En
partenariat avec le Parc Naturel Régional du Morvan, le Poney
Club du Croux participe dans le cadre du développement de ses
activités à la mise en place d'un écotourisme et
d'activités complémentaires liées à
l'équitation dans le domaine culturel.
Le centre est situé à 2 km du cur de village de
Saint-Léger-sous-Beuvray, au lieu-dit Le Croux. Ancienne
unité d'exploitation agricole, le centre a été
créé en juin 1982 avec comme objectifs de promouvoir,
soutenir et favoriser la création et le développement
de toute action, activité et service tendant à
l'animation de la vie sociale et culturelle dans le sud du
Morvan.
Une définition des objectifs
qui aujourd'hui, après 20 ans d'existence, prend tout son sens
quand on voit le travail réalisé et les installations
composées de 4 bâtiments d'habitation pouvant
héberger 56 enfants et 10 adultes, un bâtiment agricole,
un bâtiment administratif, un manège couvert de 20 x 40
m, une carrière, un rond de voltige, un terrain de cross, le
tout installé sur une exploitation d'une cinquantaine
d'hectares de prés et un troupeau de 85 poneys de races
shetland, landaise et haflinger. « Un poney par enfant
», précisent les responsables du centre.
Une idée qui permet ainsi aux enfants de 6 à 14 ans
pour les séjours vacances poneys ou les adolescents de 14
à 17 ans pour des randonnées équestres, de
prendre en charge leur monture, depuis le pré jusqu'à
la monte en passant par le pansage et les soins.
Les projets du centre sont nombreux. Il en est un qui tient à
cur à l'équipe dirigeante en s'orientant sur
l'éducation à l'environnement. Il faut dire que le
cadre s'y prête très bien. Ce volet environnemental
permet de faire un séjour découverte de
l'environnement, pour que les enfants prennent conscience de l'enjeu
économique de la forêt et de la nature, authentique
richesse morvandelle, un projet suivi par le Parc Naturel et le
Conseil Régional.
© Le Journal de Saône et
Loire
Théâtre
à l'honneur pour la fête de l'école
|
23 juin 2004
Autour
du thème du théâtre, les élèves de
l'école de Saint Léger ont monté un spectacle
à l'occasion de la kermesse traditionnelle, un spectacle
où place a été laissée à la danse,
au ballet et bien sûr au théâtre. Ce spectacle
s'est également ouvert sur la langue anglaise, langue qui,
dorénavant, entre dans l'enseignement des écoles
primaires.
Tous les enseignants, Anne-Marie et
Jean-Michel Michon, Martine Labonde et Nathalie Dussauze, tiennent
à remercier les mamans qui ont aidé aux
répétitions et aux costumes, la municipalité
pour le prêt gratuit des locaux et les employés de la
commune, sans oublier les 80 participants au repas organisé
par la coopérative scolaire, un repas concocté par
Marie Ducreux et Corinne Perraudin, toutes deux de la Maison du
Beuvray. La journée s'est bien sûr terminée sur
le traditionnel "Bonnes vacances à tous !"
© Le Journal de Saône et
Loire
21 juin 2004
Comme
il est de coutume, un cortège se forme devant la mairie pour
se diriger ensuite vers le monument aux morts situé
près de l'église. A sa tête, Simon Manhes portait
le drapeau tricolore.
Deux anciens combattants de la guerre 39-45, le Père Alexandre
et Jean-Marie Desloires, honorent de leur présence cette
cérémonie du souvenir de l'appel du 18 juin 1940,
lancé par un certain Charles de Gaulle, encore inconnu sur le
territoire français. Depuis Londres, le chef de la France
Libre a su redonner espoir au peuple français afin de vaincre
les nazis et donner de l'énergie à la
Résistance.
"Nous pouvons accepter le pardon
mais nous ne pouvons pas oublier que des Français se sont
battus et sont morts pour que nous soyons libres aujourd'hui", a
précisé le maire André Barret lors du vin
d'honneur en mairie. Pour cette cérémonie on notait la
présence du gendarme Fabien Rouveirol, d'un détachement
du CPI de St Léger conduit par Gérard Lagneau et une
forte délégation d'ancien d'AFN avec à sa
tête Pierre Couchoux.
© Le Journal de Saône et
Loire
Le coin des
collectionneurs
|
17 juin 2004
Jean
Pauchard et ses vieilles mécaniques morvandelles
Avec une collection de 50
tracteurs auxquels s'ajoutent batteuses, voitures anciennes et
même une machine à vapeur, Jean Pauchard garde l'esprit
de l'entreprise familiale.
Décidément, le
Mont-Beuvray est un lieu qui renferme plein de mystères sur
son sommet, et sur ses flancs on peut découvrir des habitants
passionnés, particulièrement un collectionneur de
tracteurs. Installé à la ferme de Montandé, sur
la commune de Saint-Léger-sous-Beuvray, en direction de Poil,
Jean Pauchard, aidé par son frère Paul, collectionne
quelque 50 tracteurs agricoles, voitures anciennes, batteuses et une
machine à vapeur. Une collection commencée en 1995,
à la cessation d'activités de l'exploitation agricole
et de l'entreprise de battage, une entreprise plus que centenaire.
