines (78)

 

 

Reste aux portes de Niort l'église abbatiale de Saint-Liguaire, qui pose un problème particulier.

L'église paroissiale de Saint-Liguaire aurait été fondée par Charlemagne (?), ou du moins au IXe siècle, et placée sous l'invocation de Notre-Dame et Saint-Vincent (17).

(17) Cf A. Richard, Chartes et documents pour servir à l'histoire de l'abbaye de Saint-Maixent, t.II (Poitiers, 1886), p.481 et t.I (1886), p.72.

Elle fut ensuite donnée à l'abbaye de Saint-Maixent qui y fonda un monastère vers 961, très vraisemblablement sous le vocable de Saint-Léger, qui prévaut dans les textes en 988.
Mais les vicomtes de Niort voulurent émanciper cette abbaye, située si près de leur château, de la tutelle de I'abbaye-mère (18).

(18) En 988, ils tentèrent de la soumettre à la lointaine abbaye de Saint-Géraud d'Aurillac, mais l'affaire n'eut pas de suite.
L'abbaye de Saint-Liguaire n'eut son propre abbé et ne fut vraiment indépendante de Saint-Maixent qu'à partir de la seconde moitié du XIe siècle.

Comme elle se trouvait sur le territoire du diocèse de Saintes, on se souvint opportunément qu'un obscur évêque du nom de Leodegarius avait jadis occupé ce siège (19) ; on profita de l'homonymie pour le déclarer patron de l'abbaye niortaise.

(19) On le chercherait vainement dans le Gallia Christiana (II, 1923) ; Mgr Duchesne, dans ses Fastes épiscopaux de l'ancienne Gaule (II, 72-74), ne retient pas son nom qu'il ne rencontre que dans les Listes tardives, peu sûres et d'ailleurs manifestement incomplètes, d'évêques de Saintes.
Il y figure au 3e rang après Leontius, bien attesté en 627 et 637, ce qui ferait de lui au mieux un contemporain de saint Léger d'Autun... et non un homme de la génération de son grand-père, comme a cru le prouver J. Depoin dans son Histoire des évêques de Saintes (Paris, Champion, 1921).

De ce "Liguaire, confesseur", on semble d'abord n'avoir retenu que le nom.
Mais plus tard, il eut droit à sa "légende", que l'on peut lire dans un bréviaire manuscrit de l'église de Saintes (20) : texte tardif (XIVe), qui rappelle fâcheusement l'histoire de l'évêque d'Autun...

(20) Le manuscrit Paris, BN, lat., 16 309, fol. 521-522, reproduit dans J. Depoin, op.cit., p.144-145.

 

 

 

 

 

 

 

 

statue de saint Léger
St Léger les Mélèzes (05)

 

 

Avec beaucoup de science et de talent, J. Depoin a tenté d'accréditer l'historicité de ces récits.
Mais comment engendrer une certitude en accumulant des hypothèses seulement plausibles (21) ?

(21) Depoin a cru pouvoir identifier l'assassin de l'évêque de Saintes avec le Berulfus dux connu de Grégoire de Tours, mais dont nous ne savons plus rien après l'année de sa disgrâce (585).
Or l'assassinat aurait eu lieu près d'un quart de siècle plus tard (608), selon ses calculs...

Il est sûr qu'au Moyen Age l'Eglise de Saintes fêtait ce saint Liguaire le 12 novembre ; mais à ce même jour, un bréviaire du diocèse de Poitiers, du XVe siècle, fait mention d'un "Leodegarius, martyr" (22).

(22) Cf Leroquais, Bréviaires manuscrits..., t.IV, p.73 ; il s'agit du ms n°1 de la Bibliothèque municipale de La Roche sur Yon, fol.256.

Dès lors, pourquoi exclure l'anniversaire d'un transfert de reliques de l'évêque d'Autun, dans quelque église saintongeaise (23), un 12 novembre ?

(23) On peut songer à une relique venue de Saint-Maixent à Saint-Liguaire lors de la fondation (961), ou à une relique venue d'Ebreuil à Saint-Léger de Cognac, fondé en 1031 (donc avant même que l'abbaye Saint-Liguaire n'ait acquis son autonomie).

Puisque le 2 octobre était le dies natalis de l'évêque d'Autun, on se persuada aisément que le 12 novembre ne pouvait être que celui de son homonyme de Saintes.
Le vrai patron de l'abbaye Saint-Liguaire semble bien avoir été à I'origine le saint vénéré à Saint-Maixent, même si plus tard lui fut adjoint ou substitué un saint du terroir saintongeais.
Ce dernier, bien entendu, ne pouvait le céder en rien à son rival poitevin.
Il fallait bien plutôt découvrir en quoi il pouvait l'emporter sur lui : on ne crut pouvoir trouver mieux que l'ancienneté.
C'est du moins ce que sa légende a voulu suggérer.

Mais n'était-ce pas encore, quoique d'une façon détournée, rendre inconsciemment hommage au "martyr" de Sarcing ?

Roger Gazeau
Eléments pour une étude sur la diffusion du culte de saint Léger
Revue du Bas Poitou tome IV / 1971

 

 

 "Vie de Saint Léger, Evêque d'Autin"
par un moine de St Symphorien d'Autun qui vécut auprès du saint
La Vie de Saint Léger, évêque d'Autun
vers 980 - manuscrit de la bibliothèque de Clermont-Ferrand
 "Saint Léger - La Légende Dorée"
de Jacques de Voragine, nouvellement traduite en français - 1261-1266
 "De St Léger, évêque et martyr", par le R.P. Simon Martin
Les Nouvelles Fleurs des Vies des Saints - 1654
 "Saint Léger - 2 octobre"
Les Vies des Saints - 1724
 "Histoire de saint Léger, évêque d'Autun et martyr"
par le R.P. Dom Pitra - 1846
 "Saint Léger - son martyre - sa première sépulture à Lucheux"
par l'abbé Théodose Lefèvre - 1884
 "saint Léger, évêque d'Autun, martyr"
Imprimeur E. Petithenry, Paris - vers 1900
 "Vie de Saint Léger"
par le R.P. Camerlinck, de l'Ordre des Frères Prêcheurs - 1906
 "Léger, d'Autun"
par
Dom H. Leclercq - 1929
"Eléments pour une étude sur la diffusion du culte de Saint Léger"
parue dans "la revue du Bas Poitou" tome IV - 1971
 "Saint Léger - fête le 2 octobre - 3 octobre"
La Légende Dorée d'Autun, par Denis Grivot - 1974
"Saint Léger", par Denis Grivot,
Maître de Chapelle Honoraire de la Cathédrale d'Autun
 La prédication sur Saint Léger faite à l'église protestante
de St Légier la Chiésaz (Suisse) - 1997
 
 "Saint Léger, évêque d'Autun et martyr"
2 homélies du Père Alexandre, St Léger sous Beuvray - 1998 et 2003
 "Saint Léger, porte-parole des élites bourguignonnes"
tiré du Journal de la Bourgogne - 2002
 "le bon et la brute" ou "Léger contre Ebroïn"
sur le très joli site "Auxonne, capitale du Val de Saône" - 2009

 

 

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