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7 chambres d'hôtel - 2
gîtes de 12 & 14 lits (agrément pour les
classes)
45 couverts en salle - 20 couverts en terrasse ombragée
possibilité de banquet en salle annexe 70 couverts
séjour en pension ou demi-pension - bar du
village
avril 2017 - la salle de restaurant fraîchement rénovée
avril 2017 - les
nouveaux gérants, Emmanuelle et Michel
vue depuis l'auberge du Coustet, ancien hôtel Coste
40
ans de mandat
En mars 1977, la même
équipe municipale fut reconduite, à l'exception de
Gérard COLL, instituteur, qui avait été
nommé à St Auban, l'école de St Léger
ayant fermée en 1974. M. Louis LIONS entrait dans
l'équipe. Je fus alors désigné comme 2e adjoint
afin de pouvoir représenter la commune dans les diverses
réunions qui se tenaient à Nice ou à Puget ;
afin aussi de travailler avec les services administratifs tels que la
Direction Départementale de l'Equipement ou d'Agriculture qui
à cette époque bénie, étaient vraiment au
service des petites communes pour monter les dossiers
d'investissement. En 1983, Madame Zoé
DAVID, Chevalier de la Légion d'Honneur, Maire sans
interruption depuis 1945, décide pour des raisons personnelles
de ne plus se représenter. Dans une
campanule, Saint-Léger, Alpes-Maritimes, mai
2009 Les
fleurs ont le cafard. Le cur saccroche parfois
à nimporte quoi pour éviter le
vide.
En 1989, "La liste d'Union"
est réélue. On y retrouve DAVID Edouard - Maire,
DON Jean-Claude 1er adjoint, DOUHET Robert 2e adjoint, les
conseillers : MM COSTE Philippe, DOUHET Arthur, GRAC Raymond, HENRY
Philippe, MIGLIORE Fernand, TRAMALONI Joseph. Azuré
de la Bugrane (Polyommatus icarus) sur son plantain
fané, St Léger, Alpes-Maritimes, mai 2009 "La fleur
vit si belle parce quelle vit peu de temps et
pourtant, comme elle se donne, entière, oubliant la
fleur quelle est pour devenir élan
doffrande" (Claudio Rodriguez, Don de
lIvresse) En mars 2002, "la Liste
d'Union" et réélue. Elle se compose de DAVID Edouard -
Maire, DON Jean-Claude 1er adjoint, MIGLIORE Fernand 2e adjoint,
conseillers : DAVID Jacques, Mme GAUTHIER Liliane, GRAC
Stéphane, Mme LIONS Patricia, Mme RAPIN Josiane, VALETTE
Jacques. Proserpine
(Zerynthia rumina), Saint-Léger, Alpes-Maritimes, mai
2009 Mars 2008 : "La liste
d'Union" est réélue : DAVID Edouard - Maire, DON
Jean-Claude 1er adjoint, DOTTA Liliane 2e adjoint, conseillers :
BIETTE Patrick, DAVID Jacques, Mme LIONS Patricia, Mme RAPIN Josiane,
ROUX Michel, SENECTAIRE Daniel. Toutes ces années ont
vu dans notre village des familles arriver, des familles partir, des
naissances, des mariages et malheureusement aussi de nombreux
décès de nos anciens, qui ont construit notre village
et nous l'ont légué. Deuils très cruels pour
nombre d'entre nous. Edouard DAVID
automne 2014
automne 2014
également Lili à
lentrée du village, un lavoir, une chapelle
funéraire et de vieux outils agricoles le
lavoir Annie Girardot (1931 -
2011) Edouard
Baietta (Edouard David !) le col de St Léger
cette
photo et les 3 qui suivent proviennent de https://www.facebook.com/mairie.saintleger
Plusieurs photos
de cette page proviennent du site http://www.par-monts-et-par-vaux.eu/page66.html
dont nous
vous conseillons la visite. erci
de fermer l'agrandissement sinon.