C'est le grand-père François et deux grands oncles qui,
à la fin du 19e siècle, achetèrent une
locomotive (chaudière à vapeur) et une batteuse pour
louer leurs services dans les fermes de la Région. Aujourd'hui
les agriculteurs de la région se sont équipés de
moissonneuses-batteuses et l'entreprise Pauchard a dû cesser
son activité en 1995.
La mécanique est une passion
pour Jean Pauchard. C'est en allant chercher une fraiseuse du
coté de Toulon-sur-Arroux qu'il aperçoit un vieux
tracteur à chenilles, un Mac Cormick. C'est la première
pièce de sa collection. Il remet en état le tracteur
ayant appartenu à son père. Un Deering, datant de 1935,
équipé d'un moteur Diesel de 25cv, fabriqué par
la Compagnie Lilloise de Moteur (CLM), possédant 2 cylindres
et 4 pistons opposés tout en développant 1400 tours.
Jean est fier de cette pièce paternelle.
La collection se disperse sous les
hangars, granges et autres garages de l'ancienne exploitation
agricole. Au hasard, on peut voir un tracteur MAP
équipé d'un moteur fabriqué chez André
Michel à Autun. Ou encore un Allgane, avec la
particularité de ne pas avoir de radiateur et de pompe
à eau, le refroidissement se fait à l'aide d'une
bâche à eau de gros volume et, pour le démarrer,
il faut une préchauffe à l'amadou. On peut voir un
tracteur Farnall, importé des Etats-Unis dans le cadre du plan
Marshall, mais aussi une Citroen B2 de 1934 ou une Jeep USA
référencée 264722. Sans oublier la vieille
locomotive à vapeur modèle 1854 et marchant au charbon.
Jean Pauchard en possède la feuille des mines datant du 5
janvier 1899 et la facture d'achat de cette machine fabriquée
par la maison B. Brelon et Cie de Nevers pour 7500 frs/or de
l'époque. Le collectionneur continue toujours sa quête
de machines et de pièces. Dimanche dernier, 13 juin, il s'est
rendu à la Ferté-Allais (91) pour la traditionnelle
bourse d'échanges. Et puis est venue la création de
l'Association des Vieilles Mécaniques Morvandelles ou, avec
une bande d'amis, ils ont eu l'idée de faire une
première rando dans le Morvan le 31 mai. Une réussite
sur le plan local mais aussi régional. Pour faire partager sa
passion, Jean Pauchard continue à animer des fêtes de
battages à l'ancienne. En août, il sera le 1er à
Chatenoy-St-Imbert (58), le 8 à Laizy, les 22 et 23 à
Ouroux-en-Morvan et le 5 septembre à Igornay. Il est possible
de visiter la collection, à la ferme de Montandé, en
prenant contact avec Jean Pauchard au 03 85 82 50 38. L'accueil est
très sympathique.
© Le Journal de Saône et
Loire
Une surprenante fanfare
avec les tailleurs du Népal
|
18 mai 2004
Parmi
la soixantaine de fanfares répertoriées au
Népal, l'une d'entre elles était de passage dans le
Morvan et particulièrement à la Maison du Beuvray, haut
lieu culturel musical du territoire morvandiau.
Il faut croire que la réputation de la Maison a
débordé les frontières de l'Hexagone et
notamment du côté de l'Asie, puisque ce concert a
été donné, on serait tenté de dire,
"à l'improviste". Tant mieux pour les spectateurs qui ont pu
répondre présent et entendre cette surprenante fanfare
népalaise. Les musiciens, tout frais débarqués
de l'aérodrome de Roissy le matin même, avec 4h de
décalage horaire, ont apporté dans leurs bagages un peu
de leur expression musicale d'un pays qui semble très loin et
surtout sur le toit du monde.
La fanfare présente
était composée de 9 musiciens avec deux cornets
à piston, un saxophone, une trompette, une clarinette, un
tambour, une caisse claire, un tambourin et des cymbales et est
dirigée par une référence au Népal,
Krisnha Das. Ajoutons à cela des airs très
entraînants, au rythme quelque peu jazz et qui, semble-t-il,
sont souvent joués lors de mariages au Népal. Cette
fanfare est l'expression populaire de la fête, comme le sont
nos "bandas" dans le Sud Ouest ou dans le Midi de la France, par
exemple. Une fanfare qui fait partie de la caste dite des "tailleurs"
et la veste noire, sur le costume blanc traditionnel, est là
pour le rappeler.
La fanfare a pris dimanche matin la direction de la Bretagne afin de
participer aux 16e Rencontres Internationales de la Clarinette
Populaire. Une autre destination et un autre public à
séduire...
