De St Léger, Evêque et Martyr

 LES NOUVELLES FLEURS DES VIES DES SAINTS
Avec les instructions sur les principales fêtes de toute l'année
selon l'ordre du calendrier et du martyrologe romain
Recueillies ci-devant par le P.P. RIBADENEYRA de la compagnie de Jésus, et augmentées de quelques vies des saints de France,
par M. André du Val, docteur en théologie et par d'autres auteurs. Nouvellement revues et recherchées dans leurs premières sources et mises en meilleur ordre que ci-devant.
Augmentées d'un grand nombre de vies de saints, tant anciens que modernes, et enrichies de nouvelles tables en faveur des prédicateurs.
Par le R.P. Simon Martin, religieux de l'ordre des Minimes

Tome Premier
A Paris, chez la veuve de Sébastien Huré - Rue Saint Jacques, au Cœur bon
MDCLIV
(1654)
Avec approbation des docteurs et privilèges du Roy

 

Tous les historiens qui ont écrit les vies de nos rois, principalement de ceux de la première race, ont parlé avec honneur du très illustre pontife et très glorieux martyr Saint LEGER et, bien qu'ils n'aient rien dit en particulier du lieu de sa naissance ni de la qualité de ses parents, ils nous ont toujours fait assez connaître qu'étant encore jeune, il fut mis entre les mains de l'évêque de Poitiers son oncle appelé Didon, afin d'être instruit aux lettres humaines et dans les autres sciences.

Ce prélat jeta les yeux sur lui comme sur un sujet qu'il destinait à l'église, lorsqu'il se fut aperçu de ses vertus et des présages qu'il donnait d'une grande perfection. Aussi notre Léger employa-t-il si heureusement son travail et ses journées qu'il se rendit le plus habile et le mieux entendu personnage qui fût alors en cette ville de Poitiers où, à l'âge de 20 ans, il fut appelé au diaconat par son même oncle, qui peu après lui donna la charge de grand archidiacre, afin que, comme c'est l'office de ceux qui sont établis dans cette dignité, il fût ensemble l'œil et la main de l'évêque.

 

statue de saint Léger dans l'église de Cheylade (Cantal)

 

Cependant, l'abbé de Saint Maixent laissant cette vie avec son abbaye, l'évêque Didon substitua son neveu LEGER à sa place sous le même titre d'abbé, dont il ne se montra pas indigne, parce qu'il gouverna ce monastère l'espace de 10 ans avec tant de preuves de vertu que sa réputation vola jusqu'à la cour du Roy Clotaire III, qui tenait alors le sceptre français sous la régence de la Reine Sainte Batilde sa mère. Cette princesse, voulant avoir de bons conseillers auprès du jeune Roy, manda à l'évêque de Poitiers qu'il lui envoyât l'abbé de Saint Maixent comme un homme nécessaire à l'administration de l'état.

Ainsi LEGER partit de son abbaye pour s'en venir à la cour, où il parut bientôt comme un soleil au milieu des étoiles qu'il éblouit toutes de sa brillante clarté ; en telle sorte que chacun, même chez le roi et la reine, jetant les yeux sur ce nouveau conseiller d'état, le jugea digne de diriger un évêché. Comme par effet, celui d'Autun venant à vaquer par le décès de Saint Ferréol, LEGER y fut nommé au très grand bien de cette église.

Trois ans après cette élection, le jeune roi Clotaire III quitta la vie et le sceptre en la cinquième année de son règne, ce qui obligea LEGER, qui parmi le maniement de son évêché ne laissait pas d'avoir toujours les yeux sur les biens de l'état, de partir d'Autun pour s'en venir à la cour et traiter avec les principaux du royaume de celui à qui le droit appartenait de succéder à la couronne, laquelle fut adjugée à Chilpéric, deuxième du nom, quoiqu'Ebroïn, qui s'était fait redouter sous le règne du feu roi, fît tous les efforts pour y substituer Thierry le troisième fils de Clovis. Mais l'aîné voulant maintenir et recouvrer son juste droit que la prérogative de sa naissance lui donnait, assisté des sages conseils de LEGER et de Volfoad, le père de Saint Austreberte, il prit les armes et gagna une bataille contre les partisans d'Ebroïn, lequel étant pris fut tondu et réduit en l'abbaye de Luxueil en Bourgogne.

