ues écentes de St Léger en Gaume

 

 

vue générale de St Léger en Gaume

 

 

 

Saint Léger vu du Haut de Châtillon - cliché de Brigitte Turbang

 

 

 

hiver à St Léger en Gaume - http://www.panoramio.com

 

 

 

 

 

 

l'église de St Léger en Gaume - http://www.panoramio.com

 

 

 

janvier 2021

 

 

 

le clocher sous la neige - http://www.panoramio.com

 

 

 

 

 

 

Saint-Léger prépare la fin de l'hiver - http://www.flickr.com

 

 

 

St Léger sous la neige

 

 

 

St Léger by night

 

 

 

la cour du château

 

 

 

le quartier du Chauffour - en bas à droite, le lavoir tunnel

 

 

 

l'église, le jour

 

 

 

l'église, la nuit

 

 

 

l'église, vue du dessus de la Rue Perdue - http://www.flickr.com/photos/simouns

 

 

 

l'église de St Léger en Gaume - http://www.panoramio.com

 

 

 

clocher et chevaux - http://www.panoramio.com

 

 

 

 

 

 

2019

 

 

 

le monument aux morts, rue du 5 septembre, face à l'église - http://www.bel-memorial.org

 

 

 

 

 

 

le lavoir tunnel du Chauffour

la chapelle de Wachet

Les renseignements ci-dessous proviennent du site communal http://www.saint-leger.be dont nous vous conseillons la visite.

le lavoir-tunnel
Depuis toujours, les points d’eau ont joué un rôle décisif dans la localisation des implantations humaines. Les fontaines, pompes et abreuvoirs se multiplièrent dans la commune, surtout dans la seconde moitié du 19e siècle, après l’épidémie de choléra de 1866 qui dévasta la province. Dans les années 1880, on trouvait, dans chaque quartier, une arrivée d’eau publique complétée par de nombreux puits privés.
Les lavoirs jouaient un rôle important dans la vie villageoise. Dans ce lieu obligé de rencontres féminines se faisaient et se défaisaient les réputations. Les lavoirs se trouvaient à proximité des cours d’eau que bordaient des prairies marécageuses. Leur aménagement en dur était donc indispensable. C’est pourquoi ils furent pavés, dallés ou cimentés et souvent mis sous un toit. Ils devinrent un endroit bâti à usage exclusif de la lessive conçus avec des bacs à rincer en amont, et à savonner en aval.

l'ermitage de Wachet
L’ermitage semble avoir toujours été occupé de 1559 - et probablement antérieurement à cette date - jusqu’en 1783 . A partir de 1668, les ermites habiteront les deux pièces situées à l’arrière de la chapelle.
La suppression des ermitages fut ordonnée par un décret de l’empereur Joseph II en date du 2 juillet 1743. La plupart des ermites gagnèrent les monastères. Certains rejoignirent Orval. Dans la suite, il n’y eut plus que des gardes-chapelle à qui fut confiée, moyennant logement, la surveillance du sanctuaire.
L’ermitage fut habité par différentes familles de St Léger. Le jardin était toujours cultivé. Dans l’annexe, on élevait un ou deux porcs. La famille devait veiller à ce que les croix des stations soient toujours propres. La dernière famille recueillie à l’ermitage fut la famille Morzenti. En 1944, la commune fit transformer ce logement en sacristie. L‘écurie fut détruite. Un peu plus tard, elle fit boiser le jardin.
Une plaque apposée au fond de la chapelle cite les ermites de 1635 à 1781, date de la mort du dernier, entourée de mystère et de légende.

 

 

 

le chemin de l'ermitage de Wachet - http://www.flickr.com

 

 

 

le chemin de croix
La première série de stations, en bois, dues au quatuor cité, bordant le chemin vers la chapelle, fut béni le 24 juin 1842.
Au début du 20° siècle, Joseph, Adolphe et Paul Depienne, artisans du village, façonnèrent neuf des monuments actuels, les cinq autres étant l'oeuvre de Joseph Deveaux et ses fils. La pierre de ce chemin de croix érigé en 1908 avait été extraite au Bois du Pas Bayard, entre Tellancourt et Saint-Pancré. Toutes ces croix furent financées par des familles bienfaitrices de la commune de St Léger, dont les noms figurent au dos des stations.

En 1985 quatre croix durent être renouvelées.

