Nous reprenons ici en partie des textes et photos tirés des très nombreuses pages du site http://www.patrimoine.paysdelaloire.fr consacrées à St Léger en Charnie.
Ce site est une mine dont nous conseillons vivement la lecture.

 

La paroisse de Saint-Léger relevait sous l'Ancien Régime de l'archidiaconé de Sablé et du doyenné de Sablé en deçà l'Ouette. Elle faisait partie de l'élection de la Flèche. Rattachée en 1790 au canton de Vaiges, la commune, qui reprend les limites de la paroisse, a été intégrée au canton de Sainte-Suzanne en l'an X (1801-1802). Elle s'étend sur une superficie de 1721 ha.
Sa population était estimée à 96 feux en 1696 et à 250 communiants selon Le Paige en 1777. Elle s'élevait à 457 habitants en 1801. Elle a atteint son niveau maximal en 1856 avec 565 habitants. Elle a ensuite décru régulièrement jusqu'à 215 habitants en 1999. Elle a depuis augmenté et atteint 260 en 2009.
La commune est restée à l'écart des voies principales. Cependant, son réseau de routes a été amélioré dans la seconde moitié du XIXe siècle par le percement d'une nouvelle voie reliant Vaiges à Jublains (actuelle RD 144) et par l'aménagement des chemins vicinaux (vers Saint-Jean entre 1876 et 1879, vers Chammes et Sainte-Suzanne entre 1871 et 1874, vers la Chapelle-Rainsouin à une date non précisée).
Dates portées recensées : 1607 église 1737 ancien logis (charpente) le Bas-Taillis 1858 église 1953 logis Sainte-Marie-des-Landes
Architectes recensés : Hawke Eugène architecte départemental mairie-école de garçons 1883 Guitton Etienne-Louis architecte à Sainte-Suzanne projets d'école 1849-1855 Ridel Léopold architecte départemental toilettes et préau de l'école de filles 1910

 

 

 

 

Le village est implanté sur un plateau. Il s'est modestement développé au nord et au sud de l'église, mentionnée en 1125 dans le cartulaire d'Evron (Angot), le long de la voie qui menait à Evron et à Sainte-Suzanne (actuelle RD 560 de Saint-Léger à Sainte-Suzanne) et de celle reliant Vaiges à Saint-Christophe-du-Luat (actuelle RD 582 de Saint-Léger à Chammes et VC 301).
En 1841, il ne comprenait que 52 habitants soit 10 % de la population de la commune, répartis en 12 logis.
Le bourg s'est légèrement agrandi dans la seconde moitié du XIXe s à l'est le long de la route de Sainte-Suzanne et au sud entre l'ancienne et la nouvelle route de Vaiges (RD 144 de Vaiges à Jublains). Huit nouveaux logis ont alors été construits, auxquels s'ajoutent la mairie-école de garçons édifiée entre 1883 et 1892 et l'école privée construite en 1897. Une nouvelle extension s'est opérée dans le dernier quart du XXe s par la construction de maisons à l'ouest de la route de Vaiges.

 

 

 

école mixte, puis école de filles, puis mairie (2013)

 