 

tableau représentant le saint Léger, dans l'église de Tulette (Drôme)

 

 

 

Chilpéric se voyant au-dessus de ses affaires et dans la paisible jouissance de ses états, choisit le très prudent LEGER pour le chef de ses conseils et comme l'intendant de toute sa maison royale, ce que l'on appelait alors " Maire du Palais " où il gouverna avec tant de candeur et d'intégrité et mit un si bon ordre dans tout le royaume que chacun se consolait, surtout les plus fidèles serviteurs du roi, d'avoir Chilpéric pour souverain et LEGER pour le ministre d'état.

Toutefois, ce bel ordre ne dura pas longtemps parce que Chilpéric, qui était d'un naturel volage et sujet à ses plaisirs, se laissant emporter à la pente de ses vices, s'oublia sensiblement des bons avis et des prudents conseils de son fidèle ministre LEGER, lequel soupirant d'ailleurs après sa chère épouse l'église d'Autun, qui ne se voyait aucunement veuve tandis qu'il vaquait aux affaires générales de l'état, minuta secrètement sa sortie pour se retirer à petit bruit de la cour. Mais le roi, fâché de cette retraite, envoya des gens après lui pour le suivre et le ramener de gré ou de force dans son palais, où s'étant présenté il supplia le roi de lui permettre au moins de se retirer en l'abbaye de Luxueil en Bourgogne, puisque sa majesté n'agréait pas qu'il allât en son évêché. De quoi ayant enfin obtenu le congé, il se retira en ce monastère où il retrouva Ebroïn qui faisait bonne mine, ayant déjà pris la tonsure de clerc afin de mieux couvrir le venin qui couvait en son cœur pour se venger un jour des injures passées.

Cela n'empêcha pas que l'un et l'autre, LEGER et Ebroïn, ne se réconciliassent ensemble et ne "véquissent" en bonne intelligence dans cette maison religieuse, jusqu'à la mort de Chilpéric, laquelle arriva non pas onze ans, comme écrivent quelques-uns, mais trois ans après cette retraite de LEGER hors de la cour. Après quoi Ebroïn fit bien paraître que toute sa sainteté apparente n'était qu'hypocrisie et sa réconciliation une pure trahison : car, voyant que Thierry III était en possession des états et des royaumes de ses frères et de son père, il sortit de son monastère et, renonçant à la cléricature, il se jeta dans les armées et fit en sorte qu'il se vît rétabli en la même dignité de Maire du Palais qu'il avait exercée sous Clotaire.

LEGER pour sa part fut aussitôt rétabli, à la poursuite de ses amis, en son église et évêché d'Autun où il fut accueilli somme un ange par le clergé et par tout le peuple, qui ne se pouvaient contenir de la joie de revoir encore une fois leur saint père et pasteur au milieu de ses ouailles et de tous ses enfants.

 

A l’intérieur de la chapelle Saint-Léger de Quimerch (Finistère)
plusieurs statues en bois, dont deux du saint Léger

 

Quelques années s'écoulèrent durant lesquelles, tandis que le perfide Ebroïn s'efforçait d'établir sa fortune en l'administration de l'état, LEGER s'employait à la réforme de son clergé et à la parfaite réconciliation des âmes pénitentes, de qui il se faisait le père, comme aussi des pauvres qu'il ne chérissait pas moins que ses propres enfants. Ce fut assurément durant cette paisible jouissance que LEGER dicta son testament par lequel il donna à son église de Saint Nazaire à Autun, entre autres pièces, la terre de Marigné-sur-Yonne, dont la reine Batilde lui avait fait présent.

