En
travaillant à l'établissement d'une carte des
églises de France dédiées à saint Hilaire
(1), j'ai été surpris de rencontrer sur ma route bon
nombre de paroisses ayant pour titulaire un autre saint poitevin, lui
aussi étroitement lié à l'histoire de notre
province, saint Léger.
Il m'a paru intéressant d'en tenter un
relevé.
(1) Cf notre
Contribution à l'étude de l'histoire et de la
diffusion du culte de saint Hilaire de Poitiers, parue dans le
volume collectif "Hilaire et son temps" (Paris, Etudes
Augustiniennes, 1969, p.113-126)
La vie de saint Léger est assez bien
connue (2).
(2) On possède deux vies du
saint (Passiones), écrites avant 690, l'une à la
demande de l'évêque d'Autun Hermenarius (vers 678 - mort
vers 690) par un moine de l'abbaye Saint-Symphorien d'Autun, l'autre
à la demande de l'évêque de Poitiers Ansoald
(vers 675 - mort vers 700) par l'Abbé de Ligugé
Ursinus.
Cf MGH, Script. rer. merov., t.V (Hanovre, 1910), éd. B.
Krusch, p.249-356.
Comme bibliographies récentes : RP Camerlinck, OP, Saint
Léger, évêque d'Autun (616-678), collection
"Les saints" (Paris, Gabalda, 1910), et la notice des Vies des
saints et bienheureux..., t.X (Paris, Letouzey, 1952), p.39-43,
assortie d'une bibliographie détaillée.
saint
Léger
église abbatiale Saint-Léger de Murbach
(Haut-Rhin)
Neveu, par sa mère Sigrade, de
l'évêque de Poitiers Didon (v. 628 - mort v. 675),
Léger reçut auprès de son oncle "une
éducation littéraire et scientifique soignée"
pour l'époque.
Elevé au diaconat vers sa vingtième année (636),
il fut nommé peu après Archidacre de Poitiers, puis
vers 653, à trente-sept ans, Abbé de Saint-Maixent.
Six ans plus tard, la reine Bathilde l'appelait à la Cour pour
y faire partie du Conseil de régence, jusqu'à ce
qu'elle lui confiât I'évêché d'Autun
(663).
Impliqué dans les rivalités
politiques et les intrigues de cour de ces "temps barbares", il se
vit relégué pendant quelques mois à l'abbaye de
Luxeuil (675), puis violemment pris à
partie,
peu après sa Iibération, par un ennemi implacable, le
terrible maire du palais Ebroïn.
Pour sauver du massacre
général sa cité menacée, il se livra de
lui-même à son ennemi (676).
A peu de distance d'Autun, sur le chemin de Couhard (3), on lui creva
les yeux, puis on le traîna jusqu'en Neustrie, où il fut
finalement abandonné chez les moniales de l'abbaye de
Fécamp.
(3) Dès la fin du VIIe
siècle (vers 696), fut édifiée une chapelle,
dite de "l'excécation", pour commémorer ce douloureux
épisode de sa "passion", au lieu même où le crime
fut perpétré.
Deux ans plus tard, Ebroïn le fit
amener dans sa villa de Sarcing (4), aux confins de l'Artois et de la
Picardie, où il fut massacré (2 oct. 679).
(4) Une chapelle prétend
matérialiser l'emplacement du "martyre" : elle est
située en pleine forêt, sur la commune de Lucheux
(Somme), à mi-chemin de Sus Saint Léger (Pas de
Calais).
Les églises de ces deux villages sont dédiés
à saint Léger ; elles relevaient jadis l'une et l'autre
du diocèse d'Arras.
L'actuelle chapelle fut édifiée par les carmes vers
1600.
Lucheux (Somme) -
Chapelle St-Léger
Ruines d'un hospice et d'une chapelle, bâtis vers 1600 par les
Carmes
sur l'emplacement où St-Léger subit le martyre, le 2
octobre 678
Dès Pâques 681, un synode des
évêques convoqué par le roi examina les
"miracles" attribués par la rumeur populaire à
l'intercession de Léger.
Son culte fut autorisé, avec les honneurs rendus aux martyrs,
et l'évêque de Poitiers obtint de pouvoir
transférer ses restes mortels au monastère poitevin de
Saint-Maixent, dont il avait été l'Abbé.