D'après Angot, le curé Joseph Dioré créa à Saint-Léger en 1746 une école de filles, financée par les revenus de la ferme des Petites Landes et, à partir de 1752, de celle de Rocheteau.
Dans la 1re moitié du XIXe s, les soeurs institutrices d'Evron sont logées dans une maison du bourg, propriété de la commune. Elles y dispensent leur enseignement en dépit de l'étroitesse du lieu, décrit ainsi en 1850 : "Une petite maison sise au bourg de Saint-Léger, construite en pierre, charpente en chêne, couverte en tuile, distribuée d'une principale pièce à cheminée avec un four pour cuire le pain, un corridor, une chambre froide avec un petit cabinet, grenier sur le tout".
Un projet de construction d'une école mixte sur "l'ancien chemin de Saint-Léger à Evron" (actuelle route de Sainte-Suzanne) présenté vers 1849 par l'architecte Etienne-Louis Guitton est abandonné, faute de moyens suffisants. Un projet de reconstruction sur place dessiné par le même Guitton est écarté par l'inspecteur de l'enseignement primaire en janvier 1855. Il est suivi par au moins deux autres projets : l'un est défendu par le maire dans un courrier au préfet le 9 février 1855 ; le second fait l'objet d'une représentation en plan conservée. Ils n'ont pas non plus été exécutés. Le second incluait l'édification d'un deuxième corps de bâtiment accolé au bâtiment de logement et séparé en deux classes, l'une pour les filles, l'autre pour les garçons.
Le projet finalement réalisé, sans doute peu après, comporte un corps unique abritant à la fois le logement et une classe. Après la création d'une école de garçons en 1878, l'école mixte devient école de filles. Elle est vraisemblablement laïcisée en 1897 lors de la création d'une école privée dirigée par deux soeurs d'Evron.
En 1910 et 1911, le bâtiment est réparé et un préau et des toilettes sont construits sur les plans de l'architecte Léopold Ridel, remplacé après sa mort par l'agent voyer Gareau. Les travaux sont réalisés par l'entrepreneur d'Evron Rossignol. Ils sont définitivement reçus le 2 octobre 1911.
Au début des années 1990, l'ancienne école de filles, devenue école maternelle, a été transformée en mairie et l'école maternelle regroupée avec l'école primaire dans l'ancienne mairie-école de garçons.

 

 

 

école privée de filles, actuellement maison et salle des fêtes (2013) - vue d'ensemble depuis la route de Vaiges

 

D'après Angot et les matrices cadastrales, l'école privée de filles a été construite en 1897 par le curé Ricosset. L'enseignement y était assuré par deux soeurs d'Evron. Elle a cessé son activité très rapidement, sans doute avant la première guerre mondiale. Le logement des institutrices a été vendu à un particulier. L'ancienne classe, rachetée par la commune, sert actuellement de salle des fêtes.

 

 

 

mairie-école de garçons, actuellement école maternelle et primaire (2013)

 

L'école mixte de Saint-Léger, tenue par les religieuses d'Evron, étant devenue insuffisante, la municipalité loue en 1878 une maison destinée à abriter provisoirement l'école de garçons. Elle acquiert le 4 janvier 1882 un terrain situé en face afin d'y construire un bâtiment définitif. Le projet est réalisé d'après les plans présentés en 1883 par l'architecte Eugène Hawke. La mairie a occupé une partie des bâtiments jusqu'à son transfert dans l'ancienne école de filles au début des années 1990. Une nouvelle classe a été ajoutée au même moment.

 

 

 

maison, puis école de garçons, puis de nouveau maison

 

La maison et l'atelier ont été construits en 1867 pour Louis Legrand en même temps que la maison contiguë. Entre octobre 1878 et la construction de l'école de garçons, ils ont servi provisoirement d'école. Le bail de location du 13 octobre 1878 les décrivent ainsi : "Une maison située au bourg de la commune de Saint-Léger, composée d'une pièce à feu, chambre froide à côté, grenier sur le tout ; un hangar a la suite et à côté ; un fournil avec droit de four réservé au profit de la maison voisine". L'atelier a été surélevé et remanié dans la 2e moitié du XXe s. Occupé par des charrons, puis par un menuisier jusque dans les années 1970, il a été converti en garage.

 

 

 

 

 

 

 

La Grande Maison a été construite dans la 2e moitié du XVe ou au début du XVIe.
D'après Angot, elle a été léguée en 1708 par le curé Julien Béasse au bureau de charité. En 1842, elle était la propriété de ce bureau et de la fabrique qui la louaient à trois occupants. Le bail par adjudication établi en 1903 la décrit ainsi : "L'immeuble à affermer consiste dans une maison dite de la "Grande Maison" située au bourg de Saint-Léger, composée au rez-de-chaussée de deux appartements à feu, au premier étage de deux chambres à cheminée, grenier au-dessus. Four, cave et jardin d'environ neuf ares".
Elle a abrité au début du XXe siècle un café-épicerie puis jusqu'à aujourd'hui (2013) un atelier de menuiserie.