Mais enfin Ebroïn, de qui l'histoire de France écrit qu'il était un homme ambitieux, cruel et déloyal, qui traitait la noblesse avec arrogance et surchargeait le peuple de subsides, craignant que LEGER ne s'opposât encore une fois à ses violences et à ses pernicieux desseins, s'avisa d'en défaire le monde pour se venger une bonne fois de tous les prétendus déplaisirs qu'il croyait avoir reçus par son moyen. A cet effet, il consulta avec ses confédérés : deux desquels appelés Didon et Gaimer s'offrirent d'en être les exécuteurs et de tirer l'évêque hors de la ville d'Autun et le livrer en son pouvoir. Le tyran, bien joyeux de cette résolution, leur donna une escouade de soldats pour leur prêter main forte en cas de résistance. Ils marchèrent donc, ainsi armés de rage et de fureur, dans le pays d'Autun, comme en une terre ennemie, menaçant les Autunois de faire encore pis dans leur ville si le saint prélat ne leur était livré. Ce qu'étant venu à la connaissance du serviteur de dieu, il se remit en la pensée ce bon pasteur, qui a voulu mourir et donner son sang pour le salut de ses ouailles ; et désirant de l'imiter en une action si relevée, il conjura ses diocésains de ne le point empêcher de se livrer soi-même à la fureur de ses ennemis, afin de soulager et sauver le reste de son peuple.

A cet effet, il fit assembler son clergé en ordonnance de procession, avec la croix et les reliques sacrées qui reposaient en l'église d'Autun. Puis, se mettant à la tête, il alla au devant des ennemis, chantant des hymnes et des louanges à dieu et se présenta de la sorte, courageusement, pour souffrir le martyre.

Alors ces cruels satellites, sans respect ni des sacrées reliques ni de la qualité de l'évêque, l'empoignèrent et le serrèrent étroitement et, le tirant hors de la ville, ils l'enfermèrent dans un monastère où il demeura deux ans prisonnier.

 

St Léger, patron de la paroisse de Lucheux (Somme)

 

Après quoi Ebroïn, voulant donner quelque couleur de justice à sa tyrannie, fit assembler quelques évêques à Villeroy, en présence desquels il fit comparaître LEGER et son frère GUERIN qu'il avait aussi fait arrêter prisonnier, comme atteints et convaincus d'avoir été complices de l'assassinat du feu roi Chilpéric. Après quoi les martyrs, sans répondre aux paroles d'Ebroïn ni aux crimes qu'on leur imputait, répondirent constamment à l'assemblée que vraiment ils méritaient les peines que déjà ils avaient endurées, non pas pour avoir offensé le roi, mais bien pour avoir péché contre le monarque du ciel. De quoi Ebroïn, transporté de fureur jusqu'à la rage, commanda à ses ministres de séparer GUERIN de son frère et que sur le champ on l'assomma à coup de pierres, ce qui fut exécuté. Et pour LEGER qu'il réservait à de plus longs supplices, il lui fit premièrement déchirer le tunique depuis le haut jusqu'en bas, en plein consistoire, pour marquer que désormais il serait indigne d'offrir le divin sacrifice.

Puis il commanda qu'on lui crevât les yeux, après quoi il le fit marcher pieds nus sur des têtes de pots cassés afin de lui donner d'autant plus d'appréhension de mal et de douleur que moins il savait où il mettait le pied. Enfin, voyant qu'il rendait encore gloire à dieu et qu'il n'ouvrait la bouche que pour louer sa bonté au milieu de ses peines, il fut si vivement offensé qu'il lui fit arracher la langue et couper les lèvres afin qu'il fît horreur à ceux qui le verraient et qu'il n'eût pas le moyen de parler de son exécrable injustice.