La translation eut lieu en 684, dans la nouvelle basilique
édifiée précisément pour les
accueillir.
Aux trois centres de diffusion de son culte,
que constituaient les diocèses de Poitiers (sa patrie
d'origine et le Iieu de sa sépulture), d'Autun (son
siège épiscopal) et d'Arras (où il subit le
martyre), vinrent bientôt s'en ajouter plusieurs autres.
La renommée du saint aveugle de Fécamp se
répandit dans la Haute-Normandie (diocèses de Rouen,
Evreux et Lisieux), la Picardie et le Beauvaisis.
Au IXe siècle, fuyant devant la menace des invasions
normandes, les moines de Saint-Maixent se transportèrent, avec
les reliques de leurs saints, à Ebreuil (Allier), alors au
diocèse de Clermont.
Lors du retour de la communauté en Poitou, une partie des
reIiques de saint Léger fut laissée aux moines qui
demeuraient à Ebreuil.
Ainsi fut créé un nouveau centre de propagation du
culte de leur saint Abbé, qui rayonna surtout vers le Limousin
et jusqu'en Saintonge.
Plus importante encore devait être la
rédaction au Xe siècle de la Vie de sainte Odile.
D'après son auteur, Odile était fille d'Athalric, duc
d'Alsace, et de Béreswinthe, propre soeur de Sigrade et de
Didon.
Elle était donc cousine germaine de saint Léger.
Cette "tradition" explique la popularité du saint en Alsace et
en Franche-Comté.
L'abbaye de Murbach (VIIIe siècle), due aux largesses des ducs
et placée sous son patronage, ne contribua pas peu à la
diffusion de son culte dans toute la région.
l'abbaye de
Murbach au XVIIIe siècle
aquarelle anonyme
(Colmar, musée Unterlinden)
Sept abbayes françaises (5) et plus
de trente prieurés (6) l'ont eu pour saint patron.
(5) Une abbaye de chanoines
réguliers (OSA) aux portes de Soissons (Aisne) et quatre
abbayes de moines bénédictins : Ebreuil (Allier) au
diocèse de Clermont, Meymac (Corrèze) au diocèse
de Saintes, Murbach (Haut Rhin) au diocèse de Bâle, et
Saint Liguaire (Deux Sèvres) au diocèse de Saintes ;
enfin deux abbayes de moniales bénédictines : les
Préaux (Eure) au diocèse de Lisieux, et Massevaux (Haut
Rhin) au diocèse de Bâle.
(6) La plupart sont des
prieurés simples de l'Ordre bénédictin ; quatre
pourtant appartiennent à l'ordre canonial (OSA), un à
l'ordre cistercien.
Signalons encore deux anciennes abbayes redevenues prieurés
conventuels : Saint Léger, à Saint Léger Triey
(Côte d'Or), diocèse de Dijon, et Saint Léger aux
Bois (Oise) au diocèse de Soissons, et en outre deux
prieurés de moniales, dont un de fontevristes à Estein
(Puy de Dôme), diocèse de Clermont.
Des Abbés, Abbesses, prieurs ou
prieures,
présentaient les desservants
de quelque 175 paroisses (7) mises sous son vocable, dont une bonne
vingtaine étaient des prieurés-cures (8).
(7) Ces paroisses appartenaient en
grande majorité à l'OSB : 125 sur 175, dont huit
à des monastères de moniales.
Une trentaine appartenaient à l'OSA, cinq aux cisterciens,
cinq à un Ordre militaire, quatre aux
prémontrés, six à divers
monastères.
(8) Cinq d'entre eux appartenaient
à l'OSA, un aux prémontrés, les autres à
l'OSB.
De son côté, le clergé
diocésain le choisit pour titulaire d'au moins quatre
collégiales (9) et de plus de 220 paroisses
(10).
(9) Saint-Léger de Marsal
(Moselle, diocèse de Metz), de Péronne (Somme,
diocèse de Noyon), de Loudun (Vienne) et de Saint-Maixent, au
diocèse de Poitiers.
(10) Chacune de ces églises a
fait l'objet d'une fiche.
Le fichier a été déposé aux Archives de
l'Evêché de Poitiers (44, rue Jean-Jaurès).
