Nos soldats de la
Grande Guerre
"Morts pour la France"
par Guy
Friadt
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le monument aux morts de
Saint-Léger-aux-Bois
La
date du 26 août 1914 est la première qui apparaît
dans le registre d'Etat Civil de Saint-Léger-aux-Bois avec la
mention "Mort pour la France". Il s'agit de
31 ans, né à Nampcel le 9
juin 1883, soldat 2e classe au 254e R.I., 18e Cie - Mort pour la
France, tué à l'ennemi à Grand Fayt, Nord.
Jugement du tribunal civil de Compiègne du 8 novembre 1916,
transcrit à Paris le 15 novembre 1916
Le 5 septembre 1914
26 ans, né le 2 octobre 1888
à Saint-Léger-aux-Bois, soldat 2e Classe - 54e R.I . -
Mort pour la France à Dannevoux, Meuse,
décédé des suites de blessures de guerre
à l'Ambulance 11/16 - Inhumé dans le cimetière
communal.
Le 16 septembre 1914
27 ans, né le 17 septembre 1886
à Saint-Léger-aux-Bois, soldat de 1re classe au 155e
R.I. - Mort pour la France sur le plateau de Nouvron dans l'Aisne.
Jugement du tribunal civil de Compiègne le 4 octobre 1916. Le
31 août 1914, mention marginale dans le registre
Il disparaît la veille de son 28e anniversaire, le 16 septembre
1914.
Henri
FOSSET
Le 29 septembre 1914
30 ans, né le 10 juillet 1884
à Chiry-Ourscamp, soldat 2e classe au 254e R.I. - Mort pour la
France tué à l'ennemi au combat de la Neuville, Marne.
Transcription 20 août 1920
Le 2 novembre 1914
27 ans, né le 21 février
1883 à Saint-Léger aux Bois, soldat de 2e classe au
254e R.I. 22e Cie - Mort pour la France tué à l'ennemi
à Soupir, Aisne
Le 14 novembre 1914
Julien (Edmond sur le Monument aux
Morts) POILLET
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34 ans, nés le 16 mars 1880
à Thiescourt (Oise), domicilié en dernier lieu à
Saint-Léger-aux-Bois, fils de Jules Ferdinand et de RIGAUT
Clémentine, époux de LELARGE Sidonie Gabrielle et
soldat au 54e R.I. - Mort pour la France, décédé
à l'hôpital temporaire n°7 à Verdun (Meuse).
Dossier médical. Le 20 juin 1914, mention marginale dans le
registre.
Le 2 mars 1915
20 ans, né le 8 mars 1894
à Saint-Léger-aux-Bois, soldat au 127e R.I. - Mort pour
la France, tué à l'ennemi sur le champ de bataille
à Minaucourt, ferme Beauséjour, Marne
Le 17 mars 1915, à 12
heures
Raymond Clovis Albert
BERNARD
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21 ans, né le 8 avril 1894
à Saint-Léger aux Bois, soldat de 2e classe au 127e
R.I. - Mort pour la France, disparu à 21 ans, tué
à l'ennemi sur le champ de bataille à Minaucourt, ferme
Beauséjour, Marne
Raymond
BERNARD
En
novembre 1914, Raymond BERNARD est soldat
versé au 127e Régiment d'Infanterie,
1re Compagnie, au camp de la Courtine, dans la
Creuse (1).
carte de
Guéret, (Creuse) le 29 novembre 1914 :
"Je vous écris ces deux mots en vitesse
pour vous faire savoir que j'ai reçu la
carte de Marcelle vendredi. Marcelle parle sur sa
carte que Georgina m'a adressé une lettre au
camp de la Courtine. Elle n'est pas encore en ma
possession. Il n'y a rien d'extraordinaire, car le
camp se trouve à 80 km de Guéret. De
mon côté, si je suis encore à
Guéret, voilà pourquoi : mardi matin
à l'heure de partir, un ordre est
arrivé avec mention d'attendre
jusqu'à nouvel ordre. Aujourd'hui dimanche ;
l'ordre est arrivé : le départ
à lieu demain lundi. Aussi je profite du
dimanche pour fêter le départ avec des
copains. Aujourd'hui, j'ai mangé en ville,
rien ne sert de s'en faire. Moi, je ne me fais pas
de bile, si je suis pour en revenir, j'en
reviendrai. Aussi, pour la deuxième fois, je
pense revenir et vous rapporter un souvenir
d'Allemagne. Pense à vous. Au revoir. Votre
cousin qui pense à vous."