Toutefois, ni la perte de la langue ni l'incommodité de ses lèvres ne lui ôtant point l'usage de la parole, il ne laissa pas d'exposer ses pensées, de prêcher les peuples et de les exhorter à la vertu, quoiqu'après avoir perdu tout ce qui lui était nécessaire pour articuler la voix et prononcer les mots. Toutes les paroles qu'il disait étaient autant de flèches dans le cœur d'Ebroïn, qui considérait ce personnage en vie comme un tableau vivant de son impiété et un témoin irréprochable de ses perfidies devant dieu et devant les hommes. De sorte qu'en voulant ôter ce spectacle de la cour, il le fit conduire à l'abbaye de Fécamp, où pour lors présidait une sainte religieuse appelée Childomer et donna la commission de la conduite à un certain Vuaminge, afin qu'il le fît tenir dans cette maison si à l'étroit qu'il ne put être vu de personne.

 

 

 

 

 

 

 

statue de Saint Léger,
dans l'église de Lucheux (Somme)

 

Néanmoins, la nouveauté de l'action étonnait le monde, lorsque le bruit courait partout qu'un homme sans langue ne laissait pas de parler, si bien que ce lieu, où il avait été relégué, était visité par un grand nombre de peuples, qui étaient autant de bouches qui publiaient l'impiété d'un homme ennemi de dieu et de ses élus, ce qui obligea Ebroïn de combler la mesure de ses forfaits et de ne pas laisser plus longtemps dans le monde qui ne servait qu'à donner de l'exercice à sa cruauté et de la matière à ses malveillants pour en médire. De sorte qu'il commanda à quatre impies exécuteurs de ses mandements qu'ils eussent à le tirer de Fécamp et l'aller faire mourir en quelque lieu éloigné de la connaissance du monde et qui pût cacher la honte d'un infâme commandement.

Ceux-ci le retirèrent de cette maison et lui firent faire quelques journées de chemin, tirant du côté des Flandres, jusqu'à ce qu'étant arrivés sur les confins du diocèse de Cambrai, le saint prélat leur dit : " Mes amis, que prétendez-vous faire de moi ? Ce n'est pas pour me rendre la lumière, qui m'a été ravie, que vous me faites aller si loin. Si ce n'est peut-être en me tirant de cette vallée de misères, en me donnant la mort que je recevrai de bon cœur, je vous saurai bon gré de la liberté que vous aurez donnée à ma vie ". Ils étaient quatre à le conduire, mais trois d'entre eux, vaincus par la douceur de ce discours, ne voulurent jamais contribuer de leurs mains ni de leur action à un infâme sacrilège. Au contraire, ils se jetèrent à ses pieds pour lui demander pardon de la pensée qu'ils en avaient eue.

Mais le quatrième, moins considéré que ses compagnons, tira son épée et, tandis que le saint avait les genoux à terre, attendant le dernier coup de sa vie qui lui devait donner la mort, il lui coupa la tête. De ce coup le précieux chef tomba vraiment à terre, mais le corps se releva et demeura droit en cet état l'espace d'une heure, jusqu'à ce que celui qui avait donné le coup le poussât du pied et l'abattît à terre. Mais son crime ne fut pas sans châtiment exemplaire, parce que peu de temps après, il fut saisi d'une rage si extrême qu'il se jeta dans le milieu d'un feu qui commença à lui faire sentir dès ce monde la peine due à son forfait.

Le corps du prélat fut porté au village prochain appelé SERCIN, auprès le bois dit maintenant de Saint Léger où il fut mis en terre avec peu de cérémonies, jusqu'à ce que ses miracles fréquents rendissent le lieu considérable, et que plusieurs prélats prétendissent à la possession de ces précieuses dépouilles.

Ansoald, évêque de Poitiers, qui avait succédé à Didon, semblait le demander par droit de parenté, s'il faut ainsi dire. L'évêque d'Arras, appelé Vindicien, se le revendiquait par raison du fonds sur lequel il avait droit puisqu'il était dans son diocèse, et l'évêque d'Autun son successeur appelé Herminaire croyait être fondé en la prétention qu'il avait sur son prédécesseur. Toutefois l'évêque de Poitiers l'emporta et le fit déposer à Saint Maixent, dans l'abbaye où il avait fait le noviciat de ses vertus et le chef fut mis entre les mains de l'évêque d'Arras. Le chemin fut rempli de merveilles et plusieurs malades, lépreux, fiévreux, énergumènes et autres affligés de diverses infirmités, reçurent guérison en touchant la bière qui était chargée de ses précieuses reliques ou faisant oraison à ses pieds. Et il n'y eut personne qui n'eut sujet de louer les merveilles de dieu et la gloire de son serviteur, ce que l'on peut voir plus amplement en la vie qu'en a écrite Surius en son 5e tome, qu'il dit avoir tirée d'un appelé Ursin, qui l'avait écrite par le commandement d'Ansoald, évêque de Poitiers, et que j'ai suivie en ce recueil, autant qu'elle s'est pu accorder avec nos annales de France et de l'église, qui marquent le martyre de St LEGER l'an 685.

