Avant
1789, le territoire de la commune de Thiat faisait partie des
seigneuries de La Côte-au-Chapt et de La Peyrière. Les
ruines des châteaux de ces seigneuries se trouvent sur la rive
gauche de la Brame, dans la commune de Darnac et dans celle
d'Oradour-Saint-Genest.
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la Tour
de la Côte-au-Chapt
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Jusqu'en 1861, Thiat ne forma qu'une seule
commune avec Darnac. Le décret impérial du 28
août 1861 fit de Thiat le chef-lieu d'une administration
communale distincte.
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Le bourg de Thiat ne date que du milieu du
XIVe siècle. Au VIIe siècle avait été
fondé par Saint Léger, évêque d'Autun et
ministre de Childéric II, le bourg de Saint-Léger qui a
disparu. Pendant la Guerre de Cent Ans, en 1356, les Anglais, qui
avaient attaqué la ville fortifiée du Dorat où
ils échouèrent, se dirigèrent vers le Nord et
détruisirent de fond en comble le bourg de Saint-Léger.
Les habitants transportèrent leurs demeures sur le versant de
la Brame et fondèrent Thiat.
Le bourg de Saint-Léger était
habité, comme le fut par la suite celui de Thiat, par de
nombreux industriels : forgerons, verriers, tanneurs et
potiers.
On retrouve dans les bois du Ratier,
situés non loin du bourg de Thiat, les restes d'une ancienne
verrerie. De même, sur la rive droite de la Brame, près
de l'ancien moulin de Chez Joyeux, il existe, provenant d'anciennes
forges, un amas de plusieurs milliers de mètres cubes de
scories.
Canton du
Dorat - le Pont des Tanneries, près de Thiat
Il ne reste plus aucun vestige des anciennes
tanneries établies sur la Brame, dans le voisinage de la route
actuelle de Thiat à Darnac.
La commune de Thiat est limitée au nord
par le département de la Vienne d'où elle en est
séparée par le ruisseau de Montagne, à l'est le
ruisseau de la Glayolle la sépare de la commune
d'Oradour-Saint-Genest. La Brame coule au sud entre la commune de
Thiat et celle de Darnac. Sur la rive gauche de la Brame se trouve
une étendue de trois à quatre hectares comprenant le
moulin de La Forge et ses dépendances qui font aussi partie de
la commune de Thiat. A l'ouest, la Gartempe sert de frontière
naturelle sur une longueur de près de deux kilomètres.
Elle sépare la commune de Thiat de celle de
Bussière-Poitevine et de celle de
Saint-Rémy.
La commune de Thiat, d'une superficie de 1135
hectares, est une des plus petites du canton du Dorat. Sa population
était de 690 habitants en 1911. C'est la deuxième
commune du canton par rapport à la densité de sa
population. Son chef-lieu est à 1°21'53'' de longitude
ouest et à 46°16'' de latitude nord.
Elle comprend deux régions distinctes.
Au sud de la rive droite de la Brame se trouvent des coteaux
escarpés s'étendant sur une longueur d'environ six
kilomètres et sur une largeur ne dépassant pas trois
cents mètres. Ces coteaux sont couverts de pacages et de
taillis. Le point le plus élevé est un mamelon en forme
de ballon dit le Chatillon qui est à une altitude de 222
mètres.
La plus grande partie du territoire forme une
plaine légèrement inclinée vers le
nord-ouest.
Les eaux de ruissellement se déversent
toutes dans la Gartempe, soit directement, soit par ses affluents la
Brame et le ruisseau de Montagne. Ce dernier ruisseau, qui prend sa
source près de la station de Thiat-Oradour, est
alimenté par deux petits étangs, situés
mi-partie sur la commune de Thiat et sur celle de Lathus.
La Brame reçoit aussi sur sa rive droite
quelques petits ruisseaux, dont les plus importants sont ceux de la
Glayolle et des Quenouillères. Ce dernier coule à deux
cents mètres environ à l'est du bourg de
Thiat.