camp de la
Courtine (Creuse) - le montage des
tentes
"(
) Ici
à Guéret, où je couche, les
souris, rats et puces sont en masse. L'on couche
sur le parquet et le vent souffle avec vigueur en
cet endroit, il fait froid. Que voulez vous, c'est
la vie. Il faut commencer la campagne.
Malgré cela, il faut mieux être comme
ça que d'être dans les
tranchées. On nous dirige vers Reims.
Bonjour à mon oncle, tante Georgette, etc.
Raymond B."
au
parc à fourrages - le remplissage des
paillasses
"(
) Ferons
comme ceux qui y sont partis (Va où tu peux,
meurs où tu dois !) Ici, je ne suis pas seul
de Saint-Léger, René COLLAY, de
Flandre, est avec moi, même compagnie,
section et chambre. De mon côté, je
suis surpris de ne pas recevoir de vos nouvelles,
ni de chez nous. Est-ce que par hasard l'encre fait
défaut un peu partout, même ici ?
Avez-vous des nouvelles de Saint-Léger ? Si
on va en Allemagne, je ferai mon possible pour
reprendre nos bijoux, montres et pendules de 1870
et 1914. Enfin, il faut vivre en espérance
en attendant de reprendre notre vieille
Alsace..."
vue
générale des
tentes
(1) La Courtine :
chef-lieu de canton du département de la
Creuse, dans l'arrondissement d'Aubusson, sur la
route d'Ussel. Le camp militaire,
créé en 1902, est situé au
nord du village et s'étend sur 6 000
hectares. Il sert à "l'instruction
collective et à l'entraînement de tous
types d'unités". Des soldats russes y
ont été cantonnés en 1917 afin
de les dissuader d'adhérer à la
Révolution, ce qui n'a empêché
ni révoltes ni sanglantes
répressions.
camp de la
Courtine - tir d'artillerie
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Le 23 mars 1915
23 ans, né à
Saint-Léger-aux-Bois le 1er octobre 1892, caporal au 161e R.I.
- Mort pour la France, disparu le 23 mars 1915 à Bagatelle.
Cette disparition ayant sa cause dans un fait de guerre et remontant
à plus de 2 ans, il y a lieu de présumer qu'il est Mort
pour la France au lieu et date de sa disparition.
Roger
BERNARD
Roger
a deux ans de plus que son frère
Raymond. De St Mihiel (Meuse) où il est
au service militaire, il envoie cette carte
:
Saint-Mihiel
le 17 octobre 1913
Chers
cousins et
cousines
Je
vous envoie mon logement ; pour
voir des soldats c'est ici ; je
ne me plains pas et la nourriture
est bonne ; hier debout à
4 heures du matin pour rentrer
à 22 heures de
l'après-midi ; on a
mangé la gamelle en route
de bon appétit ; en
rentrant fatigués il a
fallu cirer et brosser car
à passer dans la
rosée et la terre
labourée on était
pas mal salis ; enfin ce qui me
console c'est pour deux ans, car
Vive la liberté On sait
à peine le jour que l'on
est et pas de nouvelles, car
depuis que je suis ici pas de
journal.
Je termine en vous embrassant
sans oublier Raymonde.
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Roger
est mobilisé dès le 15 août
1914 à Reims. Le 24 août, il
reçoit la visite à Reims de Charlotte
COTTERET et de son époux Henri DEMONT, de
Saint-Léger. En novembre, Roger se trouve
dans la plaine de Lacroix sur Meuse (sous Verdun).