Mais enfin, ce précieux trésor des reliques de Saint LEGER, du moins pour la plus grande partie, a été apporté à Paris et se voit en l'église de Saint Médéric, dans une belle châsse.

 

 

 

 

 

 

 

cathédrale Saint Vaast, à Arras (Pas-de-Calais)

le reliquaire où se trouvent le corps (corpus) de St Vindicien
et le crâne (caput) de saint Léger

 

Quant au tyran Ebroïn, il ne porta pas bien loin la peine due à son action sacrilège parce que qu'un certain gentilhomme appelé Hermanfroi, parent de St LEGER, lui ravit la vie avec violence. Et quant au Roy Thierry, il conçut un tel ressentiment pour le meurtre d'un si grand saint que pour pénitence de ce qu'il y pouvait être complice, il fit bâtir et fonda la célèbre abbaye de Saint Jean au Mont-les-Thérouenne(*), outre qu'il dota richement celle de Saint Vaast d'Arras où il voulut être inhumé. La très célèbre abbaye Saint Victor de Paris retient comme une précieuse relique l'anneau de ce très digne prélat, lequel trempé dans de l'eau a fait souvent des cures admirables. 

(*) Thérouanne, au sud de St Omer (Pas de Calais)

 

 

 "Vie de Saint Léger, Evêque d'Autin"
par un moine de St Symphorien d'Autun qui vécut auprès du saint
La Vie de Saint Léger, évêque d'Autun
vers 980 - manuscrit de la bibliothèque de Clermont-Ferrand
 "Saint Léger - La Légende Dorée"
de Jacques de Voragine, nouvellement traduite en français - 1261-1266
 "De St Léger, évêque et martyr", par le R.P. Simon Martin
Les Nouvelles Fleurs des Vies des Saints - 1654
 "Saint Léger - 2 octobre"
Les Vies des Saints - 1724
 "Histoire de saint Léger, évêque d'Autun et martyr"
par le R.P. Dom Pitra - 1846
 "Saint Léger - son martyre - sa première sépulture à Lucheux"
par l'abbé Théodose Lefèvre - 1884
 "saint Léger, évêque d'Autun, martyr"
Imprimeur E. Petithenry, Paris - vers 1900
 "Vie de Saint Léger"
par le R.P. Camerlinck, de l'Ordre des Frères Prêcheurs - 1906
 "Léger, d'Autun"
par
Dom H. Leclercq - 1929
"Eléments pour une étude sur la diffusion du culte de Saint Léger"
parue dans "la revue du Bas Poitou" tome IV - 1971
 "Saint Léger - fête le 2 octobre - 3 octobre"
La Légende Dorée d'Autun, par Denis Grivot - 1974
"Saint Léger", par Denis Grivot,
Maître de Chapelle Honoraire de la Cathédrale d'Autun
 La prédication sur Saint Léger faite à l'église protestante
de St Légier la Chiésaz (Suisse) - 1997
 
 "Saint Léger, évêque d'Autun et martyr"
2 homélies du Père Alexandre, St Léger sous Beuvray - 1998 et 2003
 "Saint Léger, porte-parole des élites bourguignonnes"
tiré du Journal de la Bourgogne - 2002
 "le bon et la brute" ou "Léger contre Ebroïn"
sur le très joli site "Auxonne, capitale du Val de Saône" - 2009

 

 

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