© Le Journal de Saône et
Loire
Le Choeur de
Saint-Léger a repris ses
répétitions
|
10 octobre 2003
Sous
les voûtes de l'auditorium de la Maison du Beuvray, le
chur de St Léger a recommencé ses
répétitions sous la direction de Marcel Corneloup.
L'association, forte de ses quelque 35 membres, reprend ses
activités après une belle tournée en Italie,
dans la banlieue de Venise, à Vicence où la chorale a
été reçue par les festivals des chorales de la
Vénétie.
Une nouvelle fois, le Chur de St Léger va travailler sur
une uvre importante, datant du XVIIe s. avec le "De Profundis"
de Michel-Richard de Lalande. Une uvre majeure qui sera
interprétée dans le cadre du Printemps Culturel du Pays
d'Art et d'histoire du Mont-Beuvray et lors de Musique en Morvan le
27 juillet 2004 à Autun.
le "De Profundis",
une uvre majeure au programme pour les choristes (photo
d'archive)
Quelques têtes nouvelles sont
venues se joindre au groupe déjà existant. Une chorale
ouverte à tout le monde, avec cependant un peu
d'expérience du chant choral. Le souhait idéal pour le
chef de chur serait de recruter dans des tessitures masculines
et dans le créneau de la quarantaine, "période de la
vie où la voix est en pleine maturité", ajoute
Marcel Corneloup.
C'est chaque mercredi soir à 20h que les
répétitions s'articulent autour de la
préparation de concerts. Le prochain doit avoir lieu à
Gueugnon, le dimanche 16 novembre, à l'invitation des Amis de
l'orgue de Gueugnon. Il va permettre d'entendre des uvres avec
chur et orgue. Le répertoire de la chorale est
basé sur des uvres classiques allant de Bach à
Honneger.
Un concert de Noël est prévu à Chissey-en-Morvan,
et dans d'autres lieux où le chur est déjà
bien connu pour la qualité de son répertoire et surtout
pour son interprétation significative de grands moments
musicaux qui permettent de s'évader dans la grandeur de sept
petites notes de musique.
© Le Journal de Saône et
Loire
Chaleureuse ambiance au
banquet des classes 3
|
9 et 10 octobre
2003
Organisé
de mains de maîtres par Roger Scalin, Jeanine Hindsienher,
Marie Gilbert et "Jojo" Loiseau, le banquet des classes en 3 a
rassemblé, dans la salle des fêtes, pas moins de 80
personnes adultes et 7 enfants venus de Saint
Léger-sous-Beuvray et de Saint-Prix-en-Morvan.
Le repas avait été
préparé et servi par l'Hôtel du Morvan, avec des
odeurs alléchantes qui vous chatouillent les papilles et vous
martyrisent les muqueuses. Agés de 10 ans à 80 ans,
tous les participants ou sympathisants ont été heureux
de se retrouver.
Il va falloir attendre 10 ans pour se retrouver à nouveau,
mais d'ici là les classes en 4 auront oeuvré à
leur tour.
Les doyens de cette journée
étaient les souriants Eva Boulet et le Père Alexandre,
de St Léger-sous-Beuvray. Debout, derrière, M. et Mme
Louis Desvignes. Manque Jeanne Dechaume, de St Léger,
présente dans la salle. Elle n'a pas osé se faire
connaître pour la postérité.
© Le Journal de Saône et
Loire
La Maîtrise de
Bourgogne a effectué sa
rentrée
|
8 octobre 2003
Sous
la direction de Claire Corneloup, la Maîtrise de Bourgogne
s'ouvre à tous les jeunes, filles ou garçons, qui se
sentent une âme pour la grande aventure du chant choral.
Marion, 19 ans, et Amélie, 18 ans, en sont aujourd'hui les
plus anciennes. Elles ont vécu les dix premières
années d'une formation musicale et chorale prestigieuse.
Comme son nom l'indique, cette formidable école de la
polyphonie s'adresse à tous les jeunes bourguignons, filles ou
garçons, âgés de 9 à 19 ans. Chaque
année, ils sont une trentaine. Comme les garçons
manquent à l'appel, un vibrant appel leur est lancé.
La première
séance de travail regroupait 18 jeunes
filles.
Toutes les 3 semaines, du samedi au
dimanche après-midi, des week-ends de formation intense se
déroulent à la Maison du Beuvray. L'assiduité au
travail n'y exclut pas les moments de détente dans une vie en
commun où les amitiés se soudent, responsabilisant les
anciennes envers les plus jeunes.
Moderne, chansons d'hier et d'aujourd'hui, spiritual, baroque,
romantique allemand de J.-S. Bach à Bernstein, le
répertoire de la Maîtrise reste très
varié. Le Gloria de Vivaldi avec le Camerata de Bourgogne et
une Litanie de la Vierge Noire de Francis Poulenc, ainsi qu'une Messe
de Guy Ropartz, sont aussi des projets à l'étude.