En décembre, il apprend la mort au combat
d'un de ses amis de Saint-Léger : Jules
Georges LECLÈRE.
Le 5 décembre, il est au feu à
Lacroix sur Meuse :
aspect de
Lacroix sur Meuse (Meuse) après le passage
des barbares
Le 23 janvier 1915,
Roger est caporal. Le 6 février, il est
à Vienne le Château, à quelques
kilomètres seulement de son jeune
frère qui se bat à la ferme de
Beauséjour, et dont il n'aura aucune
nouvelle avant sa mort.
photo de groupe
du 161e R.I. - au centre, Roger BERNARD - pour un
agrandissement
Il est caporal au
161e Régiment d'Infanterie, le 23 mars 1915,
au moment de son décès au champ
d'honneur, à Bagatelle, dans la Marne. Sa
dépouille repose dans l'ossuaire n°1 de
la nécropole nationale de LA HARAZÉE,
à Vienne le Château, Marne.
le
cimetière de la Harazée
(Marne)
Raymond et Roger
BERNARD étaient les deux seuls fils de feu
Restide Bernard et de Eugénie Collas qui
avaient créé une fabrique de balles
à jouer, rue d'Enfer, à
Saint-Léger-aux-Bois. Les deux fils
disparus, la branche de cette famille s'est
éteinte et l'activité artisanale
qu'ils avaient créée a disparu
également.
la fabrique de
balles à jouer BERNARD
les 2 jeunes sont Roger et Raymond, vers 1908,
Restide est à gauche
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Le 25 mars 1915
Paul Robert Arcade
RONDEL
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35 ans, né le 14 janvier 1880
à Saint-Léger-aux-Bois, soldat de 2e classe au 54e R.I.
- Mort pour la France, tué à l'ennemi, disparu aux
Eparges, Meuse. Transcrit le 27 octobre 1920
Le 1er mai 1915
32 ans, né le 24 mai 1883
à Saint-Léger-aux-Bois, soldat 2e classe au 161e R.I. -
Mort pour la France au Bois de la Gruerie, Marne
Le 28 mai 1915
19 ans, né le 24 avril 1896
à Pont-Sainte-Maxence (Oise), domicilié à
Saint-Léger-aux-Bois, soldat au 155e RI - Mort pour la France
à Lamballe, Côtes du Nord, aujourd'hui Côtes
d'Armor
Le 7 octobre 1915
24 ans, né le 12 Mai 1891
à Saint-Léger-aux-Bois, sergent major au 69e bataillon
de chasseur à pied - Mort pour la France par blessure de
guerre à Châlons-sur-Marne, Marne
Le 14 octobre 1915
21 ans, né le 5 Septembre 1894
à Saint-Léger-aux-Bois, soldat 2e classe au 161e R.I.,
6e Cie - Mort pour la France tué à l'ennemi à
Mourmelon-le-Grand, Marne
Le 8 novembre 1915
27 ans, né le 14 février
1888 à Saint-Léger-aux-Bois, soldat au 361e R.I. - Mort
pour la France des suites de blessure de guerre à
l'hôpital militaire de Grenoble
Le 24 février 1916
25 ans, né le 21 septembre 1890
à Chiry-Ourscamp, soldat de 2e classe au 2e Régiment de
marche des Zouaves, 20e Cie - Mort pour la France disparu au Bois des
Fosses, Meuse. Cette disparition ayant sa cause dans un fait de
guerre et remontant à plus de 2 ans, il y a lieu de
présumer qu'il est Mort pour la France au lieu et date de sa
disparition. Tribunal de Compiègne 16 novembre 1921
Le 5 avril 1916
21 ans, né le 13 novembre 1895
à Thorigny, Seine et Marne, soldat de 2e classe au 37e R.I, 8e
Cie - Mort pour la France à Béthincourt,
Meuse
Victor DEMONT
n'est rentré qu'une fois en
permission. Il est alors
photographié. Il est mort quelques
semaines plus tard.
