Comme
chaque année, une cérémonie-souvenir s'est
déroulée au pont Bourdin afin de rendre hommage au
résistant Théo Gonzales, en présence de 21
drapeaux, de Nathalie Joly, présidente départementale
du Souvenir de la résistance, de Joël Abbey, conseiller
général, des maires du canton et des présidents
d'associations d'anciens combattants locales.
21 drapeaux
entouraient de nombreuses personnalités locales et
départementales
(photo Geneviève Odier)
Dans son discours, Nathalie Joly a
fait lecture du témoignage rédigé par Maurice
Descousses : "Le 25 juillet 1944, vers 8 heures, tombait sur cette
route le franc-tireur Fernando, victime du devoir. Il appartenait
à la compagnie Pierre Semard des francs-tireurs et partisans
français en maquis en forêt de Longchamp. Fernando
était le nom de guerre de Théo Gonzales, né en
Espagne le 5 août 1920. Il a été inhumé
"inconnu" le 25 juillet 1944, au cimetière de
Saint-Léger-Triey, par le maire et quelques villageois. Il fut
exhumé après la guerre et il repose dans son village
natal." Il est essentiel de montrer aux générations
d'aujourd'hui le sacrifice de héros anonymes dont les livres
d'histoire ne parleront pas.
La municipalité
reçoit les nouveaux habitants
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8 février
2007
Pour
la première fois, le maire Gérard Picci et son conseil
municipal ont décidé d'organiser une rencontre entre
les nouveaux et les anciens habitants de la commune.
En 1999, la commune comptait 145 habitants ; depuis, de nouvelles
constructions ont vu le jour et avec elles sont arrivés de
jeunes couples et des enfants.
Pour 2007, la population a augmenté de plus de 30 %.
Une partie des nouveaux
habitants et le maire Gérard Picci
(photo Geneviève Odier)
C'est pourquoi, samedi matin, le
maire a remercié les nouveaux habitants de participer à
cette réception et il a invité les anciens à
aller au devant des nouveaux habitants.
© Le Bien Public
Jeunes et
aînés invités par la
municipalité
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28 décembre
2006
La
municipalité avait invité tous les enfants de la
commune de moins de douze ans et les aînés à
l'occasion des fêtes de fin d'année.
Trente-deux enfants, âgés de 0 à 12 ans, ont
reçu leur cadeau de Noël et des friandises, et quinze
aînés, de 70ans et plus, leur panier de Noël.
Les enfants
fêtent Noël.
(photo Geneviève Odier)
Un goûter a été
offert par la mairie et le maire, Gérard Picci, a
remercié les parents qui ont confectionné des
gâteaux pour cet après-midi récréatif.
© Le Bien Public
La médaille
communale à André Geay
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18 novembre 2006
André
Geay est né le 1er novembre 1916, le jour où l'on
fête tous les saints. Serait-ce à la fois un
heureux présage et la raison de son caractère ?
Beaucoup d'habitants de Saint-Léger connaissent bien son
humour, son dynamisme, sa vitalité d'esprit légendaire
et son charisme. Certains se rappellent avec quelle
ténacité et quel perfectionnisme André Geay
participait au marquage du bois, prolongeant parfois le travail
jusque tard dans la nuit avec ses amis.
Le 30 mai 1939, il épouse Marguerite, disparue il y a plus de
deux ans ; le couple a eu une fille et cinq garçons.
André Geay a été conseiller municipal pendant
plus de vingt ans et maire de 1968 à 1977.
Dernièrement, il demandait à un ami : «
Dis-moi, toi qui sais des choses... à quel âge on
devient vieux ? »
André Geay
entouré de ses enfants
(photo Geneviève Odier)
Le maire Gérard Picci, au nom
de la commune, a tenu à le mettre à l'honneur pour ses
90 ans et pour tous les services rendus en lui remettant la
médaille communale.