Je pus constater que le bénévolat et l'esprit de servir
animaient nos anciens et que chacun savait prendre le balai pour
nettoyer devant sa porte (au sens propre et au sens figuré).
Ce fut alors l'époque des premiers balbutiements de la
coopération intercommunale et puis ensuite l'expression de la
volonté des conseillers municipaux de travailler ensemble
:
pour l'aide aux personnes âgées avec le Syndicat
intercommunal de la moyenne vallée du Var (S.I.M.V.V)
pour le ramassage des ordures ménagères avec le
Syndicat intercommunal à vocation multiple (S.I.V.O.M).
Ce Syndicat devint bientôt une sorte de bureau d'études
au service des communes pour monter les dossiers
d'investissement.
Ce fut aussi la naissance de "L'Ecomusée de la Roudoule" qui,
sous la présidence d'Ange MAURIN, son créateur, devint
bientôt musée d'Etat et est à ce jour,
malgré des difficultés financières auxquelles
toutes les associations sont confrontées, une pierre angulaire
du patrimoine et de la culture de nos villages.
A St Léger, après la route de la Vignasse, on vit
réaliser la piste la Vignasse-Daluis, la plus haute piste de
la Letta, on fit les études pour les pistes de
Panigière, le Gardigole, le Coulet, pistes rendues
nécessaires pour les tracteurs apparus à la place des
mulets dans l'agriculture.
En 1982, la loi sur la décentralisation amène de
nombreux changements dans les responsabilités municipales et
procure des ressources nouvelles aux petites communes dont Saint
Léger.
Se forme alors à l'image des conseils précédents
une "liste d'Union de Saint Léger" qui est élue en
totalité au 1er tour, le Maire est DAVID Edouard, le 1er
adjoint DON Jean-Claude le 2e adjoint DOUHET Robert, les conseillers
BARET Joseph, CHIER Noël, COSTE Eloi, GRAC Adalgise, RAYBAUD
François, TRAMALONI Joseph.
Cette équipe, aidée par de nombreux habitants et amis
de St Léger, re-dynamise le bénévolat qui
devient une force économique au service du village :
secrétariat, réfection de la mairie, entretien des
rues, des fontaines du cimetière, de l'éclairage public
avec l'adjoint DON Jean-Claude qui grimpe aux poteaux pour changer
les ampoules ; mais aussi une force d'animation du village avec la
création du comité des fêtes ; la renaissance de
la "Tournée de la Tarte" pour la Saint Jacques avec
"l'Harmonie Pugétoise", les repas en commun sur la place le
lundi soir (186 couverts) avec les brochettes et les pommes de terre
cuits au four communal par Jules ABRAM. Ce sont des fêtes pour
le 14 juillet, 15 août
Pour développer et pérenniser le village, il nous
paraît que nous devons créer des structures d'accueil et
aider l'agriculture. Grâce à Monsieur COSTE Eloi, qui
avait déjà auparavant montré son grand esprit de
coopération en acceptant que la route de la Vignasse coupe "Le
Clôt", la municipalité peut acquérir
l'Hôtel Coste et y aménager une fromagerie communale,
sept appartements dont quatre en gîtes, l'auberge
communale.
Le 16 août 1986, un 1er repas de fête est organisé
dans l'Auberge du Coustet grâce à Philippe et Odile
MEYER, de Touët, qui avec leur équipe interviennent de
façon bénévole pour préparer et servir le
repas. Philippe MEYER avait aidé le Conseil Municipal pour
l'achat du mobilier, l'agencement de la cuisine, l'achat de la
vaisselle
Avril 1983 c'est le premier numéro de la "Lettre de St
Léger" qui se veut un lien entre tous les habitants et amis du
village. Aujourd'hui, nous en sommes à près de 120
numéros, plus d'un numéro par trimestre. Merci à
toutes celles et ceux qui y participent ou y ont participé et
sont malheureusement disparus, Mme Zoé DAVID, MM. Marius
DOUHET, Fernand MIGLIORE
La commune se dote d'un plan d'occupation des sols, les permis de
construire sont de la responsabilité communale et plus de M.
le Préfet.
http://richardg.blogs.com/avantlalettre/bleu/
1989, c'est l'année du bicentenaire de la
Révolution. Grâce au bénévolat de
toute la vallée, une fête est organisée le 14
juillet au Col de St Léger. C'est un beau succès, une
grande réussite.