Y figurent aussi les chapelles, les lieux-dits, les images, les
reliques, les manuscrits liturgiques, avec les
références.
Les paroisses Saint-Léger sont nombreuses surtout dans le Pas
de Calais (55), ensuite dans la Somme (24), le Haut Rhin (19), la
Côte d'Or (18), l'Oise (16), la Haute Saône (14), le
Doubs et la Seine Maritime (12)...
|
statue de
saint Léger
église de St Lager (69)
|
St
Léger, privé de ses
yeux...
|
...les porte
toujours avec lui.
|
A ces églises viennent s'ajouter les
chapelles, images et autels qui lui ont été
consacrés et qui témoignent de la dévotion des
fidèles : on en peut compter au moins une soixantaine et, en
outre, bon nombre de lieux-dits qui attestent eux aussi la
popularité du culte qui lui fut jadis rendu dans notre pays
(11).
(11) Des reliques plus ou moins
considérables, d'une authenticité parfois douteuse,
étaient vénérées dans une bonne vingtaine
d'églises.
Au début de ce siècle encore, elles attiraient les
pélerins à Socx (Nord).
Sous l'Ancien Régime, plusieurs ermitages lorrains
étaient sous le vocable de Saint-Léger.
Ainsi, 64 communes, dans 41
départements différents, portent son nom, en quelques
cas Iégèrement modifié par l'usage local
(12).
(12) Par exemple : La Chapelle-Iger,
en Brie (Seine et Marne), Saint-Lager (Rhône) ; nous
étudierons plus bas le cas de Saint-Liguaire (Deux
Sèvres).
Il convient de mentionner aussi une centaine
de hameaux ou écarts, si bien qu'au total, le nom de saint
Léger figure au répertoire des noms de lieux d'une
soixantaine de départements (13), soit les deux tiers du
territoire national.
(13) Après
dépouillement des Dictionnaires topographiques des
Départements et des publications de l'INSEE
(Nomenclature des hameaux et écarts), dix-sept
départements seulement (moins de un sur cinq) apparaissent
dépourvus de tout lieu habité portant le nom de
Saint-Léger.
Il revient plus fréquemment en Saône et Loire (5
communes et 5 hameaux), dans la Somme (4 communes et 7 hameaux), dans
l'Eure (3 communes et 7 hameaux), dans l'Aube (3 communes et 3
hameaux), en Côte d'Or (1 commune et 6 hameaux)...
La proportion des départements qui
n'offrent aucune trace de son culte, soit dans les manuscrits
liturgiques, soit dans les vocables d'églises ou de lieux, est
finalement très faible (1/1Oe environ) (14).
(14) Ces neuf départements
sont : Aveyron, Corse, Gers, Landes, Loir et Cher,
Pyrénées Orientales, Haute Savoie, Tarn, Hauts de
Seine.
Six autres n'ont aucun lieu-dit Saint-Léger : Basses Alpes
(actuellement Alpes de Haute Provence), Hautes
Pyrénées, Aude, Hérault, Basses
Pyrénées (actuellement, Pyrénées
Atlantiques), Tarn et Garonne.
le martyre de
Saint Léger - manuscrit du XIV°s
http://clionide.free.fr/Thierry_III.htm
Ces constatations font apparaître
saint Léger comme le plus connu et le plus
vénéré, après saint Hilaire, des saints
originaires du Poitou (15).
(15) Saint Martin, né en
Pannonie, et sainte Radegonde, née en Thuringe, ne sont pas
des saints poitevins d'origine, mais d'adoption.
Cette gloire posthume rejaillit plus
particuIièrement sur les Deux Sèvres, sur la ville de
Saint-Maixent et sur les paroisses rurales du département
placées sous son patronage.
On en compte au moins cinq : Saint-Léger Iès Melle
(actuellement St Léger de la Martinière),
Saint-Léger de Montbrun, Chanteloup, Lamairé et
Vautebis.
Le Haut-Poitou ne se montra pas moins empressé à
honorer son ancien archidiacre : il lui dédia huit
églises paroissiales, dont une dans la ville
épiscopale, un prieuré et deux chapelles (16).
(16) Voir plus loin, p.233,
Poitiers-86 in "Revue du Bas Poitou, t.IV, 1971"
Le diocèse de Poitiers eut en outre
deux Chapitres Saint-Léger : l'un à Saint-Maixent,
l'autre à Loudun.