Louise DEMONT,
épouse FRANÇOIS - Blanche DEMONT,
épouse LEMAIRE - Victor DEMONT
devant : Clothilde FRANÇOIS - Marie-Louise
FOSSET, assise, et le petit
Émile
Victor
DEMONT
Béthincourt
se trouve à une vingtaine de
kilomètres de Verdun.
Voici un extrait de
http://www.lesfrancaisaverdun-1916.fr/histo-verdun-detaille3.htm
pour ce qui concerne la date du 5 avril 1916, jour
de la mort de Victor Demont :
- Rive droite de
la Meuse
Au matin, le 1er bataillon du 74e R.I. repousse une
nouvelle attaque mais subit de lourdes pertes. Vers
16h, il part à l'assaut et parvient cette
fois-ci à prendre une partie du boyau Hans.
Il réalise ainsi une importante
progression.
- Rive gauche de
la Meuse
Le bombardement allemand est très violent
sur les villages de Haucourt, Vassincourt et
Palavas. Les forces françaises qui tiennent
ses positions sont littéralement
broyées sous les obus et succombent petit
à petit.
-
Témoignage de Lucien Jourdan, sergent au 48e
R.I. : "Je mets la tête hors du boyau
pour essayer de reconnaître les morts qui
sont étendus là. Seul, car tout le
monde est terré, je suis
épouvanté devant ce gigantesque
charnier et suffoqué par l'odeur qui s'en
dégage. A perte de vue, la terre est
recouverte de cadavres. Tout est changé
: les vivants sont sous terre et les morts sur la
terre."
A 16h,
malgré un pilonnage français assez
soutenu, l'ennemi se lance à l'attaque sur
Palavas. A 18h, le village de Palavas est perdu. Un
seul survivant français parviendra à
rejoindre les 2e lignes. A la nuit, 2 bataillons du
26e et un du 153e R.I. reçoivent l'ordre de
contre-attaquer le village perdu. Mais il est trop
tard pour espérer une reconquête du
village. Ils se mettent néanmoins en route.
Sur Béthincourt, un bataillon du 37e R.I.
repousse une attaque allemande.
avril
1916
En
complément, voici un extrait des Journaux
des Marches et Opérations (JMO) du 37e
R.I. :
"5 avril - Le bombardement du village et des
ouvrages occupés par le régiment
devient très violent, surtout de 14h
à 18h Vers 16h30, l'ennemi qui s'est
infiltré par le N O, après
l'évacuation de l'ouvrage Kléber et
du boyau Kléber-Béthincourt venant du
bois de Cuisy, tente d'attaquer la 9e Cie, mais il
est repoussé par le tir des nos
mitrailleuses."
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Le 2 mai 1916
32 ans, né le 5 octobre 1884
à Tracy-le-Mont, soldat 2e classe 254e R.I., 19e Cie - Mort
pour la France des suites de blessures en combattant l'ennemi,
à l'hôpital temporaire n°12 de Vadelaincourt,
Meuse
Le 2 juillet 1916
Eugène Ernest Marie
LEROY
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37 ans, né le 5 juillet 1879
à Saint-Léger-aux-Bois, soldat de 2e classe au 248e
R.I. - Mort pour la France tué à l'ennemi à
Chaumont, Meuse
Le 6 septembre 1916
Clothaire Lucien
BONVALET
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30 ans, né le 14 septembre 1889
à Saint-Léger-aux-Bois, soldat 2e classe au 1er
Bataillon de Chasseurs à pied - Mort pour la France à
Vermandovillers, Somme
Le 30 octobre 1916
Gaston François Lucien
VIKOSKI
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28 ans, curé, né le 25
avril 1888 à Choisy-au-Bac, soldat de 2e classe au 94e R.I. -
Mort pour la France disparu à Pailly Saillisel, Somme.
Tribunal de Compiègne 15 juin 1921. Cette disparition ayant sa
cause dans un fait de guerre et remontant à plus de 2 ans, il
y a lieu de présumer qu'il est Mort pour la France au lieu et
date de sa disparition.
