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carte postale ayant
voyagé en 1906
carte postale ayant
voyagé en 1906
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Trith Saint Léger - carte postale sobrement légendée "Une mère et sa fille"
Trith St Léger
- restes de l'abbaye de Fontenelle - pour en savoir plus sur
l'abbaye
carte postale ayant
voyagé en 1927
Qui a connu Guy ?
carte postale ayant
voyagé en 1927
12 août 1870
novembre 1875
1908 - question au
maire de Trith Saint Léger, alors César Sirot,
et la réponse
On a
retrouvé les mariés de 1900 !
(et la fille du forgeron de Trith Saint
Léger)
1910
1910 à nouveau, et même destinataire
la classe 1906 de Trith St Léger - agrandissement ici
la classe 1909 de Trith St Léger - agrandissement ici
Bon souvenir de Trith St Léger 1915-1916
1921
1934
novembre 1935
la Symphonie de la commune libre de St Léger
au 1er rang, on
reconnaîtra Aimable, déjà l'accordéon sur
les genoux !
Aimable, né le 10 mai 1922 à Trith Saint Léger
en France , décédé le 31 octobre 1997 à
Villemoisson-sur-Orge
en rouge, rond, le
sceau communal de la mairie de Trith St Léger
en violet, rond [Mob. Etappenkommandantur 158 - Deutsche Feldpost
45],
le cachet de la 2e Armée dans les environs de Valenciennes
en noir, rectangulaire, le cachet de l'étape-inspection de la
1re Armée à Valenciennes
à
Monsieur Henri LAMBERT soldat de
l'Armée Secrète Belge né
à Trith-Saint-Léger le 8 avril
1914 mort
comme un héros à OOSTAKKER (place des martyrs)
le 29 juin 1943 Il a
reçu les derniers sacrements.
permis de pêche de 1943
l'étang de
Trith Saint Léger
Trith St Léger
- un coin du petit étang
l'étang de
Trith Saint Léger
mouettes de
l'étang de Trith Saint Léger
anciens commerces trithois
les commerces à Trith-Saint-Léger en 1996
(pour l'anecdote, la numérotation téléphonique à 10 chiffres existe en France depuis le 18 octobre 1996)
1960 - écrite en nouveaux francs, une carte postale remboursement
1985
1985 - rare lettre en franchise, surchargée par un cachet
revendicatif lors de manifestations sociales - le recto
1985 - le verso
2006
carte postale datant de 1985, comme sa collègue ci-dessous :
Lu dans
Triscope de juin 2003 - "Avec Résiden Fête, le
retour des papys rockers" Enfin, nous avons
placé ici 4 clichés tout à fait identifiables
que Chantal a dénichés, parce qu'ils ne sont pas
datés. Merci, Chantal
!
l'église
du Centre l'église
du Poirier
la
mairie
l'étang
une pensée
de Trith Saint Léger... des pensées
de Trith Saint Léger !
"A l'époque, en 62 - 63, dans chaque village ou presque, il y
avait un groupe. Les Elites, les Faucons blancs, les Pussy Cat
à Trith Saint Léger mais aussi les Spitfires
à Thiant ou les Atomes à Maing. Il y avait des bals
toutes les semaines" se souviennent-ils. "Au Satellite Dancing
à Hérin, au Rex à Crespin, au Robinson à
Raismes, au Badinage à Anzin ou encore Chez Maka à
Bruay. Nous, à Trith, on répétait chez Jacky
Hubert au Calvaire, mais aussi dans l'auditorium à coté
de la salle des fêtes. Ils nous arrivaient même de
répéter dans les poulaillers de Freddy
Delécluse. Monsieur l'abbé nous a aussi
prêté une salle, rue Jean Jaurés, pour des
répétitions en semaine. Le samedi soir, nous
étions sollicités pour faire danser dans les
fêtes de cellules. Lun de nos grands moments fut la
fête de Liberté, à Brunémont, avec Johnny
Hallida".
Toute une époque ! Pendant que nos deux compères
enchaînent les souvenirs, sur scène, guitares
électriques, pieds de micros et batteries occupent l'espace.
"Nous, on ne met pas de disque. On joue de la vraie musique"
précise Francis. Et Jean-Pierre d'ajouter : "même si je
n'ai jamais fait de solfège, je n'ai jamais joué
décalé". Les premières personnes qui ont
réservé commencent à prendre place autour des
tables. La cinquantaine fringuante, certains ont gardé
quelques signes distinctifs parmi lesquels de longs favoris fournis
qui descendent sur les joues. Sur les photos d'époque qui ont
servi pour l'affiche annonçant la soirée, un jeune
homme attire l'attention. Beaucoup ont reconnu Joël
Prévost, alias Jean Luc Pottau. Il a commencé à
chanter avec les Elites et chacun se souvient que c'est Aimable qui a
introduit le jeune homme du Poirier dans le milieu du show biz. En
tout cas ici "L'aventure continue indique Francis Haudegond
car aujourd'hui mes enfants et mon beau fils joue avec moi" .
Comme au bon vieux temps du Rokn'roll, les musiciens ont revêtu
une tenue de scène. Chemises rouges ou noires, pantalons
blancs... la machine à remonter le temps est efficace. A
l'entrée de la salle des fêtes quelques jeunes à
la casquette enfoncée sur la tête tendent l'oreille, le
regard amusé. Les jeunes d'hier, ceux qui avaient les cheveux
longs, sont-ils devenus les "vieux" d'aujourd'hui ? La musique rock
serait-elle rangée pour les accros de la techno au même
étage que la rumba ou la java ? Preuve du contraire, à
l'intérieur de la salle, l'ambiance bat son plein pour le plus
grand plaisir du public.