Par contre, le Bas-Poitou vendéen n'a aucune égIise
sous son vocable : seuls les moines du prieuré de Mortagne sur
Sèvre lui édifièrent une chapelle pour abriter
les reliques obtenues de leurs frères de Saint-Maixent.
Aux Iimites nord du diocèse de Maillezais, sur l'ancienne
paroisse du May-sur-Evre, son culte est attesté au lieu qui
est devenu aujourd'hui la commune de Saint-Léger sous Cholet
(Maine et Loire).
Enfin, aux confins des diocèses d'Angers et Tours, avec celui
de Poitiers, on relève trois paroisses sous son patronage :
à Doué la Fontaine ( Maine et-Loire), à Cravant
les Coteaux et Nouâtre ( Indre et Loire).
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statue de
saint Léger en l'église St Jean Baptiste
St Léger en Yvelines (78)
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Reste aux portes de Niort l'église
abbatiale de Saint-Liguaire, qui pose un problème
particulier.
L'église paroissiale de
Saint-Liguaire aurait été fondée par Charlemagne
(?), ou du moins au IXe siècle, et placée sous
l'invocation de Notre-Dame et Saint-Vincent (17).
(17) Cf A. Richard, Chartes et
documents pour servir à l'histoire de l'abbaye de
Saint-Maixent, t.II (Poitiers, 1886), p.481 et t.I (1886),
p.72.
Elle fut ensuite donnée à
l'abbaye de Saint-Maixent qui y fonda un monastère vers 961,
très vraisemblablement sous le vocable de Saint-Léger,
qui prévaut dans les textes en 988.
Mais les vicomtes de Niort voulurent émanciper cette abbaye,
située si près de leur château, de la tutelle de
I'abbaye-mère (18).
(18) En 988, ils tentèrent de
la soumettre à la lointaine abbaye de Saint-Géraud
d'Aurillac, mais l'affaire n'eut pas de suite.
L'abbaye de Saint-Liguaire n'eut son propre abbé et ne fut
vraiment indépendante de Saint-Maixent qu'à partir de
la seconde moitié du XIe siècle.
Comme elle se trouvait sur le territoire du
diocèse de Saintes, on se souvint opportunément qu'un
obscur évêque du nom de Leodegarius avait jadis
occupé ce siège (19) ; on profita de l'homonymie pour
le déclarer patron de l'abbaye niortaise.
(19) On le chercherait vainement dans
le Gallia Christiana (II, 1923) ; Mgr Duchesne, dans ses
Fastes épiscopaux de l'ancienne Gaule (II, 72-74), ne
retient pas son nom qu'il ne rencontre que dans les Listes tardives,
peu sûres et d'ailleurs manifestement incomplètes,
d'évêques de Saintes.
Il y figure au 3e rang après Leontius, bien attesté en
627 et 637, ce qui ferait de lui au mieux un contemporain de saint
Léger d'Autun... et non un homme de la
génération de son grand-père, comme a cru le
prouver J. Depoin dans son Histoire des évêques de
Saintes (Paris, Champion, 1921).
De ce "Liguaire, confesseur", on semble
d'abord n'avoir retenu que le nom.
Mais plus tard, il eut droit à sa "légende", que l'on
peut lire dans un bréviaire manuscrit de l'église de
Saintes (20) : texte tardif (XIVe), qui rappelle fâcheusement
l'histoire de l'évêque d'Autun...
(20) Le manuscrit Paris, BN, lat., 16
309, fol. 521-522, reproduit dans J. Depoin, op.cit.,
p.144-145.
statue
de saint Léger
St Léger les Mélèzes
(05)
|
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Avec beaucoup de science et de talent, J.
Depoin a tenté d'accréditer l'historicité de ces
récits.
Mais comment engendrer une certitude en accumulant des
hypothèses seulement plausibles (21) ?
(21) Depoin a cru pouvoir identifier
l'assassin de l'évêque de Saintes avec le Berulfus
dux connu de Grégoire de Tours, mais dont nous ne savons
plus rien après l'année de sa disgrâce (585).
Or l'assassinat aurait eu lieu près d'un quart de
siècle plus tard (608), selon ses calculs...