 

 

 

 

 

 

 

 

L'hôtel-restaurant-épicerie et son écurie ont été construits en 1870 à l'angle de la nouvelle route de Vaiges et de la route de Saint-Jean. Il a été tenu successivement par les familles Turcan, Chartier et Drouard. Il sert actuellement (2013) de café et d'épicerie.

 

 

 

 

maison reconstruite en 1870 à la suite du percement de la route d'Evron
à partir des années 1890, elle a abrité un café tenu par les époux Maunoury
puis, à partir de 1922, par leur fille et son mari Blanchard - il a fermé à la fin des années 1950
un mur a été reconstruit au début des années 1930, à la suite de l'écroulement provoqué par la construction du lavoir

 

 

 

maison reconstruite en 1860 - au début du XXe s, elle abritait un café et une épicerie tenue par les époux Ferrand
ils ont été remplacés dans l'entre-deux-guerres par les Naveau, cordonniers et marchands de chaussures

 

 

 

la maison et ses dépendances ont été construites en 1870, peu après la réalisation de la route de Vaiges
elle a été vraisembablement occupée dès l'origine par une épicerie fermée dans les années 1970 ou 1980

 

 

 

le bâtiment situé sur la parcelle D 401 du plan cadastral de 1842 est nommé le "fourni" sur l'état de sections
au XXe s, il a servi d'écurie aux propriétaires du café situé à l'angle de la route de Sainte-Suzanne et de la route d'Evron

 

 

 

ancienne ferme et maison du Plat d'Etain, propriété de la fabrique au XVIIIe s, qui relevait de la seigneurie des Pins
d'après Angot, elle servait de logement au vicaire et serait l'habitation louée par la communauté des habitants en 1715.

 

 

 

maison construite aux alentours de 1850

 

 

 

maison construite en 1884 et agrandie en 1902, route de Sainte Suzanne

 

 

 

maison, route de Sainte Suzanne, sans doute construite au XVIIIe ou au début du XIXe

 

 

 

la maison et l'atelier ont été construits en 1870, peu après le percement de la route de Vaiges
ils ont été occupés par des charrons puis par des maréchaux-ferrants
la maison a été très remaniée dans les années 1950

 

 

 

maison construite sans doute dans le troisième quart du XIXe siècle

 

 

 

la maison de Sainte-Marie-des-Landes a été construite en 1953 - date portée dans la niche située au-dessus de l'entrée

 

 

 

le Pierras, maison construite dans la deuxième moitié du XIXe s, route de Sainte Suzanne

 

 

 

la Petite Pierre, maison construite en 1854

 

 

 

maison reconstruite en 1848

 

 

 

maison antérieure à 1842
elle a abrité une buvette (café où n'était pas servi d'alcool) jusque dans les années d'après-guerre

 

 

 

maison du Ronceray, construite en 1846

 

 

 

le Petit Ronceray, situé en lisière du bois des Vallons
en 1841, la maison était habitée par un veuf, ses deux enfants, journaliers, et un domestique
abandonnée dans le cours de la deuxième moitié du XXe siècle, elle est en cours de rénovation

 

 

 

maison de Veau-Fleury, construite en 1857
elle a servi dans la première moitié du XXe siècle de pavillon de chasse à un huissier de Laval

 

 

 

maison convertie en étable en 1869
tombée en ruine, elle a été restaurée dans le dernier quart du XXe siècle pour servir de garage

 

 

 

l'étang du moulin des Pins, vu depuis le barrage de retenue

 

Un seul moulin est documenté à Saint-Léger : le moulin des Pins qui figure sur la carte de Jaillot (1706) et sur le plan terrier de la seigneurie de Montecler (1781). Il fonctionnait grâce à un étang de retenue, encore conservé, aménagé sur le ruisseau de l'Etang des Pins qui se jette dans le ruiseau du Pont d'Orval, lui-même affluent de l'Erve. Il a été détruit avant 1842.