 

 

 

le chemin de l'ermitage de Wachet - http://www.flickr.com 

 

 

 

à nouveau le chemin de l'ermitage de Wachet - http://www.panoramio.com

 

 

 

 

 

 

 

la chapelle Notre-Dame du Refuge
Construite au milieu du 17e siècle, la chapelle de Wachet fut bénite en 1678, date inscrite dans la pierre au-dessus du portail.
Les ermites en assurèrent l'entretien jusqu'à la Révolution française, moment où elle fut mise en vente.
Par le jeu des successions, la chapelle devint la propriété de 23 personnes et faillit connaître la ruine, mais en 1838 le curé Fostie, le bourgmestre Lamouche et Mmes Gérardy et Renaud entreprirent sa restauration.
La toiture et les croisées du chœur furent réparées et l’autel repeint.
En 1950, une importante restauration fut réalisée par les soins de l’administration communale. La toiture, le clocher et l’ardoisage de la façade furent entièrement renouvelés et le bâtiment fut consolidé.
1998 vit les murs extérieurs remis à neuf et le clocher reconstruit en 2007.
La paroisse prend en charge la décoration intérieure qui fut renouvelée en 1979, 1981 - suite à des dégâts de feu, le soir de l'Ascension - 1998 et 2009.

le crucifix
Depuis 1988, le Grand Christ du 17e siècle, restauré par Fernand Tomasi, a pris place dans le choeur de l'église paroissiale. Le même artiste en a exécuté une copie qui orne aujourd'hui la façade de la chapelle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

aujourd'hui
Jamais fermée, la chapelle, qui porte bien son nom de Notre-Dame du Refuge, accueille jour et nuit les fidèles.
La messe de l'Assomption y est célébrée le 14 août, à 18h30, au terme de la procession traditionnelle. Chaque jeudi, du 1er mai au 30 septembre, les fidèles s'y rassemblent pour l'Eucharistie, ainsi que le vendredi saint à 15h pour le chemin de croix. Les enfants qui le souhaitent y font leur 1re communion.

 

 

 

le moulin Clément

En 1848, on autorisa les frères Clément à établir un moulin à farine, une scierie et une huilerie. L ‘huilerie cessera de fonctionner après la guerre de 1914-1918. Le moulin et la scierie continuèrent leurs activités jusque dans les années 50.

 

 

 

la place de Choupa

 

 

 

le lac de Conchibois - http://www.panoramio.com

 

 

 

le lac de Conchibois

 

 

 

le lac de Conchibois

 

 

 

le lac de Conchibois en janvier

 

 

 

le lac de Conchibois vu d'en-haut

 

 

 

la Troyre

La Troyre est un chemin rural en pavés calcaires joignant la rue de France et le site d’Hardomont. Il est bordé de toute part de murs en pierres sèches.

 

 

 

St Léger vu de la Troyre - http://www.panoramio.com

 

 

 

mars 2022 - cliché de Georges Dubois

 

 

 

rue du Vieux Moulin - http://www.panoramio.com

 

 

 

les crons de la vallée de la Rouge-Eau

feuillus dans les bois de St Léger

les crons de la vallée de la Rouge-Eau
Les crons sont des sources pétrifiantes d’intérêt exceptionnel. Il s’agit de milieux rares en Belgique, n’occupant que d’infimes surfaces dans notre pays.
Le mot "cron" vient du latin "creta" et signifie "craie". C’est ainsi que les habitants de pays gaumais appellent les masses rocheuses formées par les dépôts de calcaire pur à partir d’une source contenant du bicarbonate de calcium en solution. Ces dépôts sont très fragiles mais au fil des années, ils peuvent former des ensembles très imposants constituant de véritables phénomènes géologique.

Les bois de St Léger
La forêt communale de Saint-Léger s’étend sur environ 800 hectares.
On y trouve deux grands types de peuplements : une futaie jardinée de hêtres d’une part, des plantations de pins sylvestres datant du début du siècle en grande partie sous-étagés d’autre part.
La forêt de St Léger a subi d’importants dégâts lors des tempêtes de 1990.

 

 

 

 

 

Le hussard a été peint par des chasseurs dans les années 1920/1922. Au départ, il en existait 4.
La femme, quant à elle, a été peinte par une personne inconnue et est beaucoup plus récente.
http://picasaweb.google.com/PiBou53/EnPassantParLaLorraine#

 

 

 

les bois de Saint-Léger, route de Vance - http://www.flickr.com/photos/simouns

 

 

 

les bois de Saint-Léger, route de Vance - http://www.flickr.com/photos/simouns

 

 

 

 

 

 

en famille - http://www.panoramio.com

 

 

 

 
http://commons.wikimedia.org

 

 

 

 

20 juillet 2015

La Fête nationale belge, célébrée le 21 juillet, commémore le serment prêté le 21 juillet 1831 par Léopold de Saxe-Cobourg, premier roi des Belges, de rester fidèle à la Constitution. Le serment du roi marquait le début d'une Belgique indépendante, sous le régime d'une monarchie constitutionnelle et parlementaire.

 

 

Source et lien : http://www.saint-leger.be

 

 

vues anciennes de St Léger (1914 et 1977)

les ciels de St Léger en Gaume

2014 - les photos de Henri

 

erci de fermer l'agrandissement sinon. 

 

 

 

https://www.stleger.info