Le 16 mars 1917
32 ans, nés le 27 août
1887 à Saint-Léger-aux-Bois, soldat de 2e classe au
175e au R.I. - Mort pour la France des suites d'une blessure de
guerre à Monastir, en Serbie

Gaston
LÉPINE
Le 16 avril 1917
27 ans, né le 25 octobre 1879
à Carlepont, soldat de 2e classe au 267e R.I., 4e Cie - Mort
pour la France, disparu à la Ferme du Choléra à
Berry au Bac, Aisne. Cette disparition ayant sa cause dans un fait de
guerre et remontant à plus de 2 ans, il y a lieu de
présumer qu'il est Mort pour la France au lieu et date de sa
disparition.
A noter que le Monument aux Morts de Saint-Léger-aux-Bois
indique "Raoul LECOMTE".
Le 16 avril 1917
28 ans, né le 7 mars 1889
à Saint-Léger-aux-Bois, sergent au 332e R.I., 5e Cie,
5e Bataillon, décoré de la Croix de Guerre - Mort pour
la France des suites de blessures à Berry au Bac, Aisne. N'est
pas inscrit au monument aux Morts de
Saint-Léger-aux-Bois
Le 17 avril 1917
33 ans, né le 13 novembre 1884
à Saint-Léger-aux-Bois, soldat de 2e classe au 267e
R.I. - Mort pour la France à Berry au Bac, Aisne,
décédé à la Ferme du Choléra,
inhumé dans le cimetière communal de
Saint-Léger-aux-Bois
Octave
LOMBARD
Le 6 décembre 1917
44 ans, soldat de 2e classe, 13e
Régiment Territorial, 2e compagnie - Mort pour la France
à Clermont en Argonne, Marne
correspondance
militaire : le 17 mars 1915, à M & Mme
BONNART Albert :
"Cher cousin et cousine, je prends un instant
pour vous envoyer ces quelques mots. Je me porte
toujours bien et espère que vous êtes
tous de même. Nous travaillons toujours, ce
qui désennuie. Nous sommes à quelques
kilomètres d'où je vous ai
écrit la dernière fois. Maître
GUÉRIN, le notaire de RIBÉCOURT, est
infirmier avec nous. Il y a quelques jours, il m'a
dit qu'il avait vu la fille aînée
d'Henri LECLÊRE qui est mariée avec un
vannier et habite ici. Ils lui ont dit que j'aille
les voir. J'ai reçu une lettre de Roger
(BERNARD, soldat) hier. Je termine en vous
souhaitant tous le bonjour ainsi qu'à
Désiré et Georgette (TIERCELET) si
vous les voyez. Votre cousin qui vous embrasse de
loin."
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Le 19 juillet 1918
39 ans, né le 3 mars 1879
à Saint-Léger-aux-Bois, Sergent au 102e R.I. - Mort
pour la France à Venteuil, Marne
Cela fait un macabre total de 27
hommes de la commune de Saint-Léger-aux-Bois "Morts pour la
France" durant la Grande Guerre, auquel il faut ajouter :
Louis Alfred
DELNEF né à
Avricourt (Oise) le 28 février 1887, soldat du 102e RAL en
permission, tué par une bombe d'avion le 17 mai 1918 à
Choisy-au-Bac, près de Saint-Léger, à la sortie
de la forêt de Laigue, sur la route de Compiègne, en
compagnie de son épouse Sylvie,
née DEMONT à Saint-Léger le 22 juin 1894, et de
leur fille Yvonne,
née à Grugies (Aisne) le 10 janvier 1914.
de
Saint-Léger-aux-Bois
à La
Chanvrière
(1789-1799)
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Saint-Léger-aux-Bois
dans la Première
Guerre
mondiale
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la
Grande Guerre, vue par
Maurice
Bonnart
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Saint-Léger-aux-Bois
à travers ses
monuments et ses
rues
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La
Seconde Guerre mondiale
et l'Occupation à
Saint-Léger
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Merci
de fermer l'agrandissement sinon.
https://www.stleger.info