 

 

 

le lavoir a été construit en 1932 ou 1933 sur les plans de l'ingénieur du Génie rural basé à Montsûrs
le devis descriptif et estimatif date du 19 août 1931 et son approbation par le préfet du 17 mars 1932

 

 

 

le cimetière se trouvait primitivement à côté de l'église, au sud
il a, selon Angot, été transféré sur la route de Saint-Jean avant l'an XII, soit avant 1804
la croix cimétériale, en pierre de taille de granite, date du XIXe siècle

 

 

 

le monument aux morts a été édifié vers 1920 par le marbrier lavallois Bazin - pour lire les 29 noms

 

 

 

cette croix de chemin date du XVIe ou du XVIIe siècle
sans doute en granite, elle est fixée à un socle carré percé d'une niche circulaire

 

 

 

la croix de chemin des Courlées a sans doute été réalisée dans la première moitié du XXe
réalisée en fonte, elle est fixée sur un socle en pierre de taille et remplace une croix figurant sur un plan de 1842

 

 

 

l'Epine

 

 

 

la Petite Guyaudière, attestée en 1475 - ne subsistent aujourd'hui que les ruines d'un bâtiment agricole

 

 

 

la Grande Guyaudière

 

 

 

les Guivains - à gauche, la ferme des Vieux-Guivains, à droite la 2e ferme

 

 

 

la Frilouzière, ancienne ferme construite en 1885

 

 

 

la Foucherie, lieu-dit attesté en 1459 - ancienne ferme

 

 

 

Florence

 

 

 

l'Etarderie

 

 

 

l'Echelette

 

 

 

la Loge

 

 

 

les Echamettes

 

 

 

le Fay

 

 

 

la Haie

 

 

 

la Houssaye-Vieille

 

 

 

la Houssaye-Neuve

 

 

 

la Croix

 

 

 

Laubrière

 

 

 

le Chêne

 

 

 

le hameau des Loges

 

 

 

le Logis, encore appelé la villa des Pins, construit en 1903

 

 

 

la Maison-Neuve - la maison et son atelier ont été construits en 1860
ils étaient occupés au début du XXe siècle par un maréchal-ferrand

 

 

 

Malabry, ancienne ferme

 

 

 

la Martinière, actuellement haras

 

 

 

la ferme des Courlées, actuellement haras

 

 

 

la Morinière, construite en 1850

 

 

 

la Pègerie - elle formait en 1842 un hameau comportant 5 logis - ne subsiste aujourd'hui qu'une seule maison
En 1841, 15 personnes réparties en 5 foyers habitaient à la Pègerie :
2 cultivateurs, un cordonnier et sa femme, fileuse, un journalier et sa femme, fileuse, et une troisième fileuse

 

 

 

les Petites Landes

 

 

 

les Landes

 

 

 

Bel-Air

 

 

 

le Clairé, attesté en 1443

 

 

 

les Balivières, attesté en 1414

 

 

 

les Petites Courlées, appelées Beau-Soleil sur le cadastre de 1842

 

 

 

la Bouverie du Coin, attestée en 1417, actuellement désaffectée (2013)

 

 

 

la Bouverie du Presbytère

 

 

 

le Brulis

 

 

 

la Cacheterie

 

 

 

le Perriché, attesté en 1367

 

 

 

la Prée

 

 

 

la Choutellerie, nommée la Chédoutellerie en 1609 et la Chéroutellerie en 1772 et 1782

 

 

 

les Côneries

 

 

 

la Bruyère

 

 

 

la Baillée, attestée en 1459

 

 

 

la Pierre, attestée en 1548

 

 

 

l'ancienne ferme des Hauts Pins, à gauche
vraisemblablement construite dans la 2e moitié du XIXe ou au début du XXe, à l'emplacement du manoir des Pins
à droite, les Bas Pins

 

 

 

ancienne ferme des Petits Pins
les Petits Pins étaient sans doute la ferme du manoir des Pins qui devait se situer juste à côté.

