la "nouvelle" poste, construite en 1913
quartier de la mairie et route de la gare - oblitération de 1942
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L'autre
devient école communale de filles le 6 mai 1841 et
est tenue par des religieuses : La
population s'accroît considérablement. Un campanile
ajouré surmonte l'édifice, signe de
prospérité ! En 1886, la
population est de 1100 habitants, dont 185 enfants
fréquentant l'école. photo
actuelle de ce bâtiment La
première école communale de filles est devenue
en 1887 la Poste, auparavant desservie par Epinac
: En 1905,
avec la loi de séparation des Eglises et de l'Etat,
une école laïque de filles est
construite. Elle est en pierre de taille de Lally,
territoire communal : Une nouvelle
poste est construite en face en 1913 : Les soeurs
retournent à leur première école,
devenue vacante, et enseignent le catéchisme. Vers 1960,
une grande partie des élèves ira aux cours
complémentaires à Epinac. C'est le
regroupement pédagogique avec Sully en 1984 et la
création d'une école maternelle à St
Léger. la niche de
Saint Joseph, dernier témoin de l'école
libre Sources
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le château de Champsigny, de nos jours |
Arr. Autun, c. Epinac,
Saône-et-Loire - à 20 km au NE d'Autun, par la
RD 151 Propr. : Duc de
Magenta / On ne visite pas / A flanc de coteau Hist. : Ce fief, tenu
de Dracy-Saint-Loup, est entre les mains des Champsigny au
XIVe s., puis, à la fin du XVe s., de Robert et Louis
de Bournonville qui possèdent "maisons, granges,
portail, verger,... une maison appelée la
sale". Descr. : Il ne reste
du petit château de Champsigny qu'une porte
d'entrée et une tour carrée. La tour,
construite en pierres et percée de fenêtres
rectangulaires, est haute d'un étage qui comporte une
grande salle avec une cheminée ; elle est
accolée à une tourelle carrée qui
renferme l'escalier auquel on accède par une porte
encadrée de pilastres ; de petites volutes ornent
l'encadrement des fenêtres de la tourelle. Ces
constructions sont dans le prolongement de la porte
monumentale, appareillée en pierres, dont les
ouvertures verticales indiquent qu'elle était faite
pour commander un pont-levis, et qui est couronnée de
mâchicoulis portés sur de fortes consoles. La
porte elle-même est cintrée et encadrée
d'un bandeau rectangulaire garni de chaque côté
par une large rosace, et surmonté d'un écusson
tenu par deux dragons, sur lequel on reconnaît une
croix. Deux canonnières ont été
aménagées de part et d'autre de la
porte. Source : Le guide des
châteaux de France - Saône et Loire - Ed.
Hermé - 1985 |
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photo - carte postale datée du 15 août 1913
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La famille de M.
Gaston Fouquet pose devant la façade nord de sa maison.
Les époux Fouquet auront 4 enfants, dont Maurice
présent sur la photo.
Ils agrandiront la maison d'une aile, côté ouest.
A cette époque, Gaston Fouquet est l'ingénieur et
directeur de l'usine des schistes appartenant à la SLSB
(voir chapitre "L'histoire du charbon")
cachet de 1927 - SLSB (Société Lyonnaise des Schistes Bitumeux)
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l'ancien café de la famille Chaussin |
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vue aérienne de St Léger du Bois en 1966
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le quartier de la gare
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1985 - le château de Lally, ayant appartenu aux Mac-Mahon
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la façade ouest de Lally, fief dominant de St Léger
Arr. Autun, c. Epinac,
Saône-et-Loire - à 22 km au NE d'Autun, par la
RD 26 Propr. : M. Pereau -
On ne visite pas. Le petit château de Lally,
situé à l'extrémité du hameau,
se trouve dans la vallée, au bord du ruisseau de
Lacanche. Hist. : Le
château est attesté dès le XIIIe s. Il
passe au début du XVe s. aux Bréchard. Denis
Poillot, président au Parlement de Paris, que
François ler envoya en ambassadeur auprès du
roi d'Angleterre, en fut seigneur dans le premier tiers du
XVIe s., puis le vierg d'Autun Jacques Bretagne entre 1566
et 1574. Au XVIIIe s. on le retrouve entre les mains des
Mac-Mahon. Il sert actuellement d'exploitation agricole.
Lally - tour barlongue
entourée de bâtiments Descr. : Une grosse
tour barlongue à trois étages,
appareillée en pierres, semble être la partie
la plus ancienne du château ; les fenêtres qui
l'éclairent au S, vers la cour, ont été
remaniées à plusieurs époques ; au N,
une belle fenêtre à meneau cruciforme
encadrée de pilastres cannelés et
surmontée d'un fronton de style Renaissance
paraît avoir été ouverte à
l'époque de Denis Poillot ; au-dessus subsistent deux
baies géminées. De ce côté N, le
mur de gros appareil se poursuit de part et d'autre de la
tour ; il formait le mur d'enceinte polygonal du
château fort. Vers l'E, un bâtiment moderne
à usage agricole s'y appuie. Vers l'O, un corps de
logis faisant retour d'équerre est venu s'appuyer
contre ce mur : des corbeaux de mâchicoulis subsistent
à l'angle extérieur ; un pignon et des traces
de fenêtres de style classique indiquent plusieurs
remaniements subis par ce bâtiment. Dans la cour, une
tête noyée dans la maçonnerie et
plusieurs fragments de sculptures sont encore visibles. Les
anciens fossés forment bief vers le N où se
trouvait un petit moulin abandonné. Un bâtiment
de communs date du XVIIe s. Source : Le guide des
châteaux de France - Saône et Loire - Ed.
Hermé - 1985 |
dessin
gravure du XIXe siècle
demeure de la famille de Magenta
et lieu de naissance du maréchal de Mac Mahon
avec ses 4 faces différentes et ses 365
fenêtres
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Madame de Sévigné avait surnommé en son temps le château de Sully "le petit Fontainebleau de la Bourgogne" et Bussy-Rabutin pensait que c'était là la plus belle cour d'honneur de France. Ci-dessous 2 clichés récents du château de Sully, signés Chantal Pitelet, que nous remercions :
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erci de fermer l'agrandissement sinon.