Il est sûr qu'au Moyen Age l'Eglise de
Saintes fêtait ce saint Liguaire le 12 novembre ; mais à
ce même jour, un bréviaire du diocèse de
Poitiers, du XVe siècle, fait mention d'un "Leodegarius,
martyr" (22).
(22) Cf Leroquais,
Bréviaires manuscrits..., t.IV, p.73 ; il s'agit du ms
n°1 de la Bibliothèque municipale de La Roche sur Yon,
fol.256.
Dès lors, pourquoi exclure
l'anniversaire d'un transfert de reliques de l'évêque
d'Autun, dans quelque église saintongeaise (23), un 12
novembre ?
(23) On peut songer à une
relique venue de Saint-Maixent à Saint-Liguaire lors de la
fondation (961), ou à une relique venue d'Ebreuil à
Saint-Léger de Cognac, fondé en 1031 (donc avant
même que l'abbaye Saint-Liguaire n'ait acquis son
autonomie).
Puisque le 2 octobre était le dies
natalis de l'évêque d'Autun, on se persuada
aisément que le 12 novembre ne pouvait être que celui de
son homonyme de Saintes.
Le vrai patron de l'abbaye Saint-Liguaire semble bien avoir
été à I'origine le saint
vénéré à Saint-Maixent, même si
plus tard lui fut adjoint ou substitué un saint du terroir
saintongeais.
Ce dernier, bien entendu, ne pouvait le céder en rien à
son rival poitevin.
Il fallait bien plutôt découvrir en quoi il pouvait
l'emporter sur lui : on ne crut pouvoir trouver mieux que
l'ancienneté.
C'est du moins ce que sa légende a voulu suggérer.
Mais n'était-ce pas encore, quoique
d'une façon détournée, rendre inconsciemment
hommage au "martyr" de Sarcing ?
Roger Gazeau
Eléments pour une étude sur la diffusion du culte de
saint Léger
Revue du Bas Poitou tome IV / 1971
"Vie de Saint Léger,
Evêque d'Autin"
par un moine de St Symphorien d'Autun qui vécut
auprès du saint
|
|
La Vie de Saint Léger,
évêque d'Autun
vers 980 - manuscrit de la bibliothèque de
Clermont-Ferrand
|
|
"Saint Léger - La
Légende Dorée"
de Jacques de
Voragine, nouvellement traduite en français -
1261-1266
|
|
"De
St Léger, évêque et
martyr", par le R.P. Simon
Martin
Les Nouvelles Fleurs des Vies des Saints - 1654
|
|
"Saint Léger - 2
octobre"
Les Vies des Saints - 1724
|
|
"Histoire de saint
Léger, évêque d'Autun et martyr"
par le R.P. Dom Pitra - 1846
|
|
"Saint Léger - son
martyre - sa première sépulture à
Lucheux"
par l'abbé Théodose Lefèvre -
1884
|
|
"saint Léger,
évêque d'Autun, martyr"
Imprimeur E. Petithenry, Paris - vers
1900
|
|
"Vie de Saint
Léger"
par le R.P. Camerlinck, de l'Ordre des Frères
Prêcheurs - 1906
|
|
"Léger, d'Autun"
par Dom H.
Leclercq - 1929
|
|
"Eléments pour une
étude sur la diffusion du culte de Saint
Léger"
parue dans "la revue du Bas Poitou" tome IV -
1971
|
|
"Saint Léger -
fête le 2 octobre - 3 octobre"
La Légende Dorée d'Autun, par Denis Grivot -
1974
|
|
"Saint Léger", par Denis
Grivot,
Maître de Chapelle Honoraire de la Cathédrale
d'Autun
|
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La prédication sur
Saint Léger faite à l'église
protestante
de St Légier la Chiésaz (Suisse) -
1997
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"Saint Léger,
évêque d'Autun et martyr"
2 homélies du Père Alexandre, St Léger
sous Beuvray - 1998 et 2003
|
|
"Saint Léger,
porte-parole des élites bourguignonnes"
tiré du
Journal de la Bourgogne - 2002
|
|
"le bon et la brute" ou
"Léger contre Ebroïn"
sur le très joli site "Auxonne, capitale du Val de
Saône" - 2009
|
|
https://www.stleger.info