1989, c'est l'année où notre auberge communale est
inaugurée de brillante façon. Madame DAVID
Zoé, Maire honoraire, y reçoit des mains du Ministre
plénipotentiaire ambassadeur d'Israël en France la
"Médaille des Justes" de l'institut Yad Washem.
Médaille qui témoigne de son attitude personnelle et de
celle de tout le village pendant les années 1943-1944, nos
anciens hébergeant alors plusieurs familles juives (19
personnes) une famille de chrétiens libanais, divers
fichés politiques poursuivis par la Milice. Toutes et tous
étaient sains et saufs à la fin de la guerre. MERCI
à nos anciens pour cette leçon de courage et de
tolérance.
En 1990, arrivée du premier gérant de l'auberge
communale. Malgré des débuts prometteurs, ce n'est pas
un succès. En mars 1992, Mireille ABBATE, aidée de sa
maman, devient la nouvelle gérante.
Novembre 1994 : de très fortes pluies, divers murs
écroulés et des arbres abattus. Le village est
classé sinistré et bénéficie d'aides
spéciales pour la reconstruction et la réparation de la
route de la Vignasse, le captage d'eau du Terron où un 2e
bassin de 180 m3 est construit pour l'eau potable.
L'amélioration des conditions de vie des habitants permanents
est une volonté constante du Conseil. Il s'ensuit divers
travaux tels que réfections des rues, prolongation de
l'égout, réfection de l'éclairage public,
prolongement du réseau, terminaison des pistes de la Letta et
plantation de 36 000 arbres dont beaucoup malheureusement serviront
de nourriture aux cerfs trop nombreux. Installation par les
bénévoles de réseaux d'eau d'irrigation.
1994-1995 : Mireille ABBATE décide de s'installer à la
Penne avec son mari. La recherche d'un nouveau gérant pour
l'auberge est nécessaire. 120 demandes parviennent en mairie.
Après rencontre du Conseil avec plusieurs candidats, en avril
1995, Jean-Louis AMBAUD devient gérant de l'auberge et
Adéla devient employée comme secrétaire de
mairie à la place de Michelle DAVID, qui avait pendant 12 ans
occupé la fonction à titre bénévole. Le
secrétariat de la mairie s'installe dans les locaux
rénovés de l'ancienne école et s'équipe
d'un ordinateur à la place de la vieille machine à
écrire familiale.
Le bâtiment hôtel-gîte-salle polyvalente est
réalisé en même temps que la rénovation de
l'école. La rénovation de l'église, le garage
communal sont réalisés sous la direction de Roger
LAFFITTE, architecte. L'accès au cimetière est
réalisé ainsi que son agrandissement. Un monument aux
morts est installé en face de l'église sous un tilleul,
don du Lions Club.
1996 : création de l'association des "Saint Léger de
France et d'Ailleurs" avec première rencontre à St
Léger sous Cholet organisée par Christophe RIPOCHE,
instituteur.
C'est la rénovation du four communal, la première
"Journée Pains".
1997 : création de la Maison de Pays pour aider au
développement touristique de notre territoire et permettre la
vente de produits locaux. Pendant cette période, une forte
pression du Maire, du Conseil Municipal, de la population de Saint
Léger est exercée sur le Conseil Général
afin de régler le problème du pont suspendu,
limité en tonnage à 3 tonnes à cette
époque-là. Le village avait d'ailleurs obtenu une
dérogation pour les ordures ménagères, la benne
ne pouvant pas accéder au village. Pendant plusieurs
années, le silo à poubelles fonctionne grâce au
bénévolat.
Michel MUCHAMBLED organise des voyages pour le village et l'on y
passe de bons moments.
En 1998, création d'un poste d'employé communal qui
sera occupé pendant 10 ans par Marc TABET.