 

 

 

l'ancienne feme des Bas Pins, construite au cours de la première moitié du XIXe siècle

 

 

 

le Coin

 

 

 

ancienne ferme de la Richardière

 

La Richardière appartenait en 1548 à René de Bouillé. Elle a été donnée en 1708 par le curé Béassé au bureau de charité de la commune auquel elle appartenait encore en 1842.
Elle est décrite précisément dans le procès-verbal de visite établi en 1783. Elle était constituée alors d'un bâtiment principal où se trouvaient la "maison manable" ou pièce d'habitation principale à cheminée, la chambre, l'étable et la grange.
Les quatre pièces communiquaient entre elles par une porte (sans vantail entre l'étable et la grange) mais seule la pièce à feu et l'étable disposaient d'une porte ouverte sur la cour. Leur sol était en terre.
La pièce à feu était dotée d'une cheminée à four, de murs "enduits et blanchy", d'une fenêtre "garnie de trois grilles de fer, d'un chassis à verre a plon le tout garny de deux ferrure".
La chambre avait une fenêtre "garnie de deux grille de fer et d'un vantal sans aucune ferrure ny vitre". Elle communiquait avec le grenier situé au dessus de l'habitation par "une vieille échelle de sept baros". "L'aire des greniers sont de taire".
Dans l'étable se trouvaient "deux crèches de peut de valleur dont une est de quatorze pié de longueur, l'autre de douze pié de vieille charpente qui tienne en pieux et ars sans attache et sy trouvé deux petits rateliers dessus de la même longueur". Le "sinal nes compozé que de douze morsos de bois fendu et bois rons avec un soliveau de charpente et des ramos pour soutenir les fourages" : il s'agit du plancher du grenier à fourrage situé au-dessus de l'étable. Les murs intérieurs de la grange n'étaient pas enduits. Son pignon était percé "d'une ouverture pour engrenger les fourages sans aucun vantal".
Sont également décrits deux toits porcs, "sans sinal ny augé" et, dans "les estrages", une loge que le fermier avait "énové a ces frays", "construite à pieux et ars et gaulette entouré et couverte de genets, pour fermer l'antre est un clan à baros plat".

 

 

 

ancienne ferme de la Roche

 

 

 

ancienne ferme de Saugé
d'après Angot, Saugé était un site de bois et de lande, propriété de Hamelin le Franc au XIIIe siècle
au XVe siècle, le seigneur de Saint-Léger y autorisait le pâturage des bêtes en échange de travaux agricoles
les "landes de Saulgé", dites en 1566 "propres et utiles à faire prairies et terres labourables", ont ensuite été défrichées

 

 

 

ancienne ferme de la Vireille - d'après Angot, un étang se trouvait à côté de la Vireille
il a été acquis du roi, avec 80 arpents de landes, par Louis de Montecler, en 1591 et a été asséché avant 1842
le bâtiment a été construit en au moins 3 fois, comme l'indiquent les limites visibles au centre et à l'ouest de la façade
la ferme (petite surface de 1 ha et 95 a) faisait partie du domaine du château de Lesnières lors de sa vente en 1889

 

 

 

écart de la Maltaiterie - de la ferme abandonnée de la Tayaiserie ne subsite qu'un logis-étable

 

 

 

ancienne ferme du Taillis-Moreau  

 

 

 

le Bas Taillis

 

 

 

la Petite Talbotière, appelée la Talbotière du Haut sur le plan cadastral de 1842
en 1841, 23 personnes réparties en 6 foyers habitaient la Talbotière :
deux familles de cultivateur, un maréchal-ferrant et sa femme fileuse,
un chiffonnier et sa femme fileuse, un journalier, une femme et ses filles, toutes fileuses

 

 

 

la Grande Talbotière, appelée Talbotière du Bas sur le plan cadastral de 1842

 

 

Vous trouverez l'intégralité des documents ici Bonnes balades !

 

 

des cartes postales anciennes du village
des vues du bourg de St Léger en 2008
d'autres vues plus récentes
2017 - et si nous sauvions notre lavoir ?
des vues de la commune en 2022

 

erci de fermer l'agrandissement sinon.

 

 

 

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