Mais la particularité de la Maîtrise, c'est
également, chaque année, d'incorporer des chants
populaires d'autres pays. Après Israël, sur une
adaptation des textes en français, c'est la Russie qui, cette
fois, pourrait être à l'honneur.
Tout en préparant Musique en Morvan 2004, il faudra
répondre à une série de concerts sur toute la
région Bourgogne. La Maîtrise de Bourgogne est aussi
très demandée à l'extérieur. Pour Claire
Corneloup, "ce n'est pas évident pour nous de
répondre à toutes ces invitations".
Pour l'heure, l'enregistrement d'un disque est programmé en
novembre. Mais attendons la surprise de Noël, avec probablement
un concert en Morvan !
© Le Journal de Saône et
Loire
Apprendre à se
faire la voix pour devenir choriste
|
8 octobre 2003
Un
week-end sur trois, à la Maison du Beuvray, la Maîtrise
de Bourgogne débute une nouvelle année de travail
intense. Un choix qui satisfait pleinement les adeptes d'une formule
ayant déjà très largement fait ses preuves. A
toute discipline, avant de pouvoir l'exercer avec toute la noblesse
de l'art, il convient de s'adapter.
En matière de chant, Claire Corneloup nous explique que la
formation de la voix "est la base de toute formation chorale. Plus
la voix est développée, plus on peut rentrer dans les
difficultés de l'exercice du chant."
Manon et Elissa ont
tout le temps de se faire la voix
Toute jeune recrue de 9 ans 1/2,
Elissa Lacoste n'en est pas encore là : "Je viens de
l'auditionner, elle chante juste ! Cependant, comme Elissa n'a jamais
chanté, sa voix n'est pas formée. La manière
d'apprendre, c'est de se mettre dans le bain sans rechercher de
résultats.".
C'est ce qu'Elissa va s'efforcer de faire, aux côtés de
sa petite copine, Manon Moschard.
© Le Journal de Saône et
Loire
Clin d'oeil à la
famille Mazière à l'Hôtel du
Morvan
|
25 septembre 2003
Depuis
plus d'un an, Éric et Laurette Mazière ont repris
l'Hôtel du Morvan, seul établissement hôtelier de
Saint Léger-sous-Beuvray. Un lieu connu et reconnu par
beaucoup d'habitants de la région, mais aussi par des
touristes ou randonneurs de passage allant sur les pentes du
Mont-Beuvray ou au Musée de Bibracte.
Le couple est arrivé de la
région parisienne, des Yvelines plus
précisément, en juin 2002, avec leurs deux enfants
Florian et Pascaline. Pour eux, le Morvan n'était pas un
territoire inconnu. Amoureux de randonnées en attelage, ils
l'ont découvert en venant passer quelques séjours chez
Bernard Lavault et ses "attelages du Morvan" à
Cussy-en-Morvan.
Eric Mazière est issu de
l'école hôtelière de Saint Quentin-en-Yvelines
(78). Il a oeuvré dans différents établissements
avant de faire un choix de vie, celui de venir s'installer dans le
Morvan : "Pour nous, c'est plus qu'une reconversion, c'est un
changement total de vie. Nous avons été bien
intégrés et surtout bien acceptés par la
population et la municipalité". Il a été le
premier "Bistrot de pays" à être accepté par la
Charte touristique du Parc Naturel Régional du Morvan. Les
nouveaux restaurateurs continuent des actions avec le Parc mais aussi
avec Bibracte.
Du côté
hébergement, l'établissement possède 7 chambres,
classées une étoile de bon confort. Quant à la
partie restauration, Éric et Laurette ont tenu à
conserver l'esprit de la maison avec bien évidemment les
Quatre heures Morvandiaux. L'établissement étant
référencé "Logis de France", ils ont obligation
d'avoir des menus traditionnels et régionaux. Pièce de
buf charolaise, assiette gourmande avec les produits
labellisés Parc, jambon persillé maison, fromages de la
laiterie du Rebout toute proche et différents menus sont
proposés à la clientèle, sans oublier le repas
gallo-romain. L'Hôtel du Morvan est en mesure d'accueillir des
groupes allant jusqu'à 55 personnes ou d'assurer des repas
dans la salle des fêtes de la commune.
© Le Journal de Saône et
Loire
Une Autunoise en tournage
dans le Morvan
|
18 septembre 2003
Une
équipe de télévision de France 3 vient
d'enregistrer l'émission "La Ruée vers l'air",
animée par une Autunoise, Hélène Laurca, et
diffusée le samedi matin sur le réseau
national.
Une équipe de
télévision de la chaîne publique France 3 vient
de terminer le tournage de l'émission "La ruée vers
l'air". Emission diffusée sur le réseau national le
samedi à 10h40 et animée par une ancienne Autunoise,
Hélène Laurca, dont le père, M. Audigier, a
permis à de nombreux lycéens du Lycée Bonaparte
de le connaître comme proviseur.