© Le Bien Public
Les habitants
informés sur les risques
majeurs
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16 novembre 2006
Les
habitants de la commune ont été invités à
une réunion publique à la salle des fêtes. Cette
réunion avait pour but de les informer sur les risques majeurs
et les moyens de lutte mis en place. Les risques majeurs peuvent
être de plusieurs types (explosion, incendie, risque chimique,
inondation, canicule, tempête, tornade, accident de
circulation...) et il faut savoir que sur le canton de Pontailler,
deux entreprises sont classées SEVESO 2, Nobel et Titanite.
Chaque habitant a reçu la brochure sur les accidents
industriels majeurs et un plan d'urgence a été mis sur
pied par le Préfet.
Le maire Gérard Picci a
présenté le PPI (plan particulier d'intervention)
réalisé par la préfecture. Ensuite, il a
présenté le PCS (plan communal de sauvegarde)
réalisé par la commune qui a besoin de la liste du
matériel pouvant s'avérer utile (tracteur,
tronçonneuse...) et de la disponibilité de chacun. Le
maire espère que les volontaires seront nombreux à
s'inscrire en mairie, afin que ce plan soit opérationnel
dès le premier semestre 2007. En terminant cette
réunion, il a rappelé que le document d'information
contre les risques majeurs sera distribué à tous les
foyers d'ici la fin de l'année.
le maire, Gérard
Picci
© Le Bien Public
10 novembre 2006
La
communauté de communes propose chaque semaine des ateliers
pour les enfants. L'atelier arts plastiques se déroule
à Saint-Léger-Triey tous les mardis, de 17h15 à
18h45. Les enfants de 5 à 12 ans peuvent y pratiquer non
seulement le dessin et la peinture, mais aussi du modelage, de la
sculpture ou encore du collage et du travail sur le volume.
L'atelier théâtre a lieu le mardi soir à la
communauté de communes à Pontailler-sur-Saône. Il
s'adresse aux enfants de 6 à 16 ans. Les enfants peuvent
s'exprimer à partir d'exercices et de textes amusants.
L'atelier arts
plastiques fonctionne tous les mardis.
(photo Geneviève Odier)
© Le Bien Public
23 décembre
2005
Samedi
après-midi, la municipalité de
Saint-Léger-Triey, Petit-Triey, a invité les enfants,
leurs parents et les aînés à un après-midi
goûter à la salle des fêtes. La commune compte 34
enfants de moins de 12 ans et 13 aînés de 70 ans et
plus. Cadeaux et friandises ont été distribués
par le Père Noël. Quelques habitants avaient
confectionné des gâteaux.
Une partie des enfants
entoure le Père Noël.
(photo Geneviève Odier)
© Le Bien Public
Enfants et
aînés à la
fête
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23 décembre
2004
Samedi
après-midi, la municipalité avait invité tous
les enfants de la commune ainsi que les aînés à
un après-midi récréatif.
Après un petit film offert aux plus jeunes, le Père
Noël est enfin arrivé pour offrir des cadeaux et des
friandises aux 31 enfants âgés de 0 à 12 ans.
Les jeunes du village
posent avec le Père Noël
(photo Geneviève Odier)
Treize aînés de plus de
70 ans ont reçu également un petit colis.
Le goûter offert aux participants a été
réalisé par la municipalité et des
bénévoles.
© Le Bien Public
Pont Bourdin : pour ne
pas oublier
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27 juillet 2004
Samedi
matin, une cérémonie du souvenir s'est
déroulée au Pont Bourdin, situé sur la commune
de Saint-Léger-Triey, devant la stèle de
Théodore Gonzalès, jeune Espagnol tué lors des
combats qui se sont déroulés à cet endroit il y
a soixante ans.