La Brame est assez rapide, surtout dans la
dernière partie de son cours. A six cents mètres en
amont de son confluent, elle présente la magnifique cascade du
Saut-de-Bram avec son puits et ses rochers originaux qui font
l'admiration des touristes.
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le
Saut-de-Bram, près de Thiat
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La commune de Thiat est moins froide et moins
humide que le centre et le sud du département ; cette
variation de climat est due à une altitude moins
élevée et à des vallées moins profondes.
Les vents dominants sont ceux du sud-ouest et de l'ouest. Les
brouillards y sont peu fréquents.
Le terrain est siliceux et silico-argileux. Il
convient très bien à la culture des
céréales et à celle de plantes sarclées.
Les vallées sont couvertes de prairies naturelles de
première qualité. Au nord de la commune se trouvent les
bois du Ratier qui ont une superficie de près de soixante-dix
hectares.
Il y a cinquante ans, la moitié du
territoire environ était couverte de bruyères ;
n'étaient cultivés que les coteaux de la Brame. La
vigne y occupait un rang important. Aujourd'hui, la vigne n'existe
plus ; tous les terrains sont à peu près
cultivés, à l'exception des communaux appartenant
à la section du bourg. Il y a là vingt-deux à
vingt-trois hectares de bruyères et d'ajoncs
improductifs.
La propriété est très
morcelée et se trouve entre les mains de petits
propriétaires qui cultivent eux-mêmes. On ne compte que
quatre propriétés confiées à des
métayers dont la superficie dépasse vingt-cinq
hectares.
La cause de ce morcellement peut être
attribuée à la vente, sous la première
République, des biens confisqués aux seigneuries de la
Côte-au-Chapt ou de la Peyrière. Comme
conséquence, il est rare que, dans les familles de petits
cultivateurs, plusieurs enfants se fixent au sol natal. Beaucoup
émigrent et s'établissent le plus souvent à
Paris et dans la Vienne ou la Charente Inférieure.
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ruines de
la Peyrière, aujourd'hui la Perrière
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Dans les environs de Thiat se trouve une terre
argileuse employée dans l'industrie de la poterie. Cette
industrie, à laquelle Thiat doit sa
célébrité, était florissante encore il y
a quarante ou cinquante ans. Quinze à vingt familles
étaient occupées à la fabrication des cuviers,
des ponnes ou jattes et des pots. Tous ces fabricants trouvaient une
vente facile de leurs produits. De nos jours encore, ces jattes sont
recherchées par les ménagères qui les
préfèrent pour la conservation du lait à celles
ayant une autre provenance.
Femmes
de potiers (!!), à Thiat
Aujourd'hui, l'industrie de la poterie est
à peu près abandonnée ; il n'y a plus qu'une
seule famille qui fabrique irrégulièrement, et avec un
outillage primitif, les jattes et les cuviers.
Les tuileries avaient occupé jadis une
certaine place dans l'activité industrielle du pays : chaque
tuilier possédait simultanément un four à brique
et un four à chaux. La proximité des carrières
du Poitou permettait de se procurer à des prix avantageux la
pierre calcaire. On ne trouve plus qu'une seule tuilerie qui ne
fabrique que la tuile courbe et la brique.
le Saut- de la
Brame, près de Thiat
Sur les coteaux qui longent le cours de la
Brame, et surtout dans le dernier kilomètre de son cours, on
trouve des roches superbes, granit fin et de taille facile. Elles
sont si abondantes qu'on n'a exploité jusqu'à
présent que celles qui se trouvaient à fleur de terre.
Une douzaine d'ouvriers s'emploient annuellement à la taille
de cette pierre qui est exportée dans les localités
avoisinantes et même dans les grandes villes.
Sur tout le cours de la Brame, et
particulièrement dans l'écluse du moulin de Bram, on
extrait par centaines de mètres cubes un sable fin de
première qualité.