Après diverses études et en concertation avec nous, les
services du Conseil Général décident en 2000
:
de refaire le pont suspendu
de modifier côté la Croix le virage d'accès afin
de permettre l'accès des camions
de porter le tonnage autorisé à 15
tonnes.
http://www.paperblog.fr/1982214/l-instinct-de-l-ombre-2/
D'avril 2001 au 4 juillet 2001, le pont suspendu est refait par la
même entreprise qui l'avait réalisé 100 ans plus
tôt. La piste de la Lette permet à Saint Léger
d'être pendant les travaux désenclavé, un essai
de charge à plus de 35 tonnes est réalisé sur le
pont et le 6 juillet la circulation sur le nouveau pont est ouverte.
Nous fêterons cette année les 10 ans.
Le SIVOM devient Communauté de Communes en 2001 et prend sous
l'impulsion de Fernand MIGLIORE la compétence "Ecole et Petite
Enfance".
En plusieurs tranches, la liaison Saint Léger-Daluis est
goudronnée sur la totalité de sa partie
saint-légeoise. Ne restent que les 900 mètres
situés sur la commune de Daluis.
Avec l'aide de la DDA, une étude hydrogéologique est
réalisée au Terron. Elle permettra de conclure à
la possibilité de réaliser forage et pompage afin de
capter l'eau au-dessus des maisons.
Une coopération s'installe avec les organismes agricoles afin
de définir les travaux nécessaires pour
pérenniser l'agriculture au village.
La viabilité du quartier du cimetière, eau égout
éclairage public, est réalisée, une borne
fontaine est installée au cimetière.
Des sentiers de découverte sont réalisés en
forêt de la Letta avec l'Office National des Forêts.
En 2005, sous l'impulsion de la mairie, des volontaires du village se
forment à l'informatique grâce au CEPAGE et, grâce
à l'aide généreuse du Conseil
Général et à France Telecom, Internet arrive
à Saint Léger par WIFI. Une quinzaine de maisons sont
abonnées dont la Vignasse qui a nécessité un
relais spécial.
C'est aussi la réalisation du bassin d'irrigation de 2 400 m3
et son réseau de canalisations qui permet d'irriguer
jusqu'à Ciamp Serret.
La réglementation varie, la carte communale remplace le
P.O.S.
Depuis l'inauguration du nouveau pont, la benne à ordures
monte à Saint Léger ramasser les ordures. Un abri est
réalisé à l'entrée du village ainsi que
l'aménagement de la décharge qui permet un
élargissement considérable de la route.
En 2006, le tri sélectif est instauré, un ramassage des
monstres se fait mensuellement. Saint Léger montre du sens
civique, le tri est reconnu correct.
En 2006, M. Christian ESTROSI, Ministre Président du Conseil
Général, classe en voirie départementale CD 316
la liaison Saint Léger-Daluis et promet son aménagement
en plusieurs tranches
Le garage communal sous le terrain de Nicole SPREMBERG est
réalisé en face de la mairie.
C'est aussi le premier repas en commun pour le Téléthon
avec une jolie somme récoltée.
2007 : c'est le démarrage des pompes d'eau potable au quartier
du Terron, la rénovation de la voirie et de la place du
village avec enfouissement des réseaux électriques et
téléphone. C'est l'achat de Ciamp Serret et des terres
de la famille GILARDONI. C'est aussi un bel aménagement du
nouveau cimetière et la création d'un jardin du
souvenir.
http://richardg.blogs.com/avantlalettre/rouge/
La Vignasse est raccordée avec une tranchée de 1.5 km
de long au réseau d'eau potable du village afin
d'éviter les ennuis provenant de l'ancien système
surtout en période baisse des eaux ou de grand froid.
En 1983, l'électricité n'arrivait à la Vignasse
que par des fils nus et avec une très faible puissance. EDF,
pour remercier la commune de son attitude constructive dans les
négociations préalables à l'installation de la
ligne 60 000 volts Entrevaux-Guillaume, prend à sa charge le
renforcement du réseau Saint Léger-la Vignasse. Un
renforcement supplémentaire va être
réalisé. L'ordre du service a été
donné à l'entreprise adjudicataire.