Vingt-et-un drapeaux
étaient présents à cette cérémonie
du souvenir
(photo Geneviève Odier)
Nathalie Joly, présidente de
l'Association du Souvenir de la Résistance, a lu une
allocution rappelant qu'il ne fallait pas oublier tous ceux qui se
sont engagés dans cette lutte. Beaucoup ont disparu dans les
maquis, les prisons ou les camps et, pour les enfants et
petits-enfants qui n'ont pas connu tout cela, rendre hommage à
ces combattants est nécessaire. Après le
dépôt des gerbes, les autorités présentes
ont salué les 21 drapeaux présents à cette
cérémonie. Assistaient à cette
cérémonie Joël Abbey, conseiller
général, de nombreux maires du canton, des
présidents des associations patriotiques et de nombreux amis
et population.
© Le Bien Public
La municipalité
gâte enfants et
aînés
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19 décembre
2003
La
municipalité avait invité samedi après-midi,
tous les enfants du village et leurs parents afin de passer un moment
ensemble à l'occasion des fêtes de fin d'année.
La commune a gâté quarante enfants, âgés de
0 à 12 ans, en leur remettant cadeaux et friandises.
Quarante enfants ont
reçu cadeaux et friandises
(photo Geneviève Odier)
Les aînés n'ont pas
été oubliés et 13 colis ont été
offerts aux plus de 70 ans de la commune. Un goûter
préparé par des bénévoles a
terminé cette journée.
© Le Bien Public
La rue de Labarre se
refait une beauté...
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Jeudi 17 juillet
2003
Le
conseil municipal avait inscrit lors d'une réunion les travaux
de réfection rue de Labarre afin de mettre en
sécurité les écoliers.
Des trottoirs avec pose de
bordures côté école ont été
réalisés. La réfection de la chaussée
sera également bientôt réalisée.
trottoirs avec pose de
bordures côté école et réfection de la
chaussée
(photo Geneviève Odier)
A noter : Le maire rappelle que la
circulation dans les rues de Saint Léger Triey est
limitée à 30 km/h.
© Le Bien Public
Samedi, 21h 21... La
Côte d'Or s'est fait très peur
!
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Lundi 24 février
2003
La
terre a bien tremblé, samedi soir, à Dijon et
Chenôve, ainsi que dans d'autres lieux du département
avec une moindre intensité. La côte dijonnaise
étant calcaire et plutôt compacte, l'onde de choc dont
l'épicentre se situait près de Saint-Dié, dans
les Vosges, s'est bien propagée.
Le séisme a atteint 5,4 sur
l'échelle de Richter, à 10 km de profondeur. La
secousse a été ressentie sur une quarantaine de
départements, d'autant plus fortement que l'on habitait en
hauteur.
Dès le début des
phénomènes, incompréhensibles si l'on n'en
possédait pas la clé, tous les standards des services
de secours ont été saturés : sapeurs-pompiers,
police nationale, gendarmes, mais aussi les lignes
téléphoniques de notre quotidien. Tous les gens
demandaient à être rassurés, et un début
de panique avait saisi les habitants de l'agglomération en
particulier.
La population est souvent descendue
dans la rue : l'onde sismique a provoqué des
phénomènes impressionnants, plus on habitait dans les
étages supérieurs. Les policiers en patrouille ont
reçu comme mission de rassurer les gens.
L'émotion était encore
vive hier matin (et même dans la soirée) et des
habitants appelaient encore pour être bien certains qu'il
n'existait pas de danger et pour évacuer leur angoisse, accrue
lorsqu'ils vivaient seuls dans leur logement. Ils ont
évoqué un gros coup de vent, comme une gifle, un train
passant dans le sous-sol, ou encore une explosion.
L'expérience a
été très courte mais intense et marquera la
mémoire dijonnaise. On ne fait état, heureusement,
d'aucune victime et d'aucun dégât grave.