Les deux rivières qui arrosent la
commune de Thiat faisaient mouvoir autrefois une douzaine de moulins
à farine. Leur nombre est réduit de moitié et
leur activité décroît de jour en jour parce
qu'aucun ne s'est modernisé.
Il y avait aussi trois pressoirs où l'on
fabriquait l'huile de colza. Ces usines mues par la force hydraulique
ont à peu près disparu ; il n'en reste plus qu'une
seule.
Le commerce local comprend surtout
l'exportation des moutons abattus. Au chef-lieu de la commune, on
compte huit tueries, et les bouchers expéditeurs, appartenant
tous à la même famille, envoient annuellement à
Paris quarante à cinquante mille moutons.
Le commerce des viandes se fait à Thiat
depuis très longtemps, mais avant l'établissement de la
ligne de chemin de fer de Poitiers à
Saint-Sulpice-Laurière, on ne faisait pas d'exportation.
Quelques bouchers achetaient des brebis de qualité
inférieure qu'ils revendaient au détail à vil
prix.
La population agglomérée du bourg
de Thiat compte quatre cents habitants. Avant que Thiat soit
érigée en commune, la plupart étaient
miséreux : des familles nombreuses habitaient de petites
maisons à un étage, basses et sombres, d'une seule
pièce. Dans quelques-unes s'entassaient bêtes et
gens.
Thiat
- Rue principale
Il n'était pas rare de voir des femmes
et des enfants, par troupes, aller quêter de village en village
dans les communes voisines. Les femmes portaient des jattes
grossières qu'elles échangeaient contre leur contenu de
châtaignes ou de pommes de terre.
Depuis cinquante ans, la population a fait des
progrès considérables : les vieilles maisons ont fait
place à de coquettes demeures et on ne reconnaît plus
rien de l'ancien Thiat. Les habitants sont actifs et
commerçants, tout en menant une vie paisible et sobre. Ils
sont calmes et simples dans leurs goûts. Leurs habitudes sont
généralement moins rustiques que celles des habitants
du sud du département. Les gens sont sans
préjugés : on ne croit ni aux sorciers, ni aux
revenants. Il n'y a point de rebouteux.
le temple de
Thiat
La population de Thiat appartient à deux
cultes : le culte catholique et le culte protestant. Les catholiques
représentent les trois quarts de la population totale. Les uns
et les autres ont une église et pratiquent d'une façon
suivie les diverses cérémonies de leurs cultes.
Malgré cette différence de religion, tous en
général vivent en parfaite intelligence.
Le protestantisme a fait son apparition
à Thiat en 1844. Aussitôt l'autorité
diocésaine fit créer une succursale.
l'église de
Thiat
Catholiques et protestants avaient chacun leurs
écoles : les unes dirigées par le curé et des
religieuses, les autres par des membres de la société
évangélique. Au début, ces écoles
étaient libres. Une école communale de garçons
fut créée en 1862 ; elle n'était
fréquentée que par les catholiques. L'école
protestante de garçons, fondée en 1845, devint aussi
école communale en 1878. Ces deux écoles
fusionnèrent en 1897. A cette date fut créée une
école communale de filles. Il existe encore aujourd'hui une
école libre de filles, installée dans les locaux de
l'ancien couvent.
Ces écoles ont été
fréquentées avec assiduité. Plusieurs enfants de
Thiat se sont fait des situations aussi honorables que lucratives :
ingénieur des Manufactures de l'Etat sorti de Polytechnique,
professeur de lycée, licencié es lettres, avocat,
docteur en théologie, ministres de la religion protestante,
médecin-vétérinaire, ingénieur agronome,
professeur d'horticulture, instituteurs, institutrices,
employés des postes et télégraphes,
employés des chemins de fer, industriels et
commerçants. Tous sans exception reviennent
régulièrement passer une partie de leurs vacances
à Thiat et y reprennent la vie simple des habitants du
pays.
Le français est parlé d'une
manière assez correcte, même par les personnes
âgées, mais avec l'accent poitevin. On parle couramment
un patois ou plutôt un jargon dans lequel on fait
élision de la plupart des syllabes muettes. Cette
élision se fait aussi sentir en parlant le
français.