Hélène s'est vu
proposer l'animation de cette émission à la suite d'un
casting ouvert aux comédiennes. Elle s'est, en effet,
orientée sur l'art théâtral et le Studio 34 de
Paris, après avoir quitté Autun en 1989 et trois ans de
Faculté de Lettres à Dijon. Elle est revenue dans la
cité éduéenne en 1992 pour être à
l'origine d'animations dans les classes, une première sur le
secteur autunois.
Durant trois ans, elle s'est produite sur les planches autunoises en
interprétant des pièces de Molière telles que :
Les Fourberies de Scapin, Le malade imaginaire ou Le médecin
malgré lui. En 2002, elle est contactée par France 3,
afin d'animer l'émission "La ruée vers l'air".
Durant 26 minutes avec trois
reportages de 4 minutes, elle nous propose de parcourir et de
découvrir, l'un après l'autre chaque semaine, les
chemins du 21e siècle des 420 pays de France. Durant deux
jours, une équipe a tourné dans le Morvan la vie simple
de gens qui animent le territoire ou tout simplement est allée
au plus près des paysages.
Tournage de
l'émission de France 3 "la Ruée vers
l'air"
C'est ainsi qu'il sera possible de
découvrir, lors de la diffusion programmée le samedi 6
décembre, les jardins du Morvan à Larochemillay (58).
Un autre sujet fait découvrir Chantal Berthier et ses
petits-enfants ramassant des marrons pour la Foire aux Marrons de
Saint-Léger-sous-Beuvray. Un troisième sujet ouvre les
portes du "Cornemuse" à Arleuf (58) ou Gérard et
Christine Héraud organisent tous les week-ends des
soirées de musiques traditionnelles dans leur "Bistrad". La
dernière porte s'ouvre sur celle du Rebout et du musée
de Bibracte.
Vincent Guichard, directeur du site,
n'a pas hésité à expliquer ce haut lieu de la
civilisation celtique, en acceptant une équipe de
télévision sur un lieu de fouille. Ces quatre sujets
ont comme toile de fond une visite de la forêt de
Breuil-Chenue, une balade en quad dans le Parc Naturel
Régional, la visite du château de Bazoches sur les
traces de Vauban, l'histoire des Nourrices du Morvan avec Noëlle
Regnault et l'inévitable "Tante Hélène"avec ses
plats de Dame aux fourneaux à Saint-Martin-du-Puy.
Une grande bouffée d'air pour le Morvan qui se fera encore
mieux connaître en France et ailleurs.
© Le Journal de Saône et
Loire
Nouvelle randonnée
équestre
Bibracte-Alésia
|
2
juillet 2003
Sur 5 étapes, plus d'une
cinquantaine de cavaliers venus de toute la France vont
s'élancer sur le chemin ralliant Bibracte à
Alésia. Une restauration de la première
randonnée qui a eu lieu en 1986 et reprise du 7 au 12
juillet.
Les cavaliers partent le lundi 7
juillet à 12 h précises du sommet du Mont-Beuvray,
après avoir surgi de l'oppidum en rappelant la cavalerie
gauloise. Ils vont effectuer les 118 km qui les séparent du
site d'Alésia. Avant de partir pour la première
étape qui les amène à Arleuf, cavaliers et
public ayant réservé sa place peuvent déguster
un repas gaulois fait de salades de légumes secs, jambon cuit
au foin et autres mets concoctés sur la base des
découvertes effectuées sur les différents sites
celtes, indiquant les modes de nourriture des Gaulois de
l'époque.
Les 5 étapes sont
agrémentées, le soir, d'animations diverses. Ainsi, au
terme de la première à Arleuf, les cavaliers vont se
détendre sur les airs d'un bal morvandiau. La seconde
étape les amène à Alligny-en-Morvan, pour
participer à la première de l'été 2003,
des "Noces de Lucienne" de Jules Renard, un spectacle
créé par la compagnie du Globe. Le lendemain, ils
prennent la direction de Precy-sous-Thil pour déguster, le
soir, un barbecue de cochons grillés. La journée du 11
juillet les amène à Vitteaux où leur est
projeté le film sur la bataille d'Alésia. Ce lieu
chargé d'histoire est le terme de leur voyage, le 12
juillet.
© Le Journal de Saône et
Loire
Le Centre de
Première Intervention
intégrera progressivement le
SDIS
|
26
février 2003
Au cours de la visite du Centre de
Première Intervention par René Beaumont,
Président du Conseil Général et, de fait, du
conseil d'administration du Service Départemental d'Incendie
et de Secours (SDIS), des décisions importantes ont
été annoncées sur le devenir du CPI,
géré actuellement par les fonds municipaux.