Hélène
Fernel
© Copyright Le Bien Public
L'église retrouve
sa vocation
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23 septembre 2002
La
municipalité de Saint-Léger-Triey avait entrepris, fin
juin, des travaux de rénovation à l'intérieur de
l'église. Ayant découvert des peintures du XVe
siècle, ces travaux avaient été interrompus afin
de mettre à l'abri ces découvertes. Maintenant tout est
terminé, les peintures sont protégées et
l'intérieur de l'église a retrouvé un aspect
sobre et chaleureux.
l'intérieur de
l'église entièrement refait (photo Geneviève
Odier)
© Le Bien Public
La classe a
été entièrement refaite
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2 septembre 2002
Le
conseil municipal de Saint-Léger-Triey avait
décidé de refaire entièrement la classe pendant
les vacances scolaires. En effet, les derniers travaux dataient de
1985, et en 1991 la municipalité avait réalisé
une annexe à la classe avec un coin lecture.
M. Picci, maire, et Mme
Bois, adjointe, sont satisfaits des transformations
(photo Geneviève Odier)
Début juillet, quatre
bénévoles se mettaient à l'uvre afin de
permettre aux entreprises de commencer ces travaux. Ils ont
décollé la moquette, enlevé le parquet pour
poser un carrelage facile à nettoyer. Les élèves
du regroupement pédagogique intercommunal (RPI)
Montmançon / Saint-Léger-Triey vont donc retrouver un
nouveau chauffage, un éclairage adapté, des couleurs
gaies et leurs tables entièrement nettoyées.
En 2001, la municipalité avait investi dans l'informatique et,
pour la rentrée 2002, les élèves pourront
découvrir internet avec leurs institutrices.
Les escaliers ont été également refaits par les
bénévoles que la mairie remercie vivement de leur
dévouement pour leur village.
© Le Bien Public
Un bébé
inattendu !
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26 novembre 2001
Dimanche dernier, vers 10h 15, une
naissance a eu lieu sur la commune de Saint Léger-Triey.
Jusqu'ici rien d'extraordinaire, si ce n'est que le petit Mathieu a
décidé de venir au monde un peu plus tôt que
prévu.
Ses parents habitent Tervay,
près de Pesmes dans la Haute-Saône, avec son
frère et sa sur.
Sentant les premières contractions, la maman et le papa
décidèrent de prendre la direction de la
maternité de Dijon.
Le papa, étant pompier
volontaire dans sa commune et voyant que la naissance se faisait de
plus en plus pressante, téléphonait pour obtenir une
ambulance avec couveuse (il faisait très froid ce jour
là), et lui donnait rendez-vous à la gendarmerie de
Pontailler-sur-Saône.
Les gendarmes présents ont accueilli un papa un peu
affolé, pompiers et médecin étaient sur place en
attendant l'ambulance.
Une fois celle-ci arrivée, la
maman est montée dedans pour rejoindre Dijon, mais le
bébé en a décidé autrement.
L'ambulance a dû
s'arrêter à l'arrêt de bus de Saint
Léger-Triey, sur la D 961, et les médecins ont
procédé à l'accouchement.
Le petit Mathieu est né ; il pèse 2,880 kg et se porte
bien ainsi que la maman et le papa.
Le maire de Saint Léger-Triey
s'est dit très heureux de cette naissance car c'est la
première de l'année.
© Copyright Le Bien
Public
Françoise Masson :
Une femme de passions
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1er décembre
2000
Françoise Masson est
née à Sochaux (Doubs) en 1952 dans une famille
nombreuse.
Elle arrive à St Léger-Triey, commune du canton de
Pontailler-sur-Saône, avec son mari en 1987 et ses quatre
filles.
Quelques années plus tard, elle met au monde une
cinquième fille ; depuis, elle est grand-mère de quatre
petits garçons.
Elle est aussi assistante maternelle depuis 1996 et s'occupe de deux
enfants de l'aide sociale.
BP-LD : "Quelle a été
votre première passion ?"
Françoise Masson : "La
cuisine. Pendant treize ans, j'ai travaillé dans des familles
où j'ai pris goût à cuisiner. J'ai
participé à de nombreux concours dont tous ceux de la
Foire Gastronomique.
J'ai eu un premier prix en dessert avec la réalisation d'un
bavarois de cassis au riesling organisé par les Cassis
Boudier.
