St Léger
les Vignes - le Haut Moulin, vers 1913
de gauche à
droite : la grand-mère Prin (mère du meunier) / Pierre
Cornillaud, ouvrier meunier
Alexandre Baptiste Prin, meunier / son épouse Emilienne,
née Dolbeau / sur le vélo, leur fille
Emilienne
photo prise vers
1932 au bourg de St Léger, à la porte du café
Guilbaud
A cette
époque, il y avait 4 cafés près de
l'église.
Après avoir été longtemps le café
Guilbaud, puis Aguesse, ce café a changé plusieurs fois
de noms.
Il s'est appelé vers 1980 "les Petits Carreaux" puis "le
Trèfle", puis "An Triskell".
Depuis 2005, il a repris le nom des "Petits Carreaux".
intense trafic
à Saint-Léger !
1934
fin des
années 40 - il y en avait, des vignes ! - photo prise du Haut
Moulin
point d'orgue des vendanges, le
bal a rassemblé parfois plus 600 danseurs sous la
rotonde
les vendangeurs venaient des
communes voisines, de Bretagne et de Vendée
le comité des fêtes
entoure les reines Dominique Brossaud, Gisèle Naulleau et
Nicole gaillard, en 1968
pour un
agrandissement
dans la cave d'un
particulier, à St Léger les Vignes, ces 2
oeuvres
Sanctus
Leodegarius, notre saint Léger, est en
plâtre, sculpté par Auguste Pichaud
(1908-1983). Ses yeux ne sont pas crevés comme
pourrait le laisser supposer la photo. On trouve de
nombreuses uvres de M. Pichaud dans les caves et les
églises de la région. La maxime sur le vin est
à méditer, d'autant que la vigne est un
élément noble dans le christianisme
;O)
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le
passeur d'histoires les raconte en patois
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Il
s'agit d'un article de Ouest-France en date du 28
septembre 2017 :
"Yves Giraudet
est le gardien de la mémoire de la commune.
Samedi, cette figure bien connue remonte le
passé de ses ancêtres en patois,
à la
médiathèque.
Yves Giraudet a
fêté ses 80 ans il y a peu. Né
à Saint-Gervais, en Vendée, il arrive
dans la commune en 1954, afin de prendre part aux
vendanges à la Maugenderie, comme de
nombreux Vendéens à l'époque.
"J'avais 17 ans et j'étais
l'aîné de cinq enfants. Je suis
resté à la ferme pour les gros
travaux et l'hiver, je travaillais aux
huîtres. Pour venir à la Maugenderie,
j'ai fait le trajet à vélo, soit 50
km", se souvient Yves Giraudet.
Il revient dans la
commune le 1er février 1955, pour vivre
à la ferme, et rencontre Mimi, la fille de
la garde-barrière, qu'il épousera
quelques années plus tard. En 1957, il part
à l'armée pour deux ans et demi.
C'est la guerre d'Algérie. À son
retour, Yves Giraudet passe le concours de la Poste
et de la SNCF. "À l'époque, il y
avait du travail partout. J'ai travaillé
chez un viticulteur en préparant les
concours et je suis parti pour Paris, à la
Poste, le 1er mai 1961. J'y suis resté deux
ans avant mon retour à
Nantes."
De son enfance,
Yves Giraudet se souvient des soirées autour
du feu, où l'on racontait des histoires en
patois. "Chez moi, on parlait le patois du pays
de Retz et de la Vendée, qui sont
similaires. Même à l'école, on
utilisait ce patois. On le parle vite et il est peu
compréhensible."
Yves Giraudet est
une figure de la commune, où il occupa
pendant 24 ans un siège de conseiller
municipal, dont 2 mandats d'adjoint. Il fut aussi
président de l'Association de parents
d'élèves, qui se sont battus contre
la fermeture de l'école publique. Il a
ensuite été
délégué départemental
de l'Éducation nationale (DDEN), membre du
comité des fêtes, membre actif de
l'association Mémoire de Saint-Léger
et président des anciens combattants, poste
qu'il occupe toujours.
À la
médiathèque, samedi, Yves Giraudet
racontera une histoire en patois. "Après
la narration, nous analyserons le récit afin
d'expliquer les mots d'un langage qui s'est perdu.
Seule ma génération le comprend
encore", regrette-t-il.
samedi 30
septembre, de 10h30 à 12h, "Comprendre le
passé de nos ancêtres", à
la médiathèque - entrée
libre"
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le geste du sabotier et le regard
de l'enfant
photo de Mission
réalisée en novembre 1960, dans la cour de la cure -
sur l'original, on compte 239 personnes
les
expositions et les
publications
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Les
expositions annuelles ont
donné lieu à la
parution d'un fascicule
:
- 1990
: Les objets courants du temps
passé
- 1991
: Autrefois la
vigne
- 1992
:
Les
épiceries, le pain, les
saveurs d'antan
- 1993
:
Sabotiers
et sabots
- 1994
: Les mariés
d'autrefois à
Saint-Léger
1900-1940
- 1995
: Les enfants
davant-guerre
- 1996
: Les "barattinades" (le lait,
la crème, le
beurre)
- 1997
: Le tonnelier et le
forgeron
- 1998
: Larrivée de
lélectricité
dans nos campagnes
- 1999
: Le menuisier-charpentier du
village
- 2000
: Les 1000 et un visages de
Saint-Léger-
expo-photos
- 2001
: Les moulins de chez
nous
- 2002
: Gibecière et vivier -
traditions de chasse et de
pêche
- 2003
: Les petits métiers
oubliés :
garde-champêtre,
garde-barrière,
rémouleur, marchand de
cendres, lavandière,
tisserand...
- 2004
: Demain, on tue le
cochon
- 2005
: Les plantes de nos
grand-mères - us et
coutumes
- 2007
: Les arbres fleurissent
même en hiver -
journées
généalogie
- 2008
: Histoire de
léglise et de la
paroisse
- 2010
: Les fêtes
dantan
- 2012
: Sur les chemins du cadastre
napoléonien
- 2016
: La vigne et le vin en Pays
de Retz contés par les
outils du passé
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un dimanche matin, à St
Léger les Vignes
la Croix du Bossu
le Haut Moulin
pas
de musée des Arts à
Saint-Léger mais des artistes
!
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Brigitte Vlahovic -
Saint-Léger - le bourg
Brigitte Vlahovic - le
bourg de Saint-Léger
Jacques Le Bris -
Saint-Léger - jardin un soir
d'été
Jacques Le Bris - St
Léger - l'Acheneau au Marais Blanc
Jacques Le Bris - St
Léger - le Marais de Nicole
Jacques Le Bris - St
Léger - le Marais Blanc sous la
gelée
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