Mon brin de émoire de Saint éger

les
ommerçants et rtisans des années 1930 à 1950

 

 

 

 

 

à Vrères

les commerçants

2 épiceries existaient :

le café-épicerie de Vrères tenu par Mme Hérault, aujourd'hui (2015) café-restaurant "Le Montbrun"

les artisans

 

 

à Orbé

 

 

à Chenne

Il y avait un maçon dit "Toto", Anatole Poireau. Dans les années 46-47, M. Henri Chevallereau prit la suite.

 

 

à Tillé

Un maréchal-ferrant était installé, le père Philémon Ragot.
Dans les années 50-60, Noël Joseph, pâtissier, résidant dans ce village, faisait les marchés, passait dans les villages et vendait des cacahuètes pendant les bals et assemblées.
"Il collectionnait les pierres semi-précieuses, les fossiles… Dans une vitrine, il en avait énormément."

 

 

à Meulle

Il se trouvait un moulin à eau, chez Noé. Il fabriquait de la farine avant la guerre 14-18.

 

 

à Lavaux-Fourche

La briqueterie, tenue successivement par les Turquois, par le père puis les fils BeauxVieux, et encore aujourd'hui par M. et Mme Calais.

 

 

les commerçants ambulants

Ils étaient nombreux à l'époque et passaient de village en village, ils contribuaient à l'animation et à la rencontre entre voisins.
En voici certains :

les épiciers ambulants

les vendeuses de "tout"

les marchands de tissu

Maria Rousseau de Oiron, M. Château de Louzy, Mme Aubry, M. Marchand-Coudrin (de Thouars, il vendait également des vêtements de travail)

les couturières à domicile

Lucette Berthonneau, Mme Voyer de Mâcon...

 

 

les gitans

Des gitans passaient pour vendre des paniers, de la dentelle...
Le groupe se souvient d'un Italien qui passait environ 1 fois l'an. Il fabriquait des chaises en taillant directement dans la masse. Il faisait des chaises très robustes qui résistent encore.

les marchands de poisson

La mère Normand de Pas de Jeu, M. Vendée de Tourtenay et M. Poussineau (années 50-60)

 

 

les boulangers

Milteau de Leugny dit "Tutu", Guignard de Laire, Bastien d'Orbé
Le boulanger se déplaçait en charrette, pour vendre des pains de 4.
"On payait avec des bons de pain" pour éviter de payer chaque jour. Les personnes payaient ainsi une fois par mois, suivant leur consommation.
Les agriculteurs pouvaient en échange de blé avoir des bons de pain de 4 ; 1 hectolitre (80 kg) = 32 bons de pains de 4

 

 

 

le maréchal-ferrant

Il ferrait surtout les chevaux, mais aussi les bœufs. Il soignait également les animaux, il appliquait des pansements contre les infections.
Il ferrait les galoches et les sabots pour qu'ils durent plus longtemps.
Ce métier était intéressant à regarder pour les enfants, mais M. Albert Sablon les repoussait pour les protéger des étincelles qui s'échappaient du feu.
Pour fabriquer les fers à cheval, le maréchal chauffait le fer à rouge, en attisant les braises grâce à un grand soufflet. Puis il leur donnait la forme grâce à un marteau et une enclume.
Le bruit du marteau sur l'enclume résonne encore dans les souvenirs du groupe.
Le maréchal réparait aussi les socs de charrue, les outils...

 

 

la vie de la commune

souvenirs d'école

les fiançailles et le mariage

l'agriculture

  

erci de fermer l'agrandissement sinon.

 

 

https://www.stleger.info