Mon premier prix, un week-end gastronomique chez Bernard Loiseau, m'a
été remis par Bernard Loiseau et Pierre Bonte. C'est un
merveilleux souvenir".
BP-LD : "Vous avez une
deuxième passion, l'écriture ?"
Françoise Masson : "Quand je
suis arrivée dans cette maison, j'ai voulu en connaître
l'histoire, et petit à petit ça a pris de
l'ampleur.
De fil en aiguille, j'ai fait des recherches plus approfondies, et je
suis arrivée sur un personnage historique, le
Général Paulin, qui a été maire de St
Léger ; sa tombe est au cimetière de la commune.
L'histoire du Général Paulin m'a
intéressée, et j'entretiens de très bonnes
relations avec ses descendants qui habitent en Suisse. D'ailleurs,
cette année, j'ai été invitée avec ma
famille pour le bicentenaire du passage de Bonaparte au col du
Grand-Saint-Bernard (20 mai 1800).
Le général Paulin, qui était à cette
époque major, était l'aide de camp du
général Bertrand qui était lui-même sous
les ordres de Napoléon.
C'est ainsi que j'ai été contactée en 1998 par
une association belge qui recherche et rend hommage aux
maréchaux, généraux et officiers du premier
empire.
Les 20 et 21 mars 1999, une manifestation s'est
déroulée à St Léger, avec les
autorités locales, afin de rendre hommage au
général Paulin et déposer une gerbe pour
célébrer ses 123 ans (il est
décédé le 19 mars 1876).
La délégation belge était en costume
d'époque et moi-même en cantinière".
l'église
de St Léger-Triey
©www.1clic.fr
BP-LD : "Parlez-nous de
l'ouvrage que vous avez écrit sur l'histoire de St
Léger-Triey"
Françoise Masson : "J'ai
écrit un ouvrage sur l'histoire de St Léger-Triey, en
partant de l'origine de son nom, de sa situation géographique,
et son histoire est très riche en anecdotes.
J'ai d'ailleurs créé un blason, aidée dans cette
tâche par M. Michel Barastier.
Il représente des chabots, pour l'amiral Chabot, la crosse
pour la seigneurie, les tours représentent les trois communes,
St Léger, Triey et Petit-Triey, traversées par les deux
rivières la Bèze et l'Albane, puis les bois et
l'agriculture.
Pour l'instant, il n'y a qu'un seul exemplaire, le mien.
La maison où j'habite a été construite avec les
pierres du prieuré.
L'emblème (une croix) sur la cheminée extérieure
indique qu'elle faisait partie des biens ecclésiastiques.
Mon plus grand désir est la publication de mon livre. Je sais
que de plus en plus, les gens s'intéressent au patrimoine, et
je pense que mon livre apportera une histoire d'un village du canton
de Pontailler".
Le livre a
été publié en juillet 2003
BP-LD : "Votre dernière
passion, les vieux outils"
Françoise Masson : "Pour cette
collection, je ne suis pas seule. Mon mari Jean-Pierre est aussi
passionné que moi pour les choses anciennes, et en particulier
les armes, avec des sabres, pistolets, revolvers
Je collectionne aussi les chaussures miniatures, tout ce qui concerne
l'Empire et maintenant les outils anciens.
Comme toutes ces collections commencent à prendre de la place,
nous avons nettoyé, rangé et emménagé une
vieille grange où chaque objet trouve sa place ; pour
l'année prochaine, nous pensons organiser une journée
porte ouverte pour montrer ce patrimoine à tous ceux qui sont
intéressés par le passé".
C'est une vraie passion pour Mme
Masson et son mari, qui parcourent brocantes et vide-greniers ; ils
reçoivent également beaucoup de dons de
particuliers.
D'ailleurs, si certaines personnes veulent se débarrasser de
certains objets, ils peuvent téléphoner au
03.80.36.18.52.
© Copyright Le Bien
Public
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