Les Thiachons ont des dispositions naturelles
pour le chant et, cependant, cet art n'a guère son application
que dans les cérémonies religieuses de l'un et l'autre
culte. La danse est peu en honneur. On chante et l'on danse à
l'occasion d'un mariage. Il n'y a de bals publics que le jour de la
fête locale qui a lieu le deuxième dimanche du mois de
septembre.
Thiat a une société de tir (SAG)
des plus anciennes du département. Sa fondation remonte
à 1878. Elle compte aujourd'hui cinquante membres
actifs.
En 1862, il n'y avait pas un mètre de
route sur toute l'étendue de la commune, et pas un pont sur la
Brame et sur la Gartempe. On raconte qu'au moment des grandes crues,
lorsque la Brame était débordée, les habitants
de Thiat gardaient leurs morts pendant plusieurs jours avant de
pouvoir les transporter et les inhumer dans le cimetière de
Darnac.
Aujourd'hui, il y a deux ponts établis
sur la Brame et un sur la Gartempe. Thiat est desservi par deux
chemins de Grande Communication qui se coupent à
l'intérieur du bourg et dont la longueur est de 10
kilomètres 650. En outre, les différents hameaux sont
desservis par trois chemins vicinaux ordinaires d'une longueur totale
de 3 kilomètres 870. Un quatrième chemin vicinal
ordinaire est à la veille d'être mis en
exécution.
La ligne de chemin de fer de Poitiers à
Saint-Sulpice6Laurière, ouverte à l'exploitation le 25
décembre 1867, passe sur les confins de la commune de Thiat,
et sur un parcours de quinze mètres seulement, près de
la station de Thiat-Oradour. Cette station se trouve
entièrement sur le territoire de la commune
d'Oradour-Saint-Genest ; elle est distante de quatre
kilomètres du bourg de Thiat.
Le mouvement de cette gare porte surtout
à l'expédition sur les viandes de Thiat et sur les
céréales, blés et avoines, provenant des
différentes communes de la région : Lussac-les-Eglises,
Verneuil-Moutiers, Tersannes, Azat-le-Ris, Oradour-Saint-Genest,
Darnac et Thiat. Le montant du trafic atteint aujourd'hui près
de cent mille francs. Cette gare reçoit les vins et les
engrais commerciaux pour toute la région.
Thiat possède son bureau de poste depuis
1883. Vingt ans après furent installés le
télégraphe et le téléphone. Les habitants
du bourg reçoivent leurs correspondances deux fois par jour.
Le bureau de poste fait un chiffre d'affaires important par suite du
nombre de commerçants.
Si la population du chef-lieu de la commune a
fait des progrès considérables depuis moins de
cinquante ans, celle des hameaux est restée plus
stationnaire.
Dans la plupart des hameaux, on ne rencontre
que des agriculteurs. Les principales cultures du pays sont les
céréales et les plantes sarclées.
L'élevage et l'engraissement y sont largement
pratiqués.
Comme il a été dit d'autre part,
le morcellement de la propriété a été la
cause de l'émigration et du dépeuplement des hameaux
:
- Le Breuil, autrefois le hameau le plus
important de la commune, construit au confluent des deux
rivières, comptait 108 habitants en 1901, et 72 seulement
en 1911. Il n'y a été enregistré que deux
naissances pendant une période de dix ans.
Canton
du Dorat - Fabrique de cidre à la Côte-au-Chapt,
près de Thiat
- Près du Breuil, sur la Gartempe,
à quatre kilomètres à l'ouest de Thiat, se
trouve Massugeon, qui compte 10 habitants. C'est un centre
important de meunerie avec trois moulins à farine, un
pressoir à huile et à cidre. A deux cents
mètres en aval de Massugeon, un pont magnifique sur la
Gartempe.
la Gartempe au
pont du Mas-Sugeon, près de Thiat
Les autres hameaux par ordre d'importance sont
:
- Bachellerie, 69 habitants, à 1300
mètres à l'est du bourg. On y trouve une maison du
XVIIe siècle édifiée pour le compte d'un
sergent de la seigneurie de La Peyrière.