Accueilli par l'ensemble du corps de
sapeurs pompiers volontaires de la commune, le président a
écouté André Barret, maire de la commune, lui
expliquer les intentions municipales et le souhait de voir le CPI
continuer à être au service de la population locale et
des environs. "Notre dossier a pris un peu de retard. Nous avons
attendu que le recrutement intense, fait ces derniers mois, ne pose
plus de problème", a précisé le
maire.
Le CPI compte aujourd'hui un effectif
de 14 personnes ayant un équipement relativement complet, en
état et récent, pour permettre n'importe quelle sortie.
Seul subsiste le problème du casernement actuel, un
problème qui se réglera dans les mois à venir.
Le bâtiment sera construit sur un terrain que possède la
commune et situé derrière la salle des fêtes. Il
sera tenu compte des moyens pour intervenir dans de bonnes
conditions, en liaison avec l'ensemble du SDIS et le centre
d'Étang-sur-Arroux.
Le président Beaumont a
confirmé l'intégration du CPI dans le SDIS : "Vous
allez être doté prochainement d'un matériel
nouveau d'alerte qui permet de vous associer avec
Étang-sur-Arroux. Vous en êtes une antenne
avancée. Dès que le bâtiment sera en fonction,
l'intégration sera officialisée. Vous allez recevoir un
véhicule supplémentaire que vous devrez garer. Avec ces
moyens il est important de continuer à former, principalement
sur les gestes qui sauvent, les personnes car la qualité
dépend des automatismes acquis".
Le député J.-P. Anciaux
a rappelé le rôle d'un centre : "C'est un maillage
territorial au service du public, à partir d'un volontariat et
votre démarche est exemplaire en matière de
recrutement. Comptez sur moi car je suis très attaché
au monde rural".
Quant au conseiller général Robert Jacquemard, il se
dit "content de voir enfin mes messages d'inquiétude se
transformer en un dispositif qui me satisfait totalement".
Le Cdt Rebet est satisfait "du travail de fond des élus
locaux pour développer un service public et permettre de
travailler dans de bonnes conditions". Les décisions
annoncées ont effectivement donné satisfaction à
Gérard Lagneau, chef de corps par intérim, et à
toute son équipe de pompiers volontaires dont il faut
souligner la disponibilité et le dévouement à
l'égard d'autrui.
© Le Journal de Saône et
Loire
"Coeur de Villages"
et projet d'une station d'astronomie
|
21
février 2003
Un moment important pour la
municipalité de St Léger-sous-Beuvray, commune
administrée par André Barret, avec la venue du
Président du Conseil Régional, Jean-Pierre Soisson. Une
visite dans le Morvan afin de signer la convention "Cur de
Villages", convention qui a pour objet la création de 4
logements locatifs, l'aménagement de la place et des
entrées du bourg, des abords de l'ancienne droguerie et de
l'école, ainsi que la réhabilitation de la salle des
fêtes. Un programme dont l'estimation financière est
d'un montant de 668 504 euros.
Une signature qui s'ajoute aux 43
signées le matin même à Dijon. "Elle
répond à une longue attente pour ma commune et va faire
du bien pour vivifier la vie dans le village. Notre bourg avait
besoin de ces réalisations et surtout en matière de
logement social" a précisé le maire, André
Barret, revêtu de sa magnifique écharpe tricolore. De
son coté R. Jacquemard, Conseiller Général du
canton, se dit satisfait de voir une nouvelle commune signataire de
la convention. "C'est la 3e commune a en bénéficier
et trois autres sont en train de déposer leur dossier sur les
sept communes composant le canton."
Puis de sortir de son cartable un
projet de station d'astronomie en Bourgogne du Sud. "Un projet
dans le Morvan de la Saône-et-Loire qui crée des emplois
et dont je vous demande de bien vouloir l'étudier afin que
nous soyons partenaires." a indiqué le Conseiller
Général du canton.
Député et
vice-président de la Région, J.P. Anciaux, a
rappelé son attachement à cette idée de
"Cur de Villages" "dont la réussite dépasse
toute espérance et une preuve qu'elle est nécessaire
pour la vie de nos communes. Une idée que je soutiens comme
celle de Cur de Territoire."
De son côté, le
Président de Région est intervenu en précisant :
"L'opération Cur de Villages a dépassé
nos espoirs puisque nous pensions qu'une trentaine de communes
auraient fait la demande. Nous devons atteindre un millier. Ce n'est
pas une opération artificielle, elle correspond à un
besoin pour nos villages. Une commune rurale ne peut s'en sortir
qu'avec l'ensemble des possibilités financières qui lui
sont offertes. Et j'invite ardemment les autres communes à
déposer leurs dossiers avant fin juin 2003".
Puis de revenir, en conclusion, sur le projet de station d'astronomie
: "C'est un projet loin d'être idiot pour lequel je vais
voir s'il n'est pas trop cher et que nous ferons
ensemble."