Les études agricoles sont menées en relation avec tous
les organismes concernés, le projet de Ciamp Serret est
arrêté ainsi que la réalisation de deux logements
sociaux dans une parcelle du clôt de COSTE que Philippe
cède à la commune.
C'est aussi la période où nous faisons réaliser
par un géomètre tous les relevés des routes
communales créées ainsi que les installations d'eau
afin de régulariser la situation. Les actes nécessaires
sont demandés au notaire, certains sont encore en cours de
réalisation.
2010 : réalisation de la bergerie communale et installation du
berger Bruno AMALBERTI.
2011 : on réalisera le hangar agricole pour installer une
légumière biologique, Céline NEGRO, qui est
déjà au village, ainsi que des logements sociaux.
Pendant ces 28 années de gestion, nous avons aussi doté
la commune de divers outils nécessaires pour le
secrétariat, ordinateurs, photocopieuse, fax,
mobilier
Pour les travaux communaux : outillage manuel, fourgon, fraise
à neige, brouette à moteur, giro-broyeur sur
chenilles
.
On peut raisonnablement se poser la question : comment avons-nous pu
réaliser cela sans augmenter les impôts, sans endetter
la commune ?
Malgré les aides que nous avons pu obtenir de l'Etat, la
Région le Département, toutes ces réalisations
n'ont été possibles que grâce à une
gestion rigoureuse économisant le moindre centime et surtout
grâce au bénévolat qui a permis des
économies considérables de fonctionnement et ainsi pu
permettre de dégager un auto-financement des investissements
:
Le budget en 1983 était en équilibre en dépenses
et recettes
68 777 francs de fonctionnement / 306 270 francs d'investissement
Le budget en 2010 est de 116 940 euros de fonctionnement et 2 347
978.33 euros d'investissement
auquel s'ajoute budget de l'eau : 35 425.18 en fonctionnement et 126
877.74 en investissement.
Les fonds de roulement de la trésorerie communale chez
Monsieur le Percepteur est de l'ordre de 150 000 euros.
Les investissements réalisés ont aussi augmenté
de façon considérable les ressources propres de la
commune qui encaissent les loyers et, à partir de cette
année, la vente de l'électricité produite par le
photovoltaïque installé.
Nous avons essayé, Jean-Claude DON et moi-même, la paire
indissociable depuis 1983, de suivre leur exemple et de continuer
à construire des bases solides pour l'avenir de notre village.
Cet avenir devra être un harmonieux mélange des
anciennes familles et des nouvelles, des résidents permanents,
des résidents secondaires, des jeunes et des moins jeunes.
En 1974, notre école a fermé : il n'y a plus d'enfants
au village.
En 2010, il y a une douzaine d'enfants.
Cela rend optimiste sur l'avenir du village.
La Lettre de St Léger d'avril 2011
La vie m'appelle ailleurs, vers d'autres horizons. Mais si je pars
pleine d'optimisme et de projets vers cette nouvelle vie, je garderai
néanmoins toujours le souvenir attendri de ces 20 ans
passés à St Léger, ainsi que de l'amitié,
la solidarité, la gentillesse que j'y ai
rencontrées.
C'est pourquoi, je dis "au revoir" et non "adieu" car je reviendrai
de temps à autre, rendre visite à ceux qui furent mes
amis et qui le resteront malgré l'éloignement. Tant il
est vrai que ni le temps ni l'espace n'altèrent les sentiments
pour peu qu'ils soient sincères !
Et puis "au revoir" aussi car, lorsque le temps sera venu pour moi de
passer de "l'autre côté du miroir", je reviendrai
achever ma route, dans le jardin où reposent mes parents et
l'homme que j'aime.
Pourtas-vi ben à si reveïre !
Baietta !
La Lettre de St Léger d'avril 2011
au fond, le four communal
La Lettre de St Léger d'avril 2011