- Le Chiron, 41 habitants, à 2300
mètres à l'ouest de Thiat, est établi sur des
rochers escarpés près de la Brame. Là encore,
la population tend à diminuer.
- La Fleur, 32 habitants, près du
Chiron, est le hameau le plus agréable de la
commune.
- Chez Raslaud, 22 habitants, est à
1700 mètres à l'ouest de Thiat.
- Les Chevalières, 13 habitants. Ce
hameau est formé par quelques maisons espacées sur
le bord de la route.
- La Touche ou l'Alouette, 10 habitants, est
formé de deux fermes distinctes, près de la gare de
Thiat-Oradour. L'un de ces domaines porte le nom de
Saint-germain.
Il reste encore à nommer les moulins et
anciens moulins établis sur la Brame. Ce sont, en remontant le
cours de la rivière :
Thiat - Bords de
la Brame - Le Pétrot
- Le Pétrot, 2 habitants, avec une
coquette habitation et un moulin en ruines construit en face de
l'ancien château de la Côte-au-Chapt
- Bram, 10 habitants. L'écluse de ce
moulin est très profonde et très
poissonneuse.
Thiat - le moulin
de Guinay
- Guinay, 3 habitants, est à 800
mètres au sud de Thiat.
- La Forge, 5 habitants, sur la rive gauche
de la Brame, se trouve près de l'emplacement des anciennes
forges et fonderies.
Thiat - le moulin
de Chez Joyeux
- Chez Joyeux, 1 habitant. Le moulin à
farine et le pressoir à huile sont abandonnés depuis
plus de vingt ans. Le barrage est presque
démoli.
On peut dire sans chauvinisme que la commune de
Thiat est une de celles qui ont fait les progrès les plus
sensibles depuis le jour où elle eut administration communale
distincte. En cinquante ans, elle a contribué à la
construction de trois ponts, de 14 kilomètres 520 de routes ;
elle a également contribué à l'achat et à
la construction d'une école de garçons et d'une
école de filles. Elle a acquis un cimetière qui a
été récemment entouré de murs. Elle s'est
imposé des sacrifices considérables pour son bureau de
poste, son télégraphe et son
téléphone.
Malgré ces dépenses excessives et
le peu de ressources dont elle disposait, son budget communal est peu
grevé.
Il reste encore plusieurs améliorations
qui sont impatiemment attendues ; mais avant peu Thiat aura ses
foires. Peut-être aussi sera-t-il éclairé
à l'électricité et sera-t-il desservi par une
ligne de tramways départementaux
Sources et liens :
Septembre 2007 : Xavier Tingry, de
St Léger
Magnazeix (Haute Vienne), est allé
visiter Thiat et "le bourg de Saint-Léger". Voici ses
annotations et ses clichés :
Thiat (87320) : village fleuri - 1
église et 1 temple - alt. 210 m - 300 habitants env - mairie :
05 55 68 43 87
le
temple et l'église de Thiat
hors du bourg, vestiges de la
chapelle Saint-Léger : 1 croix - 1 sarcophage moussu - 1
mur d'enceinte envahi de mauvaises herbes - quelques amoncellements
de grosses pierres au pied des arbres dans un pâturage
environnant - accès par une sente vers les vestiges et une
pâture privée
vestiges de la
chapelle (Xavier - photo de droite - n'en fait pas partie
!)
vestiges
du village
Merci, Xavier !
Et voici un article de la revue Limoges
illustré (publication bi-mensuelle, artistique,
scientifique et littéraire)
en date du 15 novembre 1903 :
Vous trouverez là un
bel article du Populaire du Centre concernant Thiat, en date
du 9 avril 2023.
Merci
de fermer l'agrandissement.
https://www.stleger.info