© Le Journal de Saône et
Loire
Foire aux Marrons
à St Léger sous Beuvray
Des milliers de visiteurs
attendus ce week-end
|
26
octobre 2001
Depuis plus d'une quinzaine
d'années, la foire aux marrons, organisée
traditionnellement le dernier week-end d'octobre, a pris une ampleur
qui ne se dément pas.
Ce week-end encore, des milliers de visiteurs sont attendus à
la foire, installée à quelques encablures du
Mont-Beuvray, sur la place du village de St Léger sous
Beuvray.
Il sera en effet bien difficile de
circuler dans les allées où prendront place, aux
côtés des traditionnels producteurs de marrons, de
nombreux exposants venus présenter des produits
régionaux de très nombreuses régions de France
(vin, charcuterie, fromages, escargots, foie gras, miel...), mais
aussi des camelots divers venus écouler leurs produits.
Mais le clou du week-end est bien
sûr le marron pour lequel le producteur utilise des mesures
particulières, tel le double que l'on utilisait aussi
autrefois pour le blé.
Ce sont des récipients de bois
cerclés de fer que l'on trouve maintenant en aluminium.
Outre ce double qui fait 20 litres,
soit 15 kg de marrons frais (ou 15 kg de blé, puisque 20
litres de blé ont exactement le même poids que 20 litres
de marrons), il y a le demi-double, soit 10 litres qui correspond
à 7,5 kg de marrons, ainsi que le quart de double (5 litres),
soit à peu près 3,7 kg.
Cette mesure est d'ailleurs celle que l'on utilise le plus à
la foire.
Enfin, vous pouvez vous procurer aussi un litre de marrons, soit 700
g.
Les étals s'installeront
très tôt dès samedi sur la place du village pour
deux jours de fête non stop.
L'après-midi du samedi,
à partir de 15 h, le public pourra assister aux concours du
plus beau panier de marrons et du plus bel étal marchand,
organisés par la municipalité, en coopération
avec le syndicat des producteurs de marrons.
Les lauréats recevront des
prix, des plaques et des coupes. Comme chaque année, pour
faciliter l'accès au village, la municipalité de St
Léger sous Beuvray mettra à la disposition des
visiteurs des parkings gratuits, dont un réservé
spécialement aux personnes à mobilité
réduite dans la cour des écoles.
Des navettes de bus sont prévus aussi entre les parkings de la
D3 et le champ de foire.
Samedi 27 et dimanche 28 octobre
à Saint Léger sous Beuvray, de 8 à 21h.
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Saône et Loire
L'accordéon
diatonique, roi de la fête
|
16 août 2001
Pour la première fois, la
fête de l'accordéon à St Léger sous
Beuvray a débuté le 14 août par un concert
très attendu de "Faubourg de Boignard" et de "La
Fabrique".
Le premier est un groupe-phare du folklore morvandiau basé
à Saulieu.
Le second venait pour l'occasion de Clermont-Ferrand, offrant au
public un aperçu de la musique traditionnelle
auvergnate.
Ces deux ensembles se servent de
l'accordéon diatonique.
Un instrument symbolique de la musique traditionnelle qui avait bien
failli disparaître avant qu'un musicien, Marc Perrone, ne le
remette au goût du jour dans les années 70.
On joue de l'accordéon
diatonique comme d'un harmonica, c''est à dire qu'on produit
une note en aspirant et une autre en soufflant.
Deux notes en fait sur le même bouton, alors que
l'accordéon chromatique donne la même note qu'on aspire
ou qu'on pousse, et l'étendue des notes s'élève
jusqu'à l'octave comme un piano.
De ce fait, l'accordéon
diatonique possède moins de boutons.
Il est moins lourd, plus petit et moins cher à l'achat.
Il faut compter entre 4 et 20 000 francs alors que le prix d'un
accordéon chromatique oscille entre 8 et 50 000
francs.
Fête de
l'Accordéon à St Léger sous Beuvray
©
http://www.larenaudiere.com/images/Lemorvan/lemorvan.htm
Les premiers accordéons
étaient tous à l'origine diatonique avant qu'on invente
l'accordéon chromatique au début du 20e
siècle.
Il avait tellement concurrencé le "diatonique" que ce dernier
était devenu obsolète.
C'était sans compter sur un
renouveau du courant de la musique folklorique et régionale
qui, depuis quelques années, entraînent les jeunes sur
des airs qu'on croyait à jamais disparus.
Il s'agit d'une musique orale qui se transmet en écoutant les
autres.
Il faut savoir qu'il existe même des méthodes pour
apprendre l'accordéon diatonique sans avoir recours au
solfège.
Depuis, des associations se sont
créées pour apprendre le "diato", et les jeunes
s'intéressent vivement à cet instrument comme le prouve
l'engouement suscité par la fête de l'accordéon
qui, chaque année, réunit plus de 3000
visiteurs.
Au cours de cette édition, ils
ont pu applaudir des virtuoses comme Patrick Cadeillan, une
référence dans le sud-ouest, ou encore le colombien
Antonio Rivas qui a participé en Europe à la plupart
des manifestations concernant l'accordéon diatonique.
On notera également la présence de Corine Kuzma qui
proposa un concert classique et du folklore ukrainien à
l'église.
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Saône et Loire
La fête du Mont
Beuvray a tenu ses promesses
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10 juillet 2001
Sous le soleil, la fête du
Mont Beuvray a tenu toutes ses promesses dimanche après-midi,
malgré l'absence de la montgolfière du Conseil
Régional.
Malgré les caprices de la
météo ces derniers jours, la fête du Beuvray
s'est déroulée par une journée
ensoleillée, ce qui lui a assuré un large succès
populaire malgré les nombreuses autres manifestations qui se
déroulaient ce week-end.
Un public plutôt
décontracté et bon enfant est venu assister aux divers
spectacles et découvrir les stands et animations
proposés par les Amis du Beuvray, en collaboration avec le
Pays d'Art et d'Histoire du Mont Beuvray, et la participation du
Centre Archéologique du musée de Bibracte, des
artisans, des producteurs et des artistes des environs.
On a pu voir entre autres un
spectacle musical présenté par des enfants en stage
à la Maison du Beuvray, et on pouvait également visiter
le Mont Beuvray de différentes manières, à pied
ou à poney, et découvrir ainsi des "trésors"
botaniques, historiques et culturels.
Seul véritable "loupé"
: la Montgolfière du Conseil Régional n'est
malheureusement jamais arrivée sur le sommet du Mont-Beuvray
et les candidats à un vol au dessus du Mont-Beuvray sont donc
restés sur leur faim.
M.Barret, maire de St Léger, ne disposait pas d'explication
sur les raisons de cette absence.
"Peut-être que le pilote a jugé que le temps
était trop incertain pour effectuer le déplacement",
glissait-il en guise d'explication, sans pouvoir en dire
plus.
Mais les manifestations n'ont
cependant pas manqué et les occasions de se divertir
étaient belles et bien présentes.
Entre le stand maquillage pour les
enfants, les produits locaux (fromage de chèvre, pain bio,
miel ou même des fleurs), la buvette, le parquet où l'on
pouvait danser cercle, polka ou bourrée au son de
l'accordéon ou de la cornemuse, tout le monde a pu trouver de
quoi passer un très agréable après-midi.
Quant aux Arcandiers, ils sont venus en fin d'après-midi
proposer leur prestation toujours aussi rythmée et
entraînante.
Un après-midi qui s'est
même prolongé en soirée, l'association proposant
en effet de poursuivre les festivités dans le centre de la
commune.
Sur la place du village, un bal gratuit était ainsi
proposé et un grand feu d'artifice était tiré
vers 22 heures en guise de clou du spectacle.
Une fois encore, le public a
largement répondu à l'invitation en participant en
grand nombre à ces dernières festivités.
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Saône et Loire
La foire aux marrons n'a
pas échappé à son
succès
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3 novembre 2000
C'est toujours le même
engouement des visiteurs pour la foire aux marrons, vieille de plus
d'un siècle, comme l'ont constaté les organisateurs de
cette édition 2000.
En effet, plusieurs milliers de
personnes se sont rendues dans le village, par habitude
sûrement, mais aussi dans l'espoir de dénicher quelques
bonnes affaires, ou tout simplement de passer un bon moment, cette
foire apportant toutes les occasions de se divertir.
Côté animation, la fête foraine et les stands
associatifs étaient encore une fois bien prisés.
Mais malgré tout, le roi de la
fête, c'est toujours le marron, vendu autour de 20 F le kg, de
très belle qualité, il a fait honneur aux amateurs.
Même si l'habitude n'est pas encore venue de se rendre à
la foire le samedi où les visiteurs sont moins nombreux, le
dimanche n'a pas failli à sa réputation et
l'édition 2000 n'a pas été trahie par la
météo.
Cette journée a connu un flot
impressionnant de visiteurs venus de toute la région
Bourgogne, ce qui n'est pas négligeable pour cette jolie
bourgade qui reste connue pour sa célèbre foire, comme
l'a souligné André Barret, maire, lors de
l'inauguration et de la remise des prix au concours du plus beau
panier et du plus bel étalage de marrons.
Pour la cinquantaine de
bénévoles de la commune, c'est un travail de
préparation et de nettoyage énorme du lendemain, mais
c'est aussi la satisfaction d'avoir réussi une manifestation
importante qui fait la notoriété de la
commune.
Résultats du concours :
- Plus beau panier :
1. M. Duverne (St Symphorien de Marmagne)
2. Mme Pacaut (St Léger sous Beuvray)
3. M. Maubon (St Symphorien de Marmagne).
- Plus bel étalage :
1. Aline Bouheret et Aurélie Dupart (St Léger sous
Beuvray)
2. Mme Berthier (St Léger sous Beuvray)
3. Mme Pacaut (St Léger sous Beuvray).